Procrastiner : cet impact rarement évoqué sur la santé d’après un coach
Qui n’a jamais procrastiner au lieu de se lancer dans une tâche ennuyeuse bien que nécessaire ? Pourtant, après avoir remis au lendemain ses corvées, ou, du moins, trainer autant que possible pour les accomplir, émerge souvent un profond sentiment de culpabilité.
Bien qu’il puisse effectivement être plus grisant de faire autre chose, ce que nous ressentons en ayant procrastiner est peu agréable. Finalement, ne vaudrait-il pas mieux s’y mettre une fois pour toute ? C’est ce que soutient la coach en bien-être Shanila Sattar.
Procrastiner, un impact délétère sur la santé
Coach en bien-être Shanila Sattar dévoilait sur ses réseaux sociaux, que l’un de ses clientes s’était aperçue de sa tendance à procrastiner. De cette habitude néfaste, elle en retirait désormais une certaine honte mêlée de culpabilité. Des sentiments qui l’amènent ensuite à « éviter tout le monde et tout pendant des semaines ». Finalement, sa cliente voyant le temps passer, n’arriver plus à agir. « Son corps se fige, se paralyse. Elle commence à négliger sa santé mentale et émotionnelle » confiait-elle au journal Mirror. Une conséquence fréquente lorsque le système nerveux se retrouve submergé par la perspective de poursuivre un but qui lui importe. Procrastiner conduirait donc à abîmer sa santé aussi bien mentale que physique sur le long terme.
Un perfectionnisme néfaste
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