Procès des viols de Mazan : La victime Gisèle Pélicot demande la fermeture de la cagnotte de soutien ouverte par Nabilla
Solidarité - L’influenceuse, qui s’est dite très « touchée » par la victime de ces viols, a ouvert une cagnotte sur Leetchi. Mais la victime Gisèle Pélicot demande sa fermeture.
L’histoire vécue par Gisèle Pélicot a ému la France entière. Nabilla Vergara a été particulièrement touchée par cette femme qui a été abusée pendant dix ans par son époux et des dizaines d’hommes recrutés par ce dernier.
Alors que leur procès se déroule en ce moment devant la cour criminelle du Vaucluse à Avignon, l’influenceuse a décidé d’ouvrir une cagnotte pour aider la victime.
22.000 euros récoltés
« J’ai été profondément touché par votre histoire, Je suis admirative de votre courage et votre force. Vous êtes un exemple pour toutes les femmes sur cette Terre. j’aimerais que l’on puisse toutes participer à vos frais de justice et vous aider à traverser cette terrible épreuve. Au nom de toutes les femmes. Nous sommes tous avec vous du fond du cœur », écrit l’ancienne star de téléréalité en description de la cagnotte ouverte sur Leetchi.
Ce vendredi matin, près de 22.000 euros ont déjà été récoltés. Mais les avocats de la victime, Me Stéphane Babonneau et Antoine Camus, ont fait savoir à la presse que leur cliente « souhaite impérativement préserver la dignité et la sérénité des débats ». Gisèle Pélicot « en appelle donc aujourd’hui à la plus grande modération sur les réseaux sociaux, ne souhaite aucunement l’(...) Lire la suite sur 20minutes
À lire aussi :
Affaire des viols de Mazan : Une victime, 51 accusés, quatre mois de procès… L’audience hors norme ouvre ce lundi
Affaire de Mazan : Pourquoi la victime d’au moins 51 viols refuse-t-elle le huis clos ?
Procès des viols de Mazan : Une députée elle-même victime veut une mobilisation contre la soumission chimique
Affaire des viols de Mazan : Gisèle P. va prendre la parole face aux 51 hommes qui ont abusé d’elle
Affaire des viols de Mazan : « Chris le pompier », « Gaston »… Comment les enquêteurs ont retrouvé les 50 accusés