Procès de Nicolas Bedos : "je suis ivre de…", le cinéaste prolixe à la barre et ça irrite le procureur
Ce jeudi 25 septembre 2025, Nicolas Bedos avait rendez-vous avec la justice. Le réalisateur d'OSS 117 3 comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris suite à des graves accusations d'agression et de harcèlement sexuels. "Je ne suis pas un agresseur sexuel, je ne le serai jamais, a-t-il martelé à la barre face à ses victimes encore sous le choc.
Et de poursuivre, frondeur : "J’aurais traversé une piste de danse pour aller toucher le vagin d’une jeune femme devant tout le monde, vu qui je suis ?". Sa prise de parole, parfois digne d'une mise en scène de théâtre selon nos confrères de 20 Minutes, n'a pas semblé convaincre le procureur.
Procès de Nicolas Bedos : ce bavardage qui agace le procureur
"Je n'ai plus aucun projet en cours. Je suis cancellisé. Je suis le premier responsable de ma présence ici, mais quand on est convaincu que c’est disproportionné, on a une forme de rancoeur. Je suis ivre de colère et de mal être contre moi même et les autres", s'est emporté le fils de Guy Bedos, allant jusqu'à regretter que ses gestes n'aient pas été filmés par des caméras de surveillance.
Présente au premier jour du procès, Cécile Ollivier, grand reporter police/justice pour le magazine ELLE, a décrit via son compte X (auparavant connu sous le nom de Twitter), un procureur manifestement agacé à la fois par le "nombrilisme" et le "verbiage incessant du prévenu".
Ce problème dont Nicolas Bedos dit être conscient
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