Procès de Mazan : “Quand il n’y a pas l’intention…”, les propos d’un défenseur des violeurs présumés choquent la salle

Le procès de Mazan se poursuit. Mais pour le septième jour au tribunal, le mardi 10 septembre 2024, de nombreux journalistes étaient présents dans la salle d’audience de la cour criminelle départementale du Vaucluse. Pour rappel, Gisèle, âgée de 70 ans, a été victime de plusieurs viols, organisés par son mari. Mais les propos de l’un des avocats de la défense a provoqué colère et indignation. En effet, en tentant de défendre l’un de ses clients, il a assuré qu’il y “avait viol et viol”. Me Guillaume De Palma, avocat de six des 51 accusés, a alors échangé avec l’un des policiers en charge de l’enquête. Il estime qu’"à aucun moment les suspects ne pouvaient ignorer que Gisèle Pelicot était inconsciente”, utilisant ainsi le terme de “viol”. L’avocat lui a alors demandé s’il avait la “certitude d’une scène de viol”, “n’était-elle pas un peu hâtive ?”, lui a-t-il demandé.

Les propos de l'avocat des violeurs présumés

Le policier a alors lâché dans une “affaire de règlement de compte, on parle de meurtre et ce n’est pas choquant”. Ce à quoi l’avocat a rétorqué : “oui, mais à ce moment-là, il y a viol et quand il n’y a pas l’intention de le commettre, ce n’est pas un viol”. Les avocats de la partie civile se sont indignés. “J’ai honte de la justice”, a notamment déclaré Caroline Darian, la fille du couple. Me Antoine Camus, il a aussi déclaré : “ma cliente a donné à voir (...)

Lire la suite sur Closer

Cancer de Kate Middleton : Harry et Meghan jaloux de la princesse ? Ils ne se cachent même plus
Brigitte Macron : cette scène publique et humiliante qui a fait “de la peine” à Cyril Hanouna
TÉMOIGNAGE. "L'idée que mon mari puisse avoir un enfant illégitime m'obsède"
Kate Middleton : ce "superaliment" très bon marché au centre de son petit-déjeuner
TÉMOIGNAGE. "Je suis une maman canon et mon fils s'est fait virer de son équipe sportive à cause de cela"