Ebola : un proche du patient de Dallas suivi à son tour

L'hôpital de Dallas où est hospitalisé le premier patient sur lequel le virus Ebola a été diagnostiqué hors d'Afrique.

Un homme ayant voyagé au Liberia avant de venir aux Etats-Unis a été hospitalisé à Dallas. L'un de ses proches fait à son tour l'objet d'inquiétudes.

Un proche du patient atteint d’Ebola au Texas, le premier diagnostiqué de l’infection aux Etats-Unis, est suivi de près médicalement car il pourrait être lui aussi infecté, a dit mercredi le directeur des services de santé du comté de Dallas. «Nous avons peut-être un autre cas d’Ebola, qui est un proche du premier patient», a dit Zachary Thompson dans une interview à une chaîne locale de télévision.

Les CDC (Centres américains de contrôle et de prévention des maladies) «ne sont pas au courant» de ce cas particulier, a déclaré de son côté à l’AFP, un porte-parole, Tom Skinner. «Nous travaillons actuellement avec les autorités sanitaires locales au Texas pour essayer de déterminer qui sont les personnes avec lesquelles ce patient a été en contact», a-t-il ajouté. Par ailleurs, trois membres de l’équipe médicale qui ont traité le malade durant son transfert à l’hôpital le 28 septembre ont été testés négatifs pour le virus Ebola mais seront suivis pendant 21 jours, la durée maximale d’incubation, a indiqué la municipalité de Dallas sur Twitter.

Un patient hospitalisé au Texas (sud) est devenu mardi le premier malade d’Ebola diagnostiqué hors du continent africain et aux Etats-Unis. Le malade, un homme dont la nationalité n’a pas été précisée, avait voyagé au Liberia avant de venir au Texas, où il est arrivé par avion le 20 septembre sans aucun symptôme, a indiqué le directeur des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), le Dr Tom Frieden, lors d’une conférence de presse.

Il a commencé à ressentir des symptômes le 24 septembre et a fait appel à un médecin deux jours après. Il a été hospitalisé le 28 à Dallas, où il a été mis en quarantaine. L’infection par le virus Ebola a été confirmée par des analyses de deux laboratoires, dont un des CDC. Cependant, selon le Dr Frieden, il «n’y a aucun risque» (...)

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