Présidentielle en Algérie: le conflit à Gaza et le spectre des menaces extérieures au cœur de la campagne

En Algérie, la campagne présidentielle s'est clôturé mardi 3 septembre dans la soirée, 20 jours après son lancement. Les trois candidats en lice pour ces élections vont observer maintenant une période de silence électoral de trois jours avant samedi 7 septembre, jour du scrutin. L'occasion pour l'opposition de passer à l'attaque. Après trois semaines de campagne axée sur les préoccupations économiques et sociales des Algériens, les candidats ont à nouveau vivement encouragé les électeurs à aller voter. Une part importante de leur campagne s'est aussi faite sur le thème de la politique étrangère et des menaces extérieures pour le pays.

Abdelmajid Tebboune brigue un nouveau mandat. Durant sa campagne, le président n'a cessé de vanter son bilan économique et social, affirmant qu'il a encore besoin de temps pour rendre l'Algérie plus forte économiquement. Les deux autres candidats, Youcef Aouchiche, candidat du Front des forces socialistes (FFS) et Abdelaali Hassani Chérif, candidat du Mouvement de la société pour la paix (MSP), n'ont pas de bilan à défendre. Mais ils se sont également concentrés sur l'économie et le pouvoir d'achat.

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