Publicité

Préparer les vacances, une charge mentale qui nous fait revoir nos ambitions à la baisse

A l’habituel stress des préparatifs et la phobie d’un imprévu lors du séjour, s’ajoutent l’angoisse d’un test PCR positif et de frontières soudainement fermées. Le Covid bouscule encore une fois l’été des vacanciers avec son lot d’anxiété et de précautions supplémentaires.

Certains séjours de vacances deviennent nos meilleurs souvenirs de jeunesse comme danser toute la nuit dans les bras de Johnny pour Baby, dans « Dirty dancing ». D’autres, se teintent de maladresses un brin tragi-comiques à l’image des Bronzés dans la trilogie « vacancière » de Patrice Leconte. Si on adore partager nos vacances sous les cocotiers les orteils dans le sable, et même raconter nos déboires dans la campagne périgourdine, on néglige bien souvent de parler des préparatifs, condition sine qua non de ces séjours inoubliables.

Traditionnellement fastidieux, préparer ses vacances est synonyme de stress et d’angoisse pour certains. Penser à réserver hôtels, trains, avions, voiture de location, musées hyper fréquentés et évidemment faire ses valises, voire trouver un catsitter, nourrit la charge mentale qui nous suit déjà tout au long de l’année. Alors que les grandes vacances symbolisent le lâcher-prise et le farniente, cette année et demie vécue au diapason d’une crise sanitaire mondiale alourdit encore plus les préparatifs et les départs en vacances. L’habituelle trousse de premiers secours accueille aujourd’hui des masques chirurgicaux intacts. Les cartes d’embarquement s’accompagnent désormais de tests PCR ou de QR code imprimés. Quant aux prévisions météo de notre destination, on focalise d’autant plus notre attention sur le site de l’ambassade et les risques de fermeture de frontières. Toutes ces...

Lire la suite de l'article sur Elle.fr

Ce contenu peut également vous intéresser :

A lire aussi