Pourquoi la mortalité routière explose dans ce département
La Seine-et-Marne fait figure d’exception. Mais ce n’est malheureusement pas en bien que le département se distingue. Le préfet a dévoilé les chiffres de la mortalité routière au Parisien. Sur la période courant du 1er janvier au 15 novembre, 56 personnes sont mortes sur les routes du département, contre 47 à la même époque l’année passée : un chiffre en hausse de 19 % ! «Imaginez 56 cercueils alignés les uns à côté des autres», se désole Pierre Ory auprès de nos confrères. D’autant que les véhicules impliqués sont souvent les mêmes : près de la moitié concernent des véhicules légers, et plus d’un sur quatre des deux-roues (vélos, scooters, motos…).
Et parmi tous ces morts sur la route, près de 20% étaient des piétons. Le dernier en date est une septuagénaire, décédée le 11 octobre, rappelle Le Parisien, percutée par un bus au niveau d’un passage piéton dans la ville de Melun. Ce genre d’incidents semble se répéter chaque semaine, en témoigne celui impliquant une femme et une adolescente de douze ans ce mercredi à Roissy-en-Brie. Alors, le préfet de Seine-et-Marne a décidé de prendre le taureau par les cornes et de multiplier les contrôles. Des opérations «multiquotidiennes» dans toutes les circonscriptions du département sont désormais menées.
Tests d’alcoolémie ou de stupéfiants, vérification des attestations d’assurance, validité du permis de conduire, et surtout contrôle de la vitesse… Les forces de l’ordre ont reçu des consignes strictes. Le préfet veut faire baisser ce chiffre (...)
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