Pourquoi certains sont allergiques à tout et d’autres à rien ?
En matière d’allergies, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Certains sont atteints de rhumes des foins quatre mois de l’année ou gonflent comme des ballons de baudruche à la moindre piqure d’insecte quand d’autres ne connaîtront jamais ces désagréments. Mais pourquoi donc ? Dans une nouvelle étude, dont les résultats sont parus le 4 septembre dans la revue Nature, des chercheurs ont identifié la voie par laquelle les cellules immunitaires et nerveuses interagissent et provoquent ces différences. A terme, leurs découvertes pourraient ouvrir la voie à une nouvelle approche thérapeutique pour prendre en charge les allergies. Dans le passé, l’auteure principale de cet article, le Dr Caroline Sokol, et son équipe, avaient déjà montré que le système nerveux sensoriel de la peau, surtout les neurones en cause dans les démangeaisons, détectaient directement les allergènes. Et ce grâce à une activité protéase. Il s’agit d’un processus enzymatique partagé par de nombreux allergènes. A partir de là, les chercheurs ont émis l’hypothèse que les cellules immunitaires innées pourraient établir un « seuil » dans les neurones sensoriels pour la réactivité aux allergènes et que l’activité des cellules pourraient aider à identifier quelles personnes sont les plus à risque de développer des allergies.
Une voie de signalisation stimulant la production de certaines molécules
Ici, les scientifiques ont réalisé différents (...)
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