À l'image de leur entraîneur Philippe Montanier, les Toulousains regrettaient que le deuxième but du PSG ait été accordé, compte tenu de la position de Marquinhos sur la frappe de Lionel Messi, après leur défaite (1-2), samedi.

Ils n'ont pas voulu se chercher des excuses après leur défaite face au PSG (1-2), samedi. Mais de la même manière que leur président Damien Comolli après le match nul contre Brest (1-1, le 15 janvier), les Toulousains n'ont pas hésité non plus à dénoncer une décision arbitrale défavorable, selon eux, après la rencontre.

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« Il y a de la frustration sur le deuxième but (de Lionel Messi) parce que Marquinhos est hors-jeu et gêne le gardien (Maxime Dupé), a estimé Philippe Montanier en conférence de presse. Je ne connais pas bien les règles d'arbitrage mais j'ai joué 30 ans dans les buts, je sais que c'est compliqué quand on met des joueurs dans la trajectoire. »

L'entraîneur toulousain faisait référence à la position du défenseur parisien qui, sur la frappe de Messi, s'est baissé au dernier moment pour laisser passer le ballon et, de fait, a masqué Maxime Dupé (58e). Or, à ce moment précis, le capitaine du PSG se trouvait un bon mètre derrière la défense du Téfécé. « Sur le coup, je ne l'avais pas vu, a reconnu le défenseur Anthony Rouault après coup. Mais en revoyant la vidéo après le match, c'est flagrant. Je ne vois pourquoi ça n'a pas été checké (par le VAR). Après je ne sais pas ce qu'il s'est passé. En te disant que ce but n'aurait pas dû être accordé, c'est dommage. »

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Brecht Dejaegere lui non plus n'avait pas fait attention à la position de Marquinhos, sur l'action en question. C'est la raison pour laquelle le capitaine toulousain n'est pas allé se plaindre auprès de l'arbitre, Monsieur Dechepy. Conscient que le score aurait pu être différent, si une autre décision avait été prise, il restait néanmoins fataliste : « Tu sais toujours ici que tu ne vas jamais recevoir de cadeau. »