En phase terminale d'un cancer, elle quitte son mari pour "avoir de meilleurs rapports sexuels" avant de mourir

Nikki et Molly (Instagram Dying for Sex podcast)
Nikki et Molly (Instagram Dying for Sex podcast)

Et elle en fait un podcast, Dying for Sex. Pourquoi ? Parce que “le sexe me fait sentir vivante”, déclare Molly.

En 2011, la nouvelle tombe : Moly est atteinte d’un cancer du sein. Sauf qu’à l’époque, la femme de 41 ans s’ennuie dans sa vie sexuelle et cherche à la pimenter. Avec le traitement, la tentative tombe à l’eau, Molly ne trouve pas l’énergie de remédier aux mornes habitudes. Jusqu’à ce qu’elle apprenne qu’elle est en phase terminale, avec la mort au bout du compte. Elle décide alors d’agir, de divorcer et de satisfaire son appétit insatiable.

Molly s’inscrit alors sur des sites de rencontre et partage son expérience dans un podcast, Dying for Sex. Là, elle raconte ses envies, ses rencontres. Sur ces dernières, elle a arrêté de compter au-delà de 183. Quant aux envies, le traitement a fini par la rendre encore plus “désireuse” de sexe : “j’étais excitée tout le temps” explique-t-elle au Sun. Alors elle comble sa libido, mais sans parler de sa maladie à ses conquêtes. Nikki Boyer, sa partenaire du podcast Dying for Sex, témoigne : “Elle est ouverte sexuellement et émotionnellement. Elle dit que les rencontrent l’aident à se sentir vivante. Elle récupère son corps”.

“N’attendez pas que quelqu’un vous dise qu’il est en train de mourir”

Au-delà de son propre cas, Molly a un message à faire passer : “Les gens pensent à longueur de journée à ce qu’ils feraient, mais on ne sait jamais ce que la vie nous réserve et comment nous allons réagir… Qu'y a-t-il sur votre liste de souhaits ? Pourquoi voulez-vous vivre ? Mon espoir est que les gens entretiennent leurs relations. N’attendez pas que quelqu’un vous dise qu’il est en train de mourir.”

Entendu ?