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Perturbateurs endocriniens : une étude confirme le lien entre exposition aux phtalates et naissances prématurées

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"L’exposition aux phtalates pendant la grossesse constitue un facteur de risque d’accouchement prématuré évitable". Telle est la conclusion d’une étude publiée dans la revue spécialisée JAMA Pediatrics en juillet dernier. Alors, faudrait-il (totalement) interdire l’accès aux phtalates à toutes les femmes enceintes ? La tâche ne s’avère pas si simple : ces molécules plastifiantes sont présentes un peu partout, des emballages alimentaires aux produits cosmétiques en passant par les jouets et les produits d’entretien.

"Avec chaque année 60 000 enfants qui naissent avant huit mois et demi de grossesse, il y a urgence, ne serait-ce que pour soulager les services de pédiatrie", a indiqué au Parisien André Cicolella, le président du Réseau environnement santé (RES). Association à l’origine de l’élimination du bisphénol A dans les biberons en France, le RES réclame désormais le lancement d’une mission flash par le ministère de la Santé, à l’image de ce qui a été fait pour la crise des urgences et des services de pédiatrie. "Même de petites réductions au sein d’une grande population pourraient avoir des impacts positifs sur les mères et les enfants", affirme l’association dans un communiqué.

Le nombre de naissances prématurées en France est estimé à 60 000. Réduire la #prématurité de 7200 cas par an c’est possible ! Urgence de réduire la contamination par les #phtalates, ces perturbateurs endocriniens du quotidien ! (...)

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