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Pendant que vous dormiez. Pêche, Arabie Saoudite et prince Andrew : les informations de la nuit

Pêche : Boris Johnson promet de “défendre les intérêts” du Royaume-Uni. Le Royaume-Uni goûte peu le ton belliqueux des autorités françaises et brandit à son tour la menace de représailles. Paris considère que Londres délivre ses licences de pêche post-Brexit au compte-gouttes, et a donné jusqu’à mardi à Boris Johnson pour régulariser la situation, sous peine d’interdire aux bateaux britanniques de décharger leur cargaison en France. Vendredi, Downing Street a promis de “défendre les intérêts” du royaume, et averti que des contrôles “rigoureux” seraient imposés aux bateaux européens, si la France mettait ses menaces à exécution, rapporte la BBC. Boris Johnson et Emmanuel Macron essaieront d’arrondir les angles en marge du sommet du G20, qui se tient ce week-end à Rome, assure leur entourage.

Yémen : l’Arabie Saoudite rappelle son ambassadeur au Liban. Les déclarations du ministre libanais de l’information, Georges Kordahi, sur “l’absurdité” de la guerre menée depuis 2015 au Yémen par une coalition militaire dirigée par l’Arabie Saoudite, a provoqué la colère de Ryad, selon Al-Jazeera. Les autorités saoudiennes ont rappelé vendredi leur ambassadeur au Liban, et donné 48 heures à l’ambassadeur libanais à Ryad pour quitter le pays. Le royaume a également “interdit toutes les importations du Liban” et “interdit à ses citoyens de se rendre au Liban”, précise la chaîne qatarie. Le Bahreïn, aligné sur Ryad, a pris des mesures similaires.

Le prince Andrew réclame le rejet de la plainte à son encontre pour agressions sexuelles. Poursuivi aux États-Unis pour agressions sexuelles par Virginia Giuffre, l’une des

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