Parti socialiste, grève des cheminots, Syrie : l'essentiel de l'actualité de ce vendredi

Des syndicalistes de SUD-Rail lors d'une manifestation contre la réforme de la SNCF près de la Gare de Lyon, à Paris, le 12 mars 2018. Photo Gerard Julien. AFP

Si vous n'avez rien suivi, on fait le point.

PS. Olivier Faure a plié le match dès le premier tour du congrès : les militants socialistes ont largement soutenu sa candidature, en lui apportant 48,56% des suffrages. Après le retrait du second, Stéphane Le Foll, crédité de 26,10% des voix, il est assuré d'être le prochain chef du PS. Le nombre de votants s’est élevé à 37 014 personnes, un nombre «important» selon le coordinateur du parti Rachid Temal, contre 71 000 au congrès de Poitiers en 2015.

SNCF. Afin de lutter contre la réforme de la SNCF à venir, l’intersyndicale des cheminots a opté hier soir pour une grève au rythme de «deux jours sur cinq» du 3 avril au 28 juin (voir notre calendrier à télécharger). Cette innovation permet aux syndicats de laisser la porte ouverte aux négociations tout en ayant un vrai impact sur le trafic, puisque les arrêts de travail ne tomberont jamais les mêmes jours de la semaine.

Mayotte. Après avoir vanté le week-end dernier la nécessité de nouer des alliances avec d’autres partis de droite, Marine Le Pen passe à l’action : elle appelle à voter LR à l’élection législative partielle de Mayotte, département en proie à une large contestation contre l’insécurité et l’immigration.

Syrie. Au moins 80 civils ont été tués dans des raids aériens visant la Ghouta orientale, cible d’une offensive destructrice du régime syrien depuis près d’un mois, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). Environ 40 000 civils (chiffres revus à la hausse) avaient fui hier la partie rebelle, après un mois de bombardements ravageurs et cinq ans de siège asphyxiant de la part du régime syrien de Bachar al-Assad.

Londres-Moscou. La Russie va expulser des diplomates britanniques en riposte à l’expulsion de 23 de ses diplomates décidée par Londres, a annoncé ce vendredi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. La Russie est accusée par plusieurs pays occidentaux d’être à l’origine de la mort d’un de ses anciens espions. Or, le Kremlin (...)

Lire la suite sur Liberation.fr

Les responsables menacés d’être débarqués par Donald Trump
AFGHANISTAN Guerre et plaies
Le chef de la diplomatie nord-coréenne mène des consultations à Stockholm
Europe: Macron propose à Merkel une «feuille de route claire et ambitieuse d’ici juin»
Opposant russe assassiné en 2015: inauguration d’une plaque commémorative à Moscou