Périph parisien : et si malgré l’annonce d’Hidalgo, il restait possible de rouler à 70 km/h ?
Seule et contre tous, Anne Hidalgo n’en a que faire. La maire de Paris s’est engagée, lundi 9 septembre, à abaisser la vitesse maximale sur le périphérique parisien de 70 à 50 km/h à partir du 1er octobre. Depuis, c’est la déferlante de critiques, et les opposants s’en donnent à coeur joie. Hier, Valérie Pécresse a adopté une motion appelant l’édile à «renoncer» à son projet, jugé «unilatéral, antisocial et inefficace». Un discours enflammé rejoint par celui du groupe d’opposition au Conseil de Paris, Changer Paris (LR, centristes et indépendants). Pour lui, «Anne Hidalgo piétine les Parisiens et les Franciliens et ne tient pas compte de l’avis du préfet et de l’Etat». Rappelons aussi que l’ex-ministre des Transports, Clément Beaune, alléguait en décembre dernier qu’une «validation de l’État» était nécessaire pour mettre en œuvre cette mesure.
Tout le monde campe sur ses positions, et le flou n’est toujours pas dissipé quant à la possibilité de réellement mettre en place la mesure… Alors, qui a la compétence de gestion du boulevard périphérique ? La mairie de Paris peut-elle vraiment décider seule ? Oui, mais il y a quelques subtilités.
Contacté par Capital, la préfecture de police de Paris n’a pas souhaité répondre directement à nos questions. Néanmoins, le service de communication nous informe que «la préfecture de police, sollicitée par la ville de Paris sur le projet d'abaissement de la vitesse maximale autorisée à 50km/h du boulevard périphérique, a précisé dans le cadre des (...)
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