A l'aube de l'investiture de Joe Biden, les derniers détails croustillants sur la vie privée du couple Trump sont racontés dans la presse américaine. L'occasion d'apprendre que les Biden dormiront dans la même chambre, à l'instar de Donald et Melania qui faisaient chambre à part.
Lola Marois cultive son côté rebelle. Alors qu'elle se trouvait dans un train, la comédienne de Plus belle la vie s'est amusée à retirer son masque. La femme de Jean-Marie Bigard a ensuite publié le résultat dans sa story Instagram.
A l’occasion de son 57ème anniversaire, Michelle Obama a posté un selfie d’elle au naturel qui lui a valu une pluie de compliments. Et on comprend : l’ancienne First Lady est tout simplement magnifique !
Les deux amis et collègues de la chaîne M6 Stéphane Plaza et Karine Le Marchand se sont retrouvés en colocation pendant quelques semaines fin 2020. L'animateur a raconté cette cohabitation, mercredi dans "Culture Médias", qui s'est suivie pour lui de galères immobilières.
La tradition veut que le président sortant laisse une lettre à son successeur dans le Bureau ovale. Joe Biden a évoqué celle écrite par Donald Trump.
Aperçus ensemble au cours du premier confinement, les deux acteurs ont pris la décision de rompre, d'après des sources proches de ces derniers.
Manon Fiorot affronte l’Américaine Victoria Leonardo, le 20 janvier 2021 à Abou Dhabi, à l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde. La combattante âgée de 30 ans est seulement la deuxième Française à l’UFC. Focus. « C’est un rêve. Depuis que j’ai commencé le MMA, c’était mon but. » Ce 20 janvier 2021, Manon Fiorot s’apprête à devenir la deuxième Française de l’histoire après Zarah Fairn Dos Santos à évoluer au sein de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde.La suite logique pour une combattante à la progression aussi linéaire que rapide. « J’avais déjà trois titres mondiaux, donc c’était le moment d’aller à l’UFC, expose-t-elle. D’autant que j’ai commencé le MMA tard et que j’ai déjà 30 ans. C’était maintenant ou jamais. C’était le bon timing ».Ex-championne de snowboardPourtant, Manon Fiorot aurait pu prendre une voie totalement différente puisqu’elle a été championne chez les jeunes, en snowboard, un sport de glisse. « La vie a fait que je me suis retrouvée dans un sports-études à la montagne, relativise-t-elle. Là-bas, il y avait du snowboard et je me suis essayée à cette discipline. J’ai tout de suite accroché ».Mais la jeune femme est par la suite revenue à sa première passion. « J’ai commencé le karaté à l’âge de 7 ans, raconte-t-elle. Il y avait un club à côté de la maison. Et mon père pratiquait la lutte. On baignait déjà un peu dans les sports de combats. J’aimais le karaté, je regardais les films de karaté. Et mes copains pratiquaient le karaté ».Après plusieurs années sur les tatamis, l’intéressée est montée sur les rings pour des combats de K-1 et de boxe thaïlandaise, deux sports dans lesquels elle a également excellé rapidement.Des débuts délicats en MMA« En parallèle, j’ai débuté le MMA. » Une incursion dans le monde des arts martiaux mixtes délicate, au départ. « J’ai peut-être voulu aller un peu trop vite, souligne-t-elle. Je suis directement allée aux Championnats du monde amateurs [en 2016, Ndlr], alors que je pratiquais le MMA depuis même pas un an. Les débuts ont été un peu compliqués. Il y a eu des défaites ».Mais, finaliste lors des Championnats d’Europe amateurs 2017, Manon Fiorot retente sa chance à l’échelon mondial, quelques mois plus tard. Avec la médaille d’or au bout, cette fois.Confortée par ce succès aux Mondiaux 2017, elle se lance ensuite dans le milieu professionnel. Elle perd certes son premier combat pro, en juin 2018 en Belgique, au sein du Cage Warriors, une organisation britannique. Mais ce revers n’est qu’une simple parenthèse.Émission de télé-réalité sud-africaineEn 2019, changement de destination et de décor. Manon Fiorot s’envole pour Johannesburg afin de participer à une émission de télé-réalité organisée par l’Extreme Fighting Championship (EFC), ligue numéro une de MMA en Afrique. « C’est mon manager qui a trouvé cette opportunité, notamment grâce à mon titre de championne du monde amateure, explique celle qui s’entraîne au Boxing squad de Nice (Sud de la France). Mais, pour être honnête, je n’avais pas du tout envie de participer à ce genre d’émission. En plus, je ne parlais pas anglais. J’étais super stressée. Je savais que j’allais passer deux mois en Afrique du Sud. Ça a été une expérience assez compliquée à vivre mais, au final, j’ai réussi ».Gagnante du jeu, Manon Fiorot décroche alors un contrat à l’EFC où elle ne tarde pas à devenir reine. En décembre 2019, elle domine en effet nettement la Sud-Africaine Amanda Lino, icône du MMA dans son pays. « C’était la star d’Afrique du Sud. Tout le monde criait ‘Amanda’ lors de ce combat ! À ce moment-là, il y avait encore du public dans les tribunes. C’est un très bon souvenir. »Aux Émirats arabes unis, en terrain connuManon Fiorot devient alors championne du monde de l’EFC. Suite à ce sacre, elle se lance toutefois à l’assaut d’une autre organisation pro, l’UAE Warriors, basée aux Émirats arabes unis. Son bilan dans cette ligue ? Trois victoires par KO technique en 2020, autant de démonstrations, et un maximum de confiance engrangée avant de s’attaquer à l’UFC.D’autant que ses débuts dans le saint des saints du MMA se feront aux Émirats arabes unis, ce 20 janvier 2021. « C’est la quatrième fois de suite que je combats, ici. Je me sens super à l’aise, lance-t-elle. Je ne subis pas les effets d’un décalage horaire, contrairement à mon adversaire ».Lors de l’UFC Fight Island 8, elle va ainsi affronter l’Américaine Victoria Leonardo. Une adversaire dont les qualités ne semblent pas l’impressionner. Pas plus que son statut de deuxième Française à l’UFC. « Je suis concentrée sur mon combat. Je ne pense pas vraiment à tout ça, balaie Manon Fiorot. Maintenant que j’y suis, mon objectif va être de gagner mes prochains combats et d’intégrer le plus rapidement possible le top 10 ». Une élite, chez les poids mouche, où elle estime avoir « [sa] place, largement ».
Jean-François Piège, chef étoilé propriétaire de cinq établissements, a perdu une étoile au Guide Michelin. Un nouveau coup dur pour le restaurateur qui subit, comme tous les autres, les conséquences de la crise de la Covid-19. Non Stop People vous donne plus de précisions.
Le bébé de Shy'm naîtra-t-il sous le signe du Capricorne ou du Verseau ? Quoiqu'il en soit le terme semble proche, comme le montre le sublime cliché publié par la chanteuse et comédienne ce mardi 19 janvier sur son compte Instagram.
Un épidémiologiste anglais alerte sur la présence d’une réaction buccale chez certains patients atteints par le nouveau coronavirus.
Comme des dizaines de milliers de Russes, le président russe s'est plongé brièvement dans l'eau glacée pour célébrer l'Épiphanie et le Baptême du Christ.
« Nous devons faire face à la Chine depuis une position de force », a expliqué, mardi, le prochain secrétaire d?État américain, Antony Blinken.
Le ministre de l'Education nationale assure que la proposition du Conseil scientifique de fermer une classe dès le premier cas positif au variant est une possibilité.
PROCÈS - L’ancien Premier ministre Edouard Balladur est jugé avec François Léotard devant la Cour de justice de la République
Une femme arrêtée en 2015 et prénommée Anchan a été condamnée à 87 ans de prison après le partage de vidéos jugées compromettantes par le roi de Thaïlande. La sentence fait polémique.
Le gouvernement l'assure, le retard pris dans la campagne vaccinale sera rattrapé, alors que de plus en plus d'élus déplorent une pénurie de doses, et que beaucoup de centres ne proposent plus de rendez-vous.
Jamais à une bassesse près, Ivanka Trump est aujourd'hui accusée de politiser l'aide alimentaire aux Etats-Unis, afin de faire son auto-promotion.
Inconnu du grand public il y a encore quelques jours, le handballeur Gauthier Mvumbi est devenu l'espace d'un week-end la sensation du Mondial organisé en Égypte. Le joueur de la République démocratique du Congo s'est fait remarquer par son physique hors normes et ses bonnes prestations. Sa photo s'affiche partout sur les réseaux sociaux. Avec ses 137 kg pour 1,95 m, Gauthier Mvumbi, pivot de l'équipe de handball de la République démocratique du Congo, ne passe pas inaperçu. Depuis le week-end dernier, le joueur est devenu la sensation du Mondial de la discipline qui se tient actuellement en Égypte.Le Congolais a même attiré l'attention de la légende de la NBA Shaquille O'Neal, auquel il a été comparé physiquement. "Ils disent que tu es le Shaq du hand, comment ça va ?", lui a demandé sur son compte Instagram l'ancien pivot des Lakers (2,16 m pour 147 kg), resté célèbre pour avoir cassé plusieurs panneaux de basket avec son poids et sa puissance.À la suite de ce message, cet ex-assistant d'éducation dans un lycée, qui évolue à Dreux, en Nationale 2, la 4e division française, n'a pas manqué de faire le buzz. Une mise en lumière à laquelle il ne s'attendait pas. "Je n'étais pas prêt, vraiment", a-t-il a raconté à l'AFP, dans le jardin de l'hôtel du Caire où toute la délégation congolaise est logée. "C'est ma femme qui a vu le message et qui me dit : 'Shaq a envoyé un message !'"Même si Gauthier Mvumbi s'est fait remarquer par son physique hors normes, il s'est aussi illustré par ses bonnes performances. En seulement 11 minutes face à l'Argentine (défaite 28-22) et 14 face au Danemark (défaite 39-19), il a marqué 8 buts sur 9 tentatives. Cela n'a pas empêché les novices congolais de s'incliner lors des deux premiers matches de la compétition, mais sa domination sur la ligne des 6 m a suscité l'admiration des commentateurs argentins, qui l'ont surnommé "El Gigante" ("le géant"), puis des Danois."J'ai tout à gagner"Alors qu'il n'a plus joué depuis octobre en raison de la pandémie de Covid-19 et de la mise à l'arrêt des rencontres en Nationale, Gauthier Mvumbi profite de cette notoriété inattendue. Lui qui n'avait pas réussi à convaincre Créteil, en 2013, de le garder dans son centre de formation, a l'occasion d'enfin se faire connaître. "Cela ne s'est pas très bien passé", retrace celui qui est alors revenu dans son club formateur, Vernouillet, où il a fréquenté six saisons la N1. Avant de retrouver Dreux, sa ville d'origine, où il habite chez ses parents.Le joueur reconnait que son poids n'a pas été forcément un avantage et a pu freiner sa carrière. "J'ai toujours eu un physique... avantageux", dit-il dans un sourire. "C'est un atout aujourd'hui" parce qu'il l'utilise pour s'imposer au bord de la zone, mais cela lui a peut-être aussi coûté une place à Créteil. "Je pense que ça a dû être le mot d'ordre. J'étais avec Benjamin Pavoni, un entraîneur beaucoup axé sur le physique. Mentalement, je n'étais peut-être pas prêt non plus. C'est pour ça que ça s'est soldé par un échec."Fer de lance de l'équipe des Léopards, présente pour la première fois dans un Mondial, Gauthier Mvumbi est fier de représenter son pays d'origine. "J'ai tout à gagner : que ce soit en positif ou en négatif, on parle de nous", résume-t-il.Le "Shaquille O'Neal du hand" savoure cette revanche, tout en gardant la tête froide. "L'objectif, c'est de passer au second tour", a rappelé l'entraîneur adjoint de la RD Congo, Gabriel Bourguignon, à la veille du match décisif, mardi 19 janvier, face au Bahreïn. "L'idée, c'est de lui dire : profite de ce que tu as, mais reste sur ton objectif qui est d'être performant."Avec AFP
En France, la question de la mémoire de la colonisation puis de la guerre d’indépendance empoisonne depuis 60 ans les relations avec l’Algérie. C’est pour « regarder l’histoire en face » qu’Emmanuel Macron a commandé en juillet dernier un rapport à l’historien Benjamin Stora. Un rapport qui doit être remis cet après-midi au président français. Dans son rapport, l’historien écarte toute idée de repentance et il prend pour exemple les excuses présentées par le Japon à la Corée et à la Chine pour en conclure que cette politique-là « ne calme rien ». Pas question donc de présenter des excuses : « La repentance est une vanité, la reconnaissance c’est la vérité », répète-t-on dans l’entourage d’Emmanuel Macron, mais le président français l’a dit, il veut sortir du déni et des non-dit sur la colonisation et la guerre d’Algérie.Benjamin Stora formule ainsi dans son rapport une petite trentaine de préconisations pour tenter de réconcilier les mémoires. Parmi elles, il y a la constitution d’une commission mémoire et vérité chargée d’impulser des initiatives communes entre les deux pays sur ces questions de mémoire, mais aussi la mise en place de journées de commémoration, le 19 mars par exemple, date anniversaire de la signature des accords d’Evian.Le Panthéon pour Gisèle Halimi ?Autre proposition : la reconnaissance par la France de l’assassinat de l’avocat Ali Boumendjel, militant de l'Union démocratique du Manifeste algérien, tué pendant la bataille d’Alger de 1957. Benjamin Stora appelle à la reprise des travaux du groupe de travail conjoint sur les archives, groupe installé en 2013. Il propose aussi de faire entrer au Panthéon Gisèle Halimi, avocate anticolonialiste, notamment célèbre pour avoir défendu des militants FLN durant la guerre d’Algérie.Ce ne sont pour l’heure que des préconisations, mais à l’Élysée on assure ce matin que bon nombre d’entre elles seront retenues. En effet, Emmanuel Macron a fait de ces questions mémorielles avec l’Algérie un des sujets importants de son quinquennat. On se souvient de cette petite bombe lâchée à la télévision algérienne alors qu’il n’est encore que candidat à la présidence lorsqu’il a qualifié la colonisation française en Algérie de crime contre l’humanité.Une fois élu, Emmanuel Macron va accomplir un premier acte fort : en reconnaissant que le militant communiste Maurice Audin a été assassiné en Algérie par des soldats français. Ce rapport commandé à Benjamin Stora est là une nouvelle étape. L’objectif d’Emmanuel Macron, c’est d’œuvrer à la réconciliation des peuples français et algérien. Le défi est extrêmement ambitieux sachant qu’en France comme Algérie certains continuent encore 60 ans après d’instrumentaliser cette mémoire à des fins politiques.
Les descendants des hippopotames du zoo privé de Pablo Escobar se sont multipliés au point de menacer l’écosystème local.