[No Comment] Les images des funérailles de l'ancien pape Benoît XVI, présidées par François
[No Comment] Les images des funérailles de l'ancien pape Benoît XVI, présidées par François
[No Comment] Les images des funérailles de l'ancien pape Benoît XVI, présidées par François
Le pape François a été accueilli dans une ambiance exaltée jeudi matin à Kinshasa par des dizaines de milliers de jeunes dans l'espoir d'un message de paix, au troisième jour de sa visite en République démocratique du Congo (RDC), en proie à des violences endémiques.Les portes de cette enceinte sportive de 80.000 places ont ouvert dès 03H00 du matin et beaucoup de jeunes attendent un message de réconciliation dans ce pays très catholique rongé par des violences meurtrières à l'est.
Le pape François a exhorté jeudi à Kinshasa des milliers de jeunes à bâtir un nouvel avenir en prenant garde au "tribalisme" et en s'opposant à la corruption en République démocratique du Congo, à l'avant-dernier jour de sa visite dans le pays. Accueilli au rythme des tambours, des chants et des danses traditionnelles jeudi 2 février dans le grand stade de Kinshasa, le pape François a invité les jeunes à être "acteurs" de l'avenir de la République démocratique du Congo (RDC), en proie au chômage
En République Démocratique du Congo, le pape François a célébré, mercredi 1er février, la grande messe très attendue à l’aéroport de Ndolo dans la capitale, Kinshasa, en présence d’une foule immense venue écouter ses paroles ; plus d’un million de personnes selon les autorités. Ce matin, le pape est avec les jeunes au stade des Martyrs. La clameur monte du stade, les tribunes se remplissent, racontent les envoyées spéciales à Kinshasa, Véronique Gaymard et Alice Mesnard. Beaucoup sont vêtus de t
Au deuxième jour de sa visite en RDC, le pape a célébré une messe devant environ un million de personnes, selon les chiffres officiels, avant de rencontrer les victimes des violences de la partie orientale de la RDC. Des délégations sont venues des provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu ou encore de l’Ituri pour rencontrer le souverain pontife. Avec notre correspondant à Kinshasa, Patient LigodiViol, mutilation, assassinat... des histoires tristes, à peine croyables. Des scènes d’horreur racontées
Accueilli dans une ambiance surchauffée jeudi dans le grand stade de Kinshasa, le pape François a invité les jeunes à être "acteurs" de l'avenir de la République démocratique du Congo (RDC), en proie au chômage et à des violences endémiques.Tu appartiens à une histoire plus grande qui t’appelle à être acteur", a-t-il lancé alors que les conflits, le chômage et les luttes de pouvoir assombrissent l'avenir de la RDC, où environ 60% des habitants ont moins de 20 ans.
Le chef de l'Eglise catholique est arrivé, mardi, en début d'après-midi, dans la capitale de la RD Congo pour une étape de quatre jours dans le plus grand pays catholique d'Afrique. Une visite très attendue par les Congolais, la première d'un souverain pontife depuis 1985, soit sous le pontificat de Jean-Paul II. Le pape François doit célébrer une grande messe mercredi, où plus d'un million de personnes sont attendues. "Otez vos mains de l'Afrique!" Dès le début mardi de sa visite à Kinshasa, où
Le pape François poursuit jeudi sa visite en République démocratique du Congo (RDC) par une journée consacrée à l'Eglise, qui joue un rôle central dans ce pays en proie à des violences endémiques.Le chef des 1,3 milliard de catholiques est attendu à 09H30 (08H30 GMT) au stade des Martyrs de Kinshasa pour une rencontre avec des jeunes du deuxième pays catholique d'Afrique.Après avoir salué la foule à bord de sa "papamobile", il entendra des témoignages et prononcera un discours dans l'enceinte sportive, qui peut accueillir 80.000 personnes.Le pape de 86 ans, qui se déplace en chaise roulante en raison de douleurs au genou, rencontrera en fin de matinée le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde à la nonciature apostolique, "ambassade" du Saint-Siège en RDC.En milieu d'après-midi, il se rendra à la cathédrale Notre-Dame du Congo, construite en 1947, où il prononcera un discours devant des prêtres et religieux. Comme à son habitude lors de ses déplacements, le jésuite argentin terminera cette troisième journée de visite par une rencontre privée avec des membres de la Compagnie de Jésus.- "Exploitation sanglante" -Malgré l'influence croissante des Eglises évangéliques depuis les années 1990, l'Eglise catholique conserve un rôle majeur dans l'éducation, la culture ou le développement de la RDC, où elle a souvent fait office de contre-pouvoir.Très attendue, cette visite papale entourée d'une grande ferveur a été marquée mercredi par une séquence forte lors de laquelle François a lancé un "vibrant appel" devant les "cruelles atrocités" perpétrées dans l'Est du pays.Le souverain pontife s'est "indigné" devant "l'exploitation, sanglante et illégale, de la richesse" de la RDC, où les violences de groupes armés ont tué des centaines de milliers de personnes et jeté des millions d'autres sur les routes.Le pape devait initialement se rendre à Goma, grande ville de l'Est au cœur des violences, une étape supprimée en raison des risques pour sa sécurité. Mais il a entendu les "souffrances atroces" de quatre victimes dans des témoignages sans filtre décrivant "des gens découpés, des femmes éventrées, des hommes décapités"."Face à la violence inhumaine que vous avez vue de vos yeux et éprouvée dans votre chair, on reste sous le choc. Et il n’y a pas de mots ; il faut seulement pleurer, en restant silencieux", a répondu le jésuite argentin, qui entend attirer l'attention sur les drames frappant certaines "périphéries" du monde.Quelques heures plus tôt, le pape avait célébré une messe géante en plein air ayant rassemblé selon les autorités un million de fidèles, massés sur un aéroport de l'est de la capitale dans une ambiance survoltée.Il s'agit du quarantième voyage international du chef de l'Eglise catholique depuis son élection en 2013, le cinquième sur le continent africain. Vendredi, il rejoindra Juba, capitale du Soudan du Sud, plus jeune Etat du monde et parmi les plus pauvres de la planète.cmk/at/lpa
Chants, danses, clameurs et banderoles: plus d'un million de personnes, selon les autorités, se sont rassemblées mercredi à Kinshasa pour une messe géante du pape François, au deuxième jour de sa visite en République démocratique du Congo.Beaucoup de fidèles sont arrivés dès mardi soir sur le tarmac de l'aéroport de Ndolo, dans l'est de la capitale, pour passer la nuit sur place avant cette messe en plein air présidée par le jésuite argentin, très attendu dans le pays.Arrivé en "papamobile", le pape a salué la foule qui l'a acclamé avec des drapeaux et des chants traditionnels dans une ambiance survoltée, sous un grand soleil et un important dispositif de sécurité."Quand le pape (Jean Paul II) est venu pour la première fois c’était de l’histoire, j'avais 15 ans, aujourd’hui j’ai 55 ans, donc assister à une première messe papale est très important", déclare à l'AFP Adrien Louka, arrivé avant l'aube."Comme notre pays a beaucoup de problèmes, c’est la réconciliation que nous cherchons et le pape va donner un message pour que les pays qui nous entourent nous laissent en paix !", ajoute-t-il, vêtu d’une chemise colorée avec le logo de la visite papale dans le dos.Dans son homélie en italien, traduite en français, le souverain pontife a d'abord souhaité la paix aux fidèles en lingala, une des quatre langues nationales de la RDC. Il les a ensuite invités à "ne pas céder aux divisions" devant les "blessures" du pays.Pour son premier discours mardi dans la capitale du plus grand pays catholique d'Afrique, Jorge Bergoglio a dénoncé le "colonialisme économique" qui "se déchaîne" dans ce pays au sous-sol d'une immense richesse et à la terre fertile, mais dont les deux tiers des quelque 100 millions d'habitants vivent sous le seuil de pauvreté."Cessez d’étouffer l’Afrique: elle n’est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser", a lancé le pape devant les autorités et le corps diplomatique au palais présidentiel. Dès son arrivée, il avait été accueilli dans la liesse populaire par des dizaines de milliers de personnes massées le long des grandes avenues de la mégapole de quelque 15 millions d'habitants.- Rencontre avec des victimes - Autre temps fort de cette étape à Kinshasa, le chef spirituel de l'Eglise catholique rencontrera mercredi après-midi des victimes de violences dans l'est du pays.François devait initialement se rendre à Goma, dans le Nord-Kivu, province congolaise frontalière du Rwanda en proie à de nombreuses violences et à la résurgence du groupe armé M23 qui a conquis au cours des derniers mois de vastes pans du territoire.Mais cette étape, qui figurait dans le voyage prévu en juillet 2022 puis reporté à cause des douleurs au genou du pape de 86 ans, a finalement été supprimée en raison des risques de sécurité, jugés trop importants.L'est de la RDC compte des dizaines d'autres groupes armés, dont des rebelles islamistes qui prennent pour cible des civils.Mardi, le pape a "encouragé les processus de paix en cours" afin que "les engagements soient tenus". Il a aussi évoqué l’environnement, l'éducation, les problématiques sociales et sanitaires, des thématiques sur lesquelles il devrait revenir lors de ses prochaines prises de parole.Mercredi en fin d'après-midi, le pape prononcera son troisième et dernier discours de la journée devant des représentants d'oeuvres caritatives.Il s'agit du quarantième voyage international de François depuis son élection en 2013, le cinquième sur le continent africain. Après Kinshasa, il rejoindra vendredi Juba, capitale du Soudan du Sud, plus jeune Etat du monde et parmi les plus pauvres de la planète. cmk/at/emd
Le "colonialisme économique" est le fait de multinationales et pays lointains, mais des pays voisins de la RDC sont désormais accusés eux aussi du pillage des ressources.
"Otez vos mains de l'Afrique!" Dès le début mardi de sa visite à Kinshasa, où il a été accueilli avec ferveur, le pape François a dénoncé le "colonialisme économique" qui "se déchaîne" notamment en République démocratique du Congo, vaste pays en proie à des violences endémiques."Cessez d'étouffer l'Afrique: elle n'est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser", a lancé le pape, dans un discours en italien prononcé devant les autorités et le corps diplomatique au palais présidentiel. Ses mots ont été applaudis, résonnant particulièrement en RDC, pays au sous-sol d'une immense richesse et à la terre fertile, dont les deux tiers des quelque 100 millions d'habitants vivent avec moins de 2,15 dollars par jour.Le "colonialisme économique" était le fait de multinationales et pays lointains, mais des pays voisins de la RDC sont désormais accusés eux aussi du pillage des ressources de la RDC, qui leur profite économiquement et alimente les conflits.La RDC fait notamment face à la résurgence du groupe armé M23 qui a conquis ces derniers mois de vastes pans de territoire dans le Nord-Kivu, province congolaise frontalière du Rwanda accusé d'ingérence par Kinshasa.Intervenant avant le pape, le président congolais Félix Tshisekedi a réitéré ces accusations. "Outre des groupes armés, des puissances étrangères avides des minerais contenus dans notre sous-sol commettent, avec l'appui direct et lâche de notre voisin le Rwanda, de cruelles atrocités", a-t-il déclaré.L'est de la RDC compte des dizaines de groupes armés, dont des rebelles islamistes qui prennent pour cible des civils. La visite du pape intervient d'ailleurs deux semaines après un attentat sanglant revendiqué par le groupe Etat islamique (EI) dans une église pentecôtiste du Nord-Kivu.Dans son discours, François a exhorté les Congolais à ne pas "glisser dans le tribalisme et la confrontation" et "encouragé les processus de paix en cours" afin que "les engagements soient tenus".- Elections transparentes -Il n'a par ailleurs pas ménagé la classe dirigeante, appelant à "favoriser des élections libres, transparentes et crédibles" face à la menace de la corruption, alors qu'une élection présidentielle est prévue dans le pays le 20 décembre.L'Eglise jouant un rôle majeur dans la société et la politique de RDC, les Congolais attendaient du pape un message sur ce terrain de la démocratie, en plus de celui des conflits.Dès mardi matin, des Kinois avaient commencé à se rassembler aux abords de l'aéroport international, où l'avion du souverain pontife a atterri en début d'après-midi.Au son de chants, tambours, fanfare et tams-tams, la foule a grossi au fil des heures, de plus en plus dense et impatiente. "J'ai vu un ange", déclare une jeune fille, transportée de joie après avoir vu le pape dans sa "papamobile". Sur les quelque 25 km menant au centre-ville, le convoi officiel a été salué par des dizaines de milliers de personnes massées le long des grandes avenues de la mégapole de quelque 15 millions d'habitants. "Je ne voulais pas manquer cette opportunité de le voir en face", déclare dans la foule à l'AFP Maggie Kayembe, la trentaine. Le pape "prêche toujours la paix où il passe, et la paix, on en a vraiment besoin", ajoute la jeune femme.Initialement prévue en juillet 2022, cette visite avait été reportée en raison des douleurs au genou du pape de 86 ans, qui se déplace en chaise roulante, mais aussi des risques de sécurité à Goma, dans l'est du pays, une étape finalement supprimée.Mardi soir, des dizaines de milliers de personnes devraient participer à une veillée de prière à l'aéroport N'dolo de Kinshasa, où elles passeront la nuit, avant une messe géante mercredi matin à laquelle plus d'un million de fidèles sont attendus.Ces derniers jours, les préparatifs s'étaient accélérés dans la capitale congolaise, où banderoles et panneaux géants rivalisent de messages de bienvenue pour le premier pape à visiter le pays depuis Jean Paul II en 1985.Lors de sa visite de quatre jours, François rencontrera également des victimes de violences, des membres du clergé et des représentants d'œuvres caritatives.Dans son premier discours, le chef des 1,3 milliard de catholiques a aussi évoqué l'environnement, l'éducation, les problématiques sociales et sanitaires, des thématiques sur lesquelles il devrait revenir lors de ses prochaines prises de parole.Il s'agit du quarantième voyage international de François depuis son élection en 2013, le cinquième sur le continent africain. Après Kinshasa, il rejoindra vendredi Juba, capitale du Soudan du Sud, plus jeune Etat du monde et parmi les plus pauvres de la planète. cmk-bur/at/fal
En visite sur le continent africain, le pape François a été accueilli par des dizaines de milliers de personnes à Kinshasa, en République démocratique du Congo.
Le pape François est attendu mercredi pour une messe géante à Kinshasa qui pourrait rassembler plus d'un million de personnes, au deuxième jour de sa visite en République démocratique du Congo (RDC).Dès mardi soir, des fidèles affluaient vers l'aéroport de Ndolo, dans l'est de la capitale, pour veiller toute la nuit jusqu'à la messe en plein air présidée par le jésuite argentin à 09H30 (08H30 GMT)."Je viens à la veillée pour pouvoir assister à la messe, car je n'ai pas l'habitude de me réveiller très tôt...", explique à l'AFP Franciane Sudila, 24 ans. Les fidèles ont été prévenus: à 07H30, les accès au site seront fermés. "J’ai apporté un peu d’eau pour me débarbouiller et des habits de rechange pour demain", poursuit la jeune femme.Alors que résonne de la musique religieuse et que la pluie semble menacer, Véronique Mapinzi se prépare elle aussi à passer la nuit à Ndolo, avec son bébé. "Je ne peux rater cette bénédiction du pape, c’est la raison pour laquelle je vais veiller avec mon enfant", dit-elle.Patrick Kazadi, 31 ans, choriste à la paroisse Notre Dame de Fatima, est assis seul et écoute de la musique sur son portable. Il espère l'aide de "Dieu, par l’intercession du Saint-Père, dans cette situation de guerre dans laquelle" la RDC est plongée depuis des années.Arrivé mardi dans la capitale du plus grand pays catholique d'Afrique, Jorge Bergoglio a dénoncé le "colonialisme économique" qui "se déchaîne" dans ce pays au sous-sol d'une immense richesse et à la terre fertile, dont les deux tiers des quelque 100 millions d'habitants vivent sous le seuil de pauvreté."Cessez d’étouffer l’Afrique: elle n’est pas une mine à exploiter ni une terre à dévaliser", a lancé le pape devant les autorités et le corps diplomatique au palais présidentiel. Quelques heures plus tôt, il avait été accueilli dans la liesse populaire avec clameurs, banderoles et drapeaux par des dizaines de milliers de personnes massées le long des grandes avenues de la mégapole de quelque 15 millions d'habitants. - Rencontre avec des victimes - Autre temps fort de cette étape à Kinshasa, le chef spirituel de l'Eglise catholique rencontrera mercredi après-midi des victimes de violences dans l'est du pays.François devait initialement se rendre à Goma, dans le Nord-Kivu, province congolaise frontalière du Rwanda en proie à de nombreuses violences et à la résurgence du groupe armé M23 qui a conquis au cours des derniers mois de vastes pans du territoire.Mais cette étape, qui figurait dans le voyage prévu en juillet 2022 puis reporté à cause des douleurs au genou du pape de 86 ans, a finalement été supprimée en raison des risques de sécurité, jugés trop importants.L'est de la RDC compte des dizaines d'autres groupes armés, dont des rebelles islamistes qui prennent pour cible des civils.Mardi, le pape a exhorté les Congolais à ne pas "glisser dans le tribalisme et la confrontation" et "encouragé les processus de paix en cours" afin que "les engagements soient tenus".Il a aussi évoqué l’environnement, l'éducation, les problématiques sociales et sanitaires, des thématiques sur lesquelles il devrait revenir lors de ses prochaines prises de parole.Mercredi en fin d'après-midi, le pape prononcera son troisième et dernier discours de la journée devant des représentants d'oeuvres caritatives.Il s'agit du quarantième voyage international de François depuis son élection en 2013, le cinquième sur le continent africain. Après Kinshasa, il rejoindra vendredi Juba, capitale du Soudan du Sud, plus jeune Etat du monde et parmi les plus pauvres de la planète. cmk-dm/at/rr
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