“Ne venez plus ! ” : installé au Cap Ferret, Pascal Obispo n’en peux plus de la surfréquentation touristique, il “vit un enfer”

Pascal Obispo est de retour sur le devant de la scène après quelques ennuis de santé. Il sort en effet son nouvel album "L'Archipel des séquelles". À l'occasion de sa promotion, le chanteur s'est confié au micro d'Europe 1 dans l'émission Culture Médias. Si l'artiste a évoqué sa collaboration musicale avec Carla Bruni sur le titre "Son âme d'enfant", c'est surtout son coup de gueule sur le Cap Ferret qui a retenu l'attention.

Le Cap Ferret : le paradis perdu de Pascal Obispo

Pascal Obispo entretient une relation particulière avec le Cap Ferret depuis son enfance. "Depuis 1970, j'y passe tous mes étés. C'est ici que j'ai appris à nager et que j'ai fait mes premiers radios-crochet, au Club Mickey...", avait-il confié au Journal du Dimanche il y a quelques années. Cette presqu'île du bassin d'Arcachon est devenue au fil du temps son refuge, son havre de paix.

Mais la popularité croissante de l'endroit a radicalement changé la donne. "Ne venez plus au Cap Ferret, ça serait bien parce que c'est devenu autre chose, c'est un peu compliqué...", a lancé le chanteur, visiblement agacé. Une transformation qui l'affecte profondément : "C'est un endroit magnifique, mais c'est un enfer, je ne sors plus de chez moi !"

L'artiste, propriétaire d'une maison sur place - un ancien centre de vacances transformé en demeure et studio d'enregistrement - se retrouve aujourd'hui prisonnier de son propre paradis. "Avec les embruns, l'air des pins et des mimosas, on y est bien. J'aime de plus en plus travailler ici. J'y ai composé une grande partie de mon dernier projet", expliquait-il, nostalgique.

Le cri d'alarme de Pascal Obispo

D’autres stars domiciliées au Cap Ferret partagent le coup de gueule de Pascal Obispo. Guillaume Canet, qui y possède également une résidence avec Marion Cotillard, avait exprimé des regrets similaires en 2021 : "Ça me saoule, parce que c'est mon lieu de vacances et de retraite. Je ne suis plus tranquille."

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