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Natalité ou remplacement : l’Europe face au grand choix

BERTRAND GUAY / AFP

Une nouvelle fois, Bruxelles fait la promotion de l’immigration de masse pour pallier notre déclin démographique. Alors que le Conseil a demandé à la Commission européenne, en juin, « une boîte à outils pour répondre aux défis démographiques », Dubravka Šuica, vice-présidente de la Commission en charge de la Démographie, a émis ses propositions. La principale ? « L’immigration est le seul moyen d’aider notre marché du travail ».

Promotion des « migrations de remplacements »

Ce n’est pas la première fois. Nous avons l’habitude d’entendre Ylva Johansson, communiste suédoise commissaire aux affaires intérieures de l’UE, tenir les mêmes propos. Elle a ainsi expliqué en 2020, dans un entretien à La Croix, qu’« il est crucial d’ouvrir autant de voies de migration légale que possible. L’Europe a besoin de main-d’œuvre car le continent vieillit ». L’ONU aussi envisage les « migrations de remplacement » comme une solution pour l’économie du Vieux continent.

Non seulement l’immigration de masse change déjà les équilibres politiques, volant au peuple historique la pleine maîtrise de son destin, mais elle aura des répercussions similaires sur tous les aspects de notre société : la place des femmes, notre rapport à la religion, à la philosophie, à l’art, à l’écologie, à la violence, à la justice, etc.

En outre, le prétendu argument économique est un mensonge. Combien de fois avons-nous entendu dire que « les immigrés vont payer nos retraites » ? Alors qu’en réalité ils travaillent ...


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