Narendra Modi, Élisabeth II, M6-TF1 : les informations de la nuit
Narendra Modi dit à Vladimir Poutine que l’heure n’est pas à la guerre. “Après la Chine, l’Inde prend ses distances avec la Russie, et Poutine met en garde contre une escalade”, résume le New York Times. Présent aux côtés du président russe Vladimir Poutine pour un sommet régional en Ouzbékistan vendredi 16 septembre, le Premier ministre indien Narendra Modi a souligné que l’heure n’était “pas à la guerre”. M. Poutine, “de plus en plus isolé”, a pour sa part menacé d’actions “plus sérieuses” en Ukraine tout en insistant sur le fait qu’il était prêt pour des pourparlers. L’avertissement télévisé de M. Modi est arrivé alors que la veille, M. Poutine avait reconnu que le dirigeant chinois Xi Jinping avait des “questions et des préoccupations” au sujet de la guerre, rappelle le journal.
Élisabeth II : veillée funèbre de ses quatre enfants. Alors qu’à l’extérieur de l’édifice l’interminable queue pour se recueillir n’avait cessé de s’allonger vendredi, dans la soirée le roi Charles III, “les yeux rougis”, Anne, Andrew et Edward ont pris place auprès du cercueil d’Élisabeth II, à Westminster Hall, la plus ancienne salle du Parlement britannique. “Il s’agissait du dernier hommage cérémonial poignant de ses enfants à une mère et à leur reine, avant ses funérailles d’État lundi, note The Guardian. Et, comme tant d’autres occasions au cours de la semaine dernière, un moment profondément privé s’est joué très publiquement.” Samedi soir, indique le journal, les huit petits-enfants de la reine veilleront à côté du cercueil de la défunte reine.
M6-TF1 renoncent à la fusion. Les groupes de télévision français TF1 et M6 ont renoncé vendredi à unir leurs forces à la suite des objections des autorités françaises de la concurrence à leur fusion. “L’accord, qui était considéré comme une tentative des deux sociétés de télévision commerciale de créer une puissance européenne capable d’affronter les géants mondiaux du streaming, a été abandonné après l’enquête de l’Autorité française de la concurrence sur la fusion”, écrit The Hollywood Reporter. “Les sociétés ont déclaré vendredi qu’après avoir rencontré l’organisme de surveillance antitrust, il est devenu évident qu’elles ne recevraient l’approbation de l’accord qu’à la condition de vendre l’une des chaînes phares des deux réseaux : TF1 ou M6.”