N’oubliez pas les paroles (France 2) : "J'ai l'impression de ne pas avoir quitté le plateau", Coline nous parle de ses premières Masters (EXCLU)
Avez-vous déjà eu le temps de dépenser vos gains vu votre récent parcours ?
Coline : Je les ai bel et bien touchés et j'ai acheté une machine à café à grains (rires). Et du coup, il y a le mariage aussi qui est prévu pour septembre 2025. On a réservé la salle, on commence à avancer, mais on a encore de la préparation. On ira peut-être au printemps à Disneyland au printemps avec mon fils et il n'a pas oublié ma promesse (rires). Il attend impatiemment et moi aussi, parce que j'adore !
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C'est votre première fois dans les Masters. Plutôt stressée ou excitée ?
Je suis plus excitée que stressée (rires). Parce qu'au final, je me suis tellement dit : "Ils sont hyper forts, je ne vais pas arriver à rivaliser", que je dois essayer de profiter au maximum et de prendre du plaisir. Du coup, je suis plus excitée de rencontrer tout le monde et de faire ces émissions que stressée de jouer. Je suis tellement contente, encore une fois.
Comment vous vous y êtes prise pour vos révisions ?
À un moment, je me suis dit qu'il aurait fallu que je comble un peu mes lacunes en apprenant des mal aimés ou même des classiques que je ne maîtrisais pas trop, ou pas complètement. Et au final, le temps est passé vite (rires), donc j'ai surtout revu les mêmes chansons en me disant qu'il fallait que je me concentre un peu plus sur les fins de chansons. Parce que c'est vrai que pendant le parcours, on a rarement besoin de chanter jusqu'à la fin, alors que là, on sait qu'aller jusqu'à la fin, c'est primordial et ça peut jouer le match. Donc j'ai essayé de me concentrer un peu plus sur les fins de chansons.
Vous êtes la quinzième plus grande maestro de N'oubliez pas les paroles. Avez-vous ressenti une certaine pression pour ses premières Masters ?
J'avais peut-être la pression de montrer que je mérite ma place, parce que c'est vrai que c'est quelque chose pour moi qui a été difficile à imaginer. J'ai toujours un peu le syndrome de l'i...
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