Mourir peut attendre : Que vaut le 25e opus de la saga James Bond ?

Aux premières notes du mythique générique, composé par John Barry, nous voilà comme des gamins, heureux et impatients. Parce qu’un James Bond est toujours un événement. Celui-ci, plus que les autres. « This is the end », chantait Adèle dans Skyfall. On y est. Daniel Craig fait ses adieux à 007, qui l’a révélé au grand public, en 2006, avec Casino Royale. De sa cinquième et dernière mission dans le smoking de l’espion de sa Gracieuse Majesté, nous ne dévoilerons rien ici, ou presque : le Spectre est mort, vive Lyutsifer Safin ! James Bond a un nouvel ennemi diabolique, incarné par Rami Malek (le Freddie Mercury de Bohemian Rhapsody) tout en douceur létale. Alors que vaut ce 25e opus, tant attendu en raison de la pandémie, qui a plusieurs fois reporté ce rendez-vous ?

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Bâti sur 2h45 (le plus long de la saga, inspirée des romans de Ian Flemming), le film souffre d’une baisse de régime à mi-parcours, offre peu de rebondissements, sans doute parce qu’il ne peaufine pas assez les profils de ses personnages. Ils ont pourtant une belle étoffe. A l’image de cette espionne cubaine « glam and furious », jouée par la bien nommée Ana de Armas : elle fa... Lire la suite sur Télé 7 Jours

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