Mort d’Alain Delon : "à l’instar de Brigitte Bardot…", pourquoi son physique ravageur a été un poids
"Ce qui m'importait, c'était de ne pas être synonyme de la chanson de Brel, 'Beau, beau, beau, et con à la fois'. Je crois que j'ai tellement vécu fortement avec le physique que m'avait donné la nature, que j'en ai oublié d'être con". Toute sa vie, Alain Delon a su qu'il était beau. Depuis son enfance, l'acteur disparu le 18 août en a parfois souffert. "La beauté, elle était là. Tout le monde me le disait, tout le temps. Les femmes me le disaient, et pas seulement les femmes", racontait Alain Delon à Paris Match. "Quand on m’a proposé de faire du cinéma, je posais la question : 'Pourquoi moi ?' Et c’est ce qu’on me répondait, on me parlait de cette beauté en permanence, disait-il à Paris Match. Si j’avais compris qu’il s’agissait d’un pouvoir, d’une arme, je n’aurais pas commencé ma vie en étant charcutier. Au fond, rien ne s’est fait par moi mais par les femmes. J’ai été fou des femmes très tôt, et en particulier de celles qui avaient cinq ou dix ans de plus que moi."
Le point commun entre Alain Delon et Marilyn Monroe
"Et quand je suis rentré de l’armée, je me suis retrouvé à vivre à Pigalle, au Régina, se souvenait-il auprès de nos confrères. Quelque temps après, plusieurs jeunes femmes travaillaient et me faisaient vivre. Elles étaient folles de moi parce qu’il paraît que j’étais beau." Mais pour Alain Delon, cette beauté magnétique a parfois été dure à vivre. "A l'instar de Brigitte Bardot, Marylin Monroe... (...) Disparition de Lina dans le Bas-Rhin : de nouvelles fouilles en secret, cet endroit particulier ratissé
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