Publicité

Momie d'Egypte, procréation et boissons sucrées : l’actu des sciences en ultrabrèves

Au sommaire des ultrabrèves du 27 janvier 2023 : la découverte d’une momie recouverte d’or âgée de 4000 ans en Egypte, les hommes procréent 7 ans plus tard en moyenne et la taxe sur les boissons sucrées a montré des effets bénéfiques sur la santé des Anglais.

L'actualité scientifique du 27 janvier 2023 c'est :

En archéologie : L'Égypte annonce la découverte de quatre nouvelles tombes de dignitaires pharaoniques et d'une momie couverte d'or.

  • Le 26 janvier 2023, le pays des pyramides a annoncé la découverte de 4 tombes de dignitaires pharaoniques ainsi qu’une momie de 4000 ans.

  • Ces vestiges de l’Egypte antique ont été retrouvés dans la nécropole de Saqqarah près du Caire.

  • La momie était couverte d’or et selon les égyptologues, il s’agit de l’une des plus anciennes et des mieux conservées des momies royales.


En archéologie : Les hommes ont toujours eu des enfants plus tardivement que les femmes, et ce depuis 250 000 ans.

  • Depuis 250.000 ans, les hommes ont en moyenne 7 ans de plus que les femmes au moment de procréer.

  • Cela fait 5000 ans que cette différence a tendance à se resserrer.

  • Pour déterminer cette différence, les chercheurs se sont intéressés aux mutations des gènes transmis des parents aux enfants car celles-ci apparaissent et s’accumulent avec l’âge.


En nutrition : Taxer le sucre des boissons : une mesure surtout efficace pour les jeunes filles de milieux populaires.

  • Depuis qu’en 2016 l’Angleterre s’est mise à taxer les boissons sucrées, la santé de sa population s’est améliorée.

  • Ce sont les jeunes filles issues de milieux populaires qui en ont tiré le plus de bénéfices.

  • Chez les filles de 8 à 11 ans, l'obésité a baissé de 8% alors que chez les garçons il n’y a pas eu de changements significatifs.


En santé : Les fourmis sont bien aptes à détecter les cancers.

  • Avec de l'entraînement, les fourmis peuvent reconnaître l’odeur des tumeurs dans l’urine.

  • Pour en venir à cette conclusion, les chercheurs ont utilisé des souris auxquelles ils ont greffé des tumeurs de cancer humain dont les fourmis ont appris à repérer l’odeur distinctive de leur urine.

  • Selon les chercheurs, l’utilisation des fourmis comme biodétecteurs en médecine n’est pas pour tout de suite car il reste de nombreux essais à réaliser.


En a[...]

Lire la suite sur sciencesetavenir.fr

A lire aussi