La mise à l'eau d'un radeau pneumatique ne se passe pas comme prévu
Cette vidéo hilarante filmée au Brésil lors d'une sortie rafting, montre des amis qui ratent complètement la mise à l'eau de leur radeau pneumatique.
Depuis l'annonce de la mort du prince Philip, les hommages se multiplient. Sophie de Wessex, l'épouse du prince Edward, a rendu visite à la reine Elizabeth II et n'a pas pu retenir ses larmes.
Une question indiscrète de Michel Drucker a fait rougir le chanteur Vianney sur le plateau de Vivement Dimanche, sur France 2. Invité à parler de sa femme Catherine Robert, la star a tenté d'esquiver la question face au présentateur, déterminé.
Si les temps sont difficiles pour Nehuda, la jolie instagrameuse n’en oublie pas pour autant ses abonnés : elle a publié une nouvelle photo très sexy qui a rapidement enflammé ses fans dans les commentaires !
COME BACK - La cheffe des urgences pédiatriques du CHU de Toulouse appelle à un retour des gestes barrières pour éviter de démultiplier les épidémies
Ce dimanche 11 avril, M Pokora a enchanté sa communauté de fans en publiant plusieurs photos et vidéos avec sa femme Christina Milian sur son compte Instagram. L’occasion d’afficher sa fierté pour celle qui vient d’accomplir un vrai tour de force !
La reine Elizabeth II partageait son époux avec Penny Brabourne, la deuxième femme de la vie du prince Philip. La comtesse de Mountbatten pleure, tout en discrétion, la mort de son confident.
La mort du prince Philip a bouleversé la famille royale britannique. Après une période de deuil de quinze jours, pour pleurer son mari, la reine Elizabeth II devrait retourner à ses obligations royales.
Avant de disparaître sans laisser de traces, Aurélie Vaquier avait envoyé des SMS à ses proches afin de les prévenir de son intention de se reposer à la campagne. Des messages inquiétants, comme le confient ses proches aux caméras de Sept à Huit.
Les nièces de la défunte princesse de Galles ont grandi loin des regards indiscrets, avec leur mère, en Afrique du Sud. À présent, Lady Amelia et Lady Eliza Spencer sortent de l'ombre.
Riz parfumé et viandes grillées, aubergines savoureuses, douceurs à l’eau de rose… La gastronomie iranienne est connue pour être variée et saine. Loin d’être figée, elle évolue cependant avec la société. Ainsi, depuis la Révolution de 1979, l’instruction puis l’émancipation des femmes, le développement des réseaux sociaux et les difficultés économiques sont venus bouleverser les habitudes alimentaires des Iraniens. Elle est loin l’époque où les femmes iraniennes se retrouvaient devant chez elles pour nettoyer et trier les herbes nécessaires à la préparation d’un bon ghormeh sabzi, une sauce à la base de viande et aux herbes. « Depuis une dizaine d’années, on trouve des produits déjà prêts sur le marché », affirme Sareh, 37 ans, jeune maman. Aubergines déjà rôties, haricots prêts à être utilisés… Les enseignes l’ont compris, les Iraniennes passent moins de temps aux fourneaux. « Disons qu’on nous facilite la tâche grâce à ces produits », poursuit Sareh.Sam Tavassoli dirige le restaurant iranien Mazeh, à Paris. Diplômé de la célèbre école de cuisine Ferrandi de la capitale, il a été initialement formé à la cuisine française avant de découvrir la complexité de la cuisine iranienne en rejoignant l’entreprise familiale en 2004, à l’âge de 25 ans. Selon lui, c’est indéniable : pour cuisiner un plat iranien, il faut prendre le temps. « La cuisine iranienne est très fine. C’est une explosion de saveurs », explique-t-il. Or, depuis la Révolution de 1979, le mode de vie des Iraniens a changé. Les difficultés économiques et l’instruction des femmes a propulsé ces dernières sur le marché du travail, ce qui a eu une incidence dans les assiettes. « Notre façon de manger a beaucoup évolué depuis environ vingt ans », constate Mona, 35 ans, étudiante en psychologie à Téhéran. Pizza à réchauffer au four, nuggets à cuisiner à la poêle… Depuis une vingtaine d’années, dans les centres commerciaux iraniens, les plats préparés à destination des plus pressés sont en effet légion. Selon Reyaneh, 29 ans, les jeunes apprécient également de plus en plus de manger dehors, « soit parce qu’ils travaillent, soit parce qu’ils n’ont juste pas envie de préparer à manger », explique la jeune traductrice téhéranaise.Différence générationnelleL’arrivée d’internet a également modifié certaines habitudes. Les services de livraisons en ligne, tels que Snappfood (l’équivalent de Deliveroo), surtout utilisés par les jeunes générations d’Iraniens, connaissent un fort succès ces trois dernières années. « Les gens qui travaillent dans les fast-food sont des jeunes. Alors que dans les restaurants traditionnels, ce sont des personnes âgées qui ne savent pas utiliser ces nouvelles technologies », analyse Ahmad, 35 ans. Mona, pour sa part, continue pour l’instant d’aller chercher son repas directement chez le restaurateur : « Comme ils sont encore très récents, les services de livraison ne sont pas encore au point. Je lis beaucoup de commentaires négatifs : des repas qui arrivent froids ou le temps d’attente pour avoir un opérateur… Je crois que la plateforme prend trop de commandes dans le seul but de faire des bénéfices et sans penser aux clients », regrette la jeune femme.Avec la généralisation d’internet, certaines mamans tentent de nouvelles recettes. « Certains repas qu’on faisait très souvent avant, comme le abgoosht ou le koufteh, ne font plus autant partie de nos habitudes alimentaires. Ce sont des recettes qu’on va surtout retrouver chez nos grand-mères », analyse Reyhaneh.Dans son restaurant à Paris, Sam Tavassoli accueille souvent des familles iraniennes. Il observe aussi cette différence générationnelle dans la diaspora. « Quand on a nos grandes tablées familiales, les plus anciens prennent toujours un chelo kabab [plat composé de riz cuit à la vapeur et de l'une des nombreuses variétés de kabab iranien] et les plus jeunes un ghormeh sabzi [ragoût d'herbes], et, souvent, on entend le père dire : "Mais pourquoi vous mangez ça ! Ici, il faut manger des kababs !" », sourit-il.Le restaurant, un espace de vie et de libertéReza Javanmardi, 63 ans, vit à Téhéran. Il se souvient qu’avant la Révolution, il allait très peu au restaurant. « Les repas étaient traditionnellement préparés par les mères, les tantes ou les grand-mères, tout était frais et fait maison. On mangeait du riz que deux fois par semaine et, lors de certaines occasions, on achetait des kababs chez le kababi du coin. Mais tout a changé après la Révolution. Aujourd’hui, si tu demandes à un jeune de trente ans ce qu’il mange, il va te dire : "Spaghettis, tagliatelles, lasagnes et pizza". La viande et les herbes sont conservées dans le congélateur pendant un mois et les femmes ne font plus la cuisine comme avant », constate le vieil homme, un brin nostalgique.Aujourd’hui, beaucoup d’Iraniens affirment qu’aller au restaurant est la seule chose qu’ils puissent faire librement. Ainsi, ces dernières années, les cafés et restaurants poussent comme des champignons, notamment à Téhéran. Fête d’anniversaire, café en amoureux, pause cigarette… Derrière les façades grises des immeubles se cache souvent un petit havre de paix pour la jeunesse avide de liberté. Sam Tavassoli se rend régulièrement en Iran, il constate aussi cette évolution. « Il y a une dizaine d’années, en Iran, les cuisiniers n’étaient pas bien vus, il n’y avait pas de créativité. […] Aujourd’hui, en revanche, grâce aux réseaux sociaux, il y a du respect pour ce métier et chaque année, il y a de nouveaux restaurants avec de nouveaux concepts », se réjouit le restaurateur.Une mode occidentale« Dans la rue principale près de chez nous, il y a plein de chaînes de fast-food… », décrit Mona. « C’est une mode qui vient de l’Occident. Nous avons l’équivalent de KFC, de Five Guys, de McDonald’s… avec des logos différents qui ressemblent cependant aux originaux », affirme Ahmad. En effet, en 2015, juste après la signature de l’accord nucléaire, un Mash Donald, avec le même « M » jaune, typique de la marque américaine, a par exemple vu le jour à Téhéran. L’établissement rejoint ainsi le Kabooky Fried chicken (KFC) et Pizza Hat (Pizza Hut). Un pied de nez au régime religieux qui cherche depuis plus de quarante ans à limiter l’influence étrangère.Au même titre que la consommation de cigarettes et l’abus d’alcool, l’évolution des habitudes alimentaires iraniennes pourrait ainsi traduire certaines frustrations de la jeunesse et illustre leur aspiration à un mode de vie occidental. Sur les réseaux sociaux, on trouve ainsi régulièrement des vidéos de restaurateurs qui préparent des sandwiches gigantesques mêlant parfois ingrédients traditionnels et junk-food. Pour Mona, la malbouffe iranienne est de plus en plus bonne. « Il y a beaucoup de nouveaux ingrédients. Maintenant, dans les sandwiches, on peut trouver du fromage cheddar, il y a également du pesto… », explique-t-elle avec passion. Ahmad confirme : « Quand j’étais plus jeune, on mettait juste de la charcuterie, une tomate et un cornichon dans le sandwich. Il n’y avait pas autant de variétés de sauces et de pains qu’aujourd’hui », se souvient-il.Néanmoins, l’inflation provoquée notamment par les sanctions économiques oblige les Iraniens à se restreindre de plus en plus. Ces dernières années, de nombreuses familles ne peuvent plus se permettre de manger dehors, une situation exacerbée par la crise sanitaire. « Peut-être que dans quelques années, aller au restaurant ne sera le privilège que d’une partie de la population… », regrette Mona.
Le prince Philip devait fêter ses 100 ans en juin, un anniversaire qui ne l'enchantait pas vraiment. Le duc d'Édimbourg souhaitait que ce soit un jour discret où son seul projet soit de se rendre à l'église.
Sur les réseaux sociaux chinois, une vidéo d’une pancarte H&M en train d’être démontée dans la ville de Chengdu fait le buzz. Nike, H&M, ou encore Uniqlo et d’autres marques étrangères se retrouvent dans le viseur des autorités chinoises. En cause : le coton issu du Xinjiang, que plusieurs multinationales du prêt-à-porter ont choisi de boycotter, en raison du travail forcé des Ouïghours qui sévirait dans les champs de cette région de l’ouest de la Chine. Des centaines de milliers de membres de cette communauté musulmane y sont enfermés dans des camps dits de “rééducation”. La Chine nie le travail forcé La réaction de la Chine a été radicale : du jour au lendemain, les produits vendus par ces marques ont disparu des plateformes d’e-commerce. Des appels au boycott ont été relayés sur les réseaux sociaux et par des stars chinoises. La porte-parole du ministère des Affaires étrangères n’a pas hésité, dans une conférence de presse, à rappeler le travail des esclaves noirs dans les champs de coton au début du XXe siècle aux États-Unis. Elle a nié le travail forcé dont le pays est accusé. “Les Chinois n’autoriseront plus les étrangers à profiter des largesses de la Chine tout en la critiquant”, a lancé Hua Chunying. Ces marques se retrouvent coincées entre un marché en pleine expansion et le désir d’éthique de leurs clients occidentaux.
Alors que C8 envisage de faire peau neuve et de revoir la grille de ses programmes, la place de Cyril Hanouna semble être gravée dans le marbre. D’après le JDD, ce dimanche 11 avril, la chaîne ne compte pas se séparer du présentateur de « Touche pas à mon poste ! »
L'île de Saint-Vincent était couverte de cendres samedi, et l'air saturé de soufre. L'épais nuage de cendres pourrait se déplacer jusqu'à l'île voisine de la Barbade.
Le mercredi 31 mars, la journaliste bretonne Morgan Large s'aperçoit que sa voiture a été sabotée. Cet acte de malveillance fait suite à plusieurs événements curieux qui se produisent dans sa vie. Bien qu'un cap soit franchi, les journalistes ont l'habitude de subir menaces, pressions et intimidations dans la région.
Dans un communiqué publié vendredi 9 avril sur le site de la Fédération algérienne de football (FAF), le sélectionneur Djamel Belmadi a fait part de son mécontentement en ce qui concerne l’ambiance qui secoue actuellement la FAF alors que se présentent les élections du nouveau président le 15 avril prochain. « Le sélectionneur national, M. Djamel BELMADI a tenu à apporter des précisions qu’il juge plus qu’importantes au sujet du déroulement du dernier stage de la date FIFA (22 au 30 mars 2021) au cours duquel l’équipe nationale avait affronté la Zambie (le 25 à Lusaka) et le Botswana (le 29 à Blida). A ce propos, M. BELMADI estime que ce stage s’est déroulé dans des conditions chaotiques ne lui permettant pas d’être dans des positions et dans des dispositions à même de mener à bien ses missions d’entraîneur. Cela a même perturbé sérieusement les joueurs, ce qui est inadmissible à l’échelle d’une sélection. Tout ce marasme vécu et cette ambiance pesante, en rapport avec les prochaines élections de la Fédération algérienne de football, inquiètent fortement le sélectionneur national qui ne veut pas être mêlé à d’autres considérations en dehors de ses prérogatives, de son cadre professionnel et de ses engagements avec l’équipe nationale.M. Belmadi ne veut en aucun cas être le soutien de qui que ce soit, ni voir son nom lié ou utilisé dans le cadre d’un quelconque programme voire pour des desseins populistes, estimant qu’il s’était engagé avec la première sélection du pays uniquement pour des objectifs sportifs bien précis. Cette situation l’inquiète au plus haut point et risque de compromettre sérieusement l’avenir des Verts lors des prochaines échéances », peut-on lire dans le communiqué. Kheireddine Zetchi président de la FAF depuis mars 2017 ne se présentera pas à sa propre succession.
The Wings of Songs dépeint un Xinjiang idyllique, où vivent en harmonie ethnies et communautés diverses. Un tableau très éloigné de la réalité de la répression chinoise subie par la minorité musulmane ouïgoure dans cette région.
ASSISES - La compagne de Badre Faki, dont le corps avait été retrouvé calciné sous un pont en 2015, a justifié son geste par une vie de violences conjugales
Dimanche 11 avril, sur Instagram, Alizé Lim a officialisé sa relation avec Tony Parker auprès de sa communauté en partageant un adorable cliché. De quoi faire fondre ses abonnés.
Dans cet entretien accordé au magazine TV Grandes Chaines, la chanteuse et coach de The Voice sur TF1 met les choses au clair et rectifie la vérité quant à sa perte de poids.