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Micro-cheating : micro-tromper son partenaire, est-ce tromper quand même ?

Si embrasser, c’est tromper, que dire du chemin qui précède entre regards emballés et textos enflammés ? Que c’est micro-tromper. Zoom sur la pratique dite du micro-cheating.

Depuis plusieurs années, notre « dictionnaire des relations » s’enrichit. Le « ghosting » (le ou la prétendant s’évapore soudainement tel un fantôme) a ouvert le bal. On a ensuite découvert le « fireworking » (se servir de sa ou son partenaire pour faire enrager son ex) ou encore le breadcrumbing (semer des miettes pour mieux garder l’autre sous le coude). Désormais, place au micro-cheating, que l’on pourrait traduire par micro-tromperie ou micro-infidélité, soit le fait de tromper… mais un tout petit peu. Ou pas vraiment. Mais un petit quand même.

Lire aussi : Pourquoi trompe-t-on ?

Mais qu’est-ce que le micro-cheating, exactement ?

« Cheating », en anglais, c’est tromper. La personne qui pratique le micro-cheating est donc, littéralement, un micro-infidèle. Mais que fait-on exactement pour « micro-cheater » ? Un baiser de moitié, un rapport sexuel les yeux bandés ? Non. Le micro-cheating ressemble de près à un « gentil » flirt : on échange des SMS avec un autre (et des SMS plutôt excitants), on se lance des regards, on minaude et on se marre (avec notre rire numéro sept, notre rire de séductrice). Dans un article publié sur le Huffington en 2017, la coach australienne Mélanie Schilling définit le micro-cheating de la sorte : « Le micro-cheating est une série d'actions apparemment mineures qui indiquent qu'une personne est émotionnellement ou physiquement concentrée sur quelqu'un en dehors de sa relation ». En somme, le (...)

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