Michel Barnier : poussé par Anne-Claire Coudray, le Premier ministre esquive habilement une question qui fâche

Près de deux mois après la démission de Gabriel Attal et de son gouvernement, Emmanuel Macron lui a enfin choisi un successeur à Matignon. Jeudi 5 septembre 2024, le président de la République a décidé de nommer Michel Barnier (LR) au poste de Premier ministre. Ce dernier a accordé sa première interview en tant que chef du gouvernement à Anne-Claire Coudray, vendredi 6 septembre 2024 dans le JT de 20h de TF1. "Le gouvernement est responsable, il y a une indépendance. Le gouvernement gouvernera et je le ferai en bonne intelligence avec le président de la République naturellement", a notamment déclaré le nouveau Premier ministre. Michel Barnier a également précisé qu'il n'avait "rien en commun ou pas grand-chose de commun avec les thèses ou les idéologies" du Rassemblement national.

Michel Barnier : "Je ne m'interdis pas une plus grande justice fiscale"

Interrogé par Anne-Claire Coudray sur la situation économique très préoccupante du pays (un déficit public à hauteur de 5,6% du PIB, ndlr), le nouveau Premier ministre a habillement esquivé la question. "Face à cette urgence, je ne m'interdis pas une plus grande justice fiscale", a premièrement lancé Michel Barnier. Le nouveau pensionnaire de Matignon souhaite concrètement "mieux maîtriser" et "mieux utiliser l'argent public". Michel Barnier s'est aussi exprimé concernant une possible abrogation de la réforme des retraites. "On ne va pas tout remettre en cause. (...) Je vais ouvrir le débat (...)

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