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A mi-partenariat, l’OM et Puma sont « main dans la main »

Puma OM partenariat
Puma OM partenariat

Puma et l’OM sont à la moitié du chemin initialement prévu ensemble, par contrat. Et pour l’équipementier, la promesse d’une association efficace entre les deux marques, est jusqu’ici tenue .

C’est la troisième saison, et elle est charnière, à la moitié du partenariat signé en 2018 et jusqu’en 2023, entre l’OM et Puma. Dans un contexte autre que celui de la pandémie, avec des stades remplis et des enseignes qui tournent à plein régime, elle devait être bonne sinon excellente, pour l’équipementier allemand, dopée par le retour du club en Ligue des champions. Sans présager de rien, dans un monde qui évolue au jour le jour, il y a par contre les faits, des deux premiers exercices passés ensemble. Et du point de vue de Puma, le bilan communiqué est positif.

A mi-partenariat le bilan est positif du côté de Puma

Il en dit plus des ambitions (et peut-être aussi du futur, que l’on comprend voulu sur la longueur), de la marque sur le « territoire ». Le mot est choisi, car volontairement inscrit dans la stratégie du groupe. A Marseille et ailleurs pour les autres clubs que Puma habille. « C’est très important pour nous la présence locale, souligne le Directeur marketing France, Benoît Ménard. Il y a quelque chose de fondamental, c’est l’activation locale et régionale, parce que le fan de foot, il peut être supporter de Manchester City et de Griezmann, mais il est taré de son équipe locale. Et nous c’est notre différence, si nous signons des symboles, c’est pour énormément les activer. »

La promesse d’une association unique entre un club et son équipementier

En ce sens, l’Olympique de Marseille est un bon allié. « Nous voulons faire de ce partenariat un benchmark mondial entre un club et un équipementier », était à l’origine, la promesse adressée mutuellement, par les deux patrons ; Richard Teyssier pour Puma d’un côté, et Jacques-Henri Eyraud pour le club, de l’autre. Trois ans plus tard, elle est tenue, assure Benoît Ménard. Lui même surpris de la proximité nouée entre les deux. « Que ce soit en terme de développement de produits, de communications, d’échanges, d’activations… ». « Nous travaillons main dans la main. Ils nous nourrissent on les nourrit, ils nous développent, on les développe. Ça fait un moment que je suis dans le métier, je n’ai jamais vu une relation comme ça, entre un asset et un équipementier. »

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La sortie du maillot domicile de l’OM fut un « vrai succès »

Il en prend pour exemple l’opération décidée conjointement et « en 25 minutes », en sortie de confinement, pour offrir des maillots à tous les hôpitaux de la ville. L’envie est commune aux deux parties, la confiance l’est également pour plus de réactivité, face à la situation qui l’impose. Benoît Ménard nous donnera deux chiffres qui attestent d’une forme de réussite pour Puma qu’il représente : 6*, comme le nombre aujourd’hui de joueurs de l’Olympique de Marseille individuellement sous contrat, contre un seul au début du partenariat. Et de deux à trois fois supérieures à d’autres territoires, les parts de marché de la branche « sport style », dans la région marseillaise. Parce qu’il n’y a pas que les maillots pour dynamiser l’association. Quoiqu’après le lancement du modèle domicile en sortie de confinement – qualifiée de « vrai succès » -, va bientôt sortir la tenue third. Cette année elle accompagne le retour des Phocéens en Ligue des champions, la plus belle des vitrines médiatiques, qu’un club puisse offrir à son sponsor.

*Steve Mandanda, Alavaro Gonzalez, Duje Caleta-Car, Morgan Sanson, Dimitri Payet et Lucas Perrin