Accusée d'avoir une mauvaise influence sur son amie Loana, qui a été hospitalisée à la suite d'une overdose, Sylvie Ortega Munos a répondu à Steevy Boulay, Kenza Braiga et d'autres Lofteurs. Elle a notamment dénoncé leur hypocrisie, eux qui ne prendraient jamais de nouvelles de la star.
Les Hommes qui arpentaient la Terre à cette époque ont peut-être cru à la fin des temps. C’était il y a 42.000 ans. Le champ magnétique de notre Terre s’est inversé provoquant, selon les chercheurs, une série d’événements dramatiques qui ont changé notre histoire.
NARCOTRAFIC - Emma Coronel Aispuro est accusée par la justice américaine d'avoir participé au réseau de trafic de stupéfiants de son mari
Le Premier ministre prendra la parole ce jeudi, pour faire le point sur la lutte contre l'épidémie de Covid-19, dont l'évolution est jugée "préoccupante" dans certaines régions.
Interviewée longuement dans une série de podcasts qui lui sont consacrés sur France Culture, la comédienne Valérie Lemercier s'est confiée sur ses différentes expériences artistiques et s'est remémorée péniblement le souvenir du jour où elle a joué devant une salle comble, qui s'est peu à peu vidée, la laissant finir son spectacle seule...
L'acteur de 72 ans a été mis en examen le 16 décembre à Paris pour deux "viols" et "agressions sexuelles" dont l'accuse une jeune comédienne depuis l'été 2018, ce qu'il conteste fermement.
Opéré d'urgence aux jambes après un terrible accident de la route, mardi, dans la banlieue de Los Angeles, Tiger Woods est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger.
CRISE DIPLOMATIQUE - Le parlement entend ainsi montrer son rejet des sanctions prises lundi par l’UE à l’encontre du régime de Nicolas Maduro
Ce mercredi 24 février, la légende Alain Prost souffle ses 66 bougies. S'il n'a plus rien à prouver sur les circuits, le pilote peut également être fier de ses trois enfants, Nicolas, Sacha et Victoria.
Les équipes de vaccination ont mélangé des restes de flacons pour constituer une "septième" dose, en plus des six autorisées par flacon, selon nos confrères de France Bleu Normandie.
Le maire RN de Perpignan réagissait sur BFMTV-RMC à la mort de deux adolescents en Essonne dans le cadre de rixes.
Invitée dans "C à vous", le 23 février 2021, Hélène de Fougerolles est revenue sur la culpabilité qu'elle a sentie en découvrant l'autisme de sa fille. Lors de son témoignage, la comédienne a été interrompue par Patrick Cohen. Découvrez la séquence avec Non Stop People.
L'ancien couple a finalisé sa procédure de divorce, plus d'un an et demi après sa rupture.
Le tribunal de Meaux a condamné à plus de 24 mois de prison ferme les cinq hommes.
En Chine, la vaccination anti-Covid-19 sera-t-elle bientôt possible pour les enfants ? C’est, en tous cas, ce que laisse entendre les responsables de Sinopharm, l’un des géants chinois du médicament. De notre correspondant à Pékin,Il ne s’agit encore que d’une annonce, mais elle n’est pas passée inaperçue. Différents sites des médias d’état dont celui du Pangpai ont repris cette annonce de Liu Jingzhen, le président de Sinopharm qui a également donné une interview à la télévision centrale de Chine. Il rappelle que le vaccin inactivé proposé par le groupe pharmaceutique chinois a déjà été administré a plus de 43 millions de personnes dans le monde, dont 34 millions en Chine… Et puis qu’un nouveau vaccin est en phase de développement et que ce dernier pourrait être administré à l’avenir aux plus jeunes. « Pour la tranche d’âge 3 à 17 ans, le résultat de nos expérimentation clinique ne montre pas de grande différence par rapport aux personnes âgées de 18 à 59 ans. Voilà pourquoi je pense que nous pourrons bientôt vacciner les plus jeunes également quand la vaccination sera ouverte », dit-il. 50 millions de Chinois bientôt vaccinésIl n’y a pas de date précise annoncée. Mais cette élargissement de la vaccination aux enfants et aux adolescents serait une première. Pour l’instant en Chine, le vaccin est réservé aux 18 à 59 ans.►À lire aussi: Covid-19: en Chine, une campagne vaccination de masse avant le Nouvel An lunaireEn principe 50 millions de Chinois de cette tranche d’âge devaient être vaccinés avant les vacances du nouvel an lunaire. C’était en tout cas l’objectif affiché par les autorités sanitaires. Deux vaccins inactivés sont utilisés ici principalement : Sinovac et Sinopharm. La campagne de vaccination dite « d’urgence » -avant la fin des essais de phase III- a commencé l’été dernier. Des soldats, des diplomates, des hommes d’affaires, des étudiants se rendant à l’étrangers, puis les soignants, les travailleurs médicaux, les personnels de la chaîne du froid comme les employés de restaurants et des supermarchés, les taxis aussi.Quand on commande un taxi à Pékin, on peut voir via l’application si le chauffeur est vacciné ou non. On est donc toujours dans cette phase dite d’urgence réservée à certains groupes professionnels et limitée en âge effectivement, 18 à 59 ans.Un dentiste sexagénaire interrogé disait regretter de ne pas avoir eu sa dose. Une décision basée sur la prudence disaient les laboratoires qui ont manqué de cohortes de gens mineurs et de personnes âgées dans leurs essais.Des essais de phase II sur les enfantsDans le cas de Sinopharm, des chercheurs ont parlé d’essais de phase II menés sur les 3 à 17 ans avec un nouveau vaccin cette fois à protéines recombinantes développé en partenariat avec l’institut de virologie de Wuhan. Ces essais seraient concluants selon Yang Xiaoming, le PDG du China National Biotec Group, filiale de Sinopharm.Ces essais se poursuivent, le système immunitaire des enfants étant encore en développement, ça demande une plus longue surveillance. La Chine se prépare en tous cas à étendre sa campagne de vaccination. Les plus âgés comme à l’étranger, au Maroc notamment où les vaccins chinois inactivés sont déjà administrés aux plus de 60 ans. Mais aussi auprès des plus jeunes.En tout cas, des affiches ont fleuri devant les résidences en Chine depuis le début du mois, invitant les habitants à prendre contact avec les autorités sanitaires pour se porter candidat au vaccin.
Le conseil régional de Galice a approuvé une loi permettant d'infliger des amendes aux personnes refusant de se faire vacciner contre le Covid-19. Les sanctions peuvent atteindre les 600 000 euros.
La saison des Marseillais à Dubaï a débuté sur W9. Les Sudistes ont fait leur retour sur le petit écran. Les premiers épisodes promettent déjà de grands moments dans l’émission. De quoi faire s’interroger les téléspectateurs sur l’authenticité du programme.
Les amis et les proches de Tonton David lui ont rendu un ultime hommage lors de ses obsèques. Sur Twitter, la chanteuse Princess Erika a dévoilé un aperçu de ses funérailles en toute intimité.
Le 29 juillet 1981, le prince Charles passait la bague au doigt de Lady Diana devant près d’un milliard de téléspectateurs à travers la planète. La veille, le prince Charles lui avait brisé le cœur en lui avouant l'inavouable.
Au Cameroun, le comité Idaho France, une ONG qui organise des actions contre l'homophobie, rapporte mardi l'assassinat de trois homosexuels en l'espace de deux semaines. Deux personnes transsexuelles, soutenues par cette association et défendues par l'avocate Alice Nkom, ont également été arrêtées et incarcérées la semaine dernière. "C’est le troisième meurtre en quinze jours." Alexandre Marcel, le président du Comité Idaho France, tire la sonnette d’alarme. Cette ONG qui organise des actions contre l’homophobie fait état de trois récents assassinats à l’encontre d’homosexuels au Cameroun.Selon elle, un couple a été assassiné il y a une quinzaine de jours à Yaoundé et un autre homme a été tué, lundi 22 février, à Douala, en raison de leur orientation sexuelle. "Il n’y a aucune information qui circule. Aucun média local n’en parle. Nous savons ce qu’il se passe car nous sommes alertés par des réseaux associatifs et des militants LGBT qui nous font remonter ces affaires", explique le président du Comité Idaho France.En 2013 et 2014, le pays avait déjà fait face à une série d’assassinats retentissants. Éric Lembembe, un militant homosexuel camerounais, et Roger Jean-Claude Mbédé, condamné en avril 2011 à trois ans de prison pour homosexualité, avaient été retrouvés morts à leur domicile. "À l’heure actuelle, il y a un regain d’homophobie en Afrique et particulièrement au Cameroun", constate Alexandre Marcel. Pour le président du Comité Idaho France, la crise sanitaire actuelle n’a d’ailleurs fait qu’exacerber les tensions : "À cause de la pandémie de Covid-19, les homosexuels sont obligés d’être dans leur famille et ne peuvent plus avoir de vie privée. Les choses se savent plus facilement.""C’est de pire en pire"L’avocate Alice Nkom, présidente de l’Association pour la défense des droits des homosexuels (Adefho) au Cameroun, ne confirme pas ces récents assassinats, même si elle en a aussi été informée et que cela lui semble "plausible". Depuis plus de 20 ans, cette militante se bat pour les droits des homosexuels dans un pays où avoir un rapport sexuel avec une personne du même sexe est un délit, puni de six mois à cinq ans d’emprisonnement. Elle observe également que leur condition est loin de s’améliorer : "Il suffit de lire les commentaires sur les réseaux sociaux. C’est de pire en pire."Depuis plusieurs semaines, l’avocate travaille sur le dossier de Shakiro et Patricia, deux femmes transsexuelles qui sont en détention provisoire à la prison de New Bell. Arrêtées le 8 février alors qu’elles se trouvaient dans un restaurant, elles sont aujourd'hui accusées d’homosexualité, d’outrage privé à la pudeur et de défaut de carte nationale d’identité. Pour leur avocate, il s’agit d’une violation des droits de l’Homme : "L’homosexualité est un acte. Vous ne pouvez pas dire que vous les avez prises en flagrant délit alors qu’elles étaient en train de manger du poisson !"Alice Nkom dénonce surtout la loi pénalisant l’homosexualité, qui n’a selon elle pas lieu d’être : "Elle est caduque. Elle ne devrait pas être appliquée car elle viole des lois qui lui sont supérieures." L’avocate met en avant la Constitution et la primauté donnée aux lois internationales qui luttent contre les discriminations. Le Cameroun n’est cependant pas un cas isolé. Si le Gabon a voté le 23 juin dernier une loi au Parlement dépénalisant les rapports entre personnes de même sexe, l'homosexualité reste encore punie dans de nombreux pays du continent africain. Dans certains, comme la Mauritanie, le Nigeria, la Somalie ou encore le Soudan, elle est même passible de la peine de mort.Les défenseurs des gays menacésEn 2015, la FIDH avait également mis en lumière dans un rapport les persécutions et les menaces contre les défenseurs des gays au Cameroun. Locaux incendiés, cambriolages, arrestations arbitraires ou encore "mort violente" : plusieurs membres d’associations de défense des droits des homosexuels et des droits de l’Homme, cités par la FIDH, se disaient en danger et assuraient ne pas pouvoir compter sur la police. En première ligne, Alice Nkom, que certains prennent plaisir à critiquer en la surnommant "la maman des pédés", en fait régulièrement les frais. "J’ai tout eu. On m’a jeté des cailloux, envoyé des menaces. Ils sont même passés à l’acte quelques fois. Mais qu’ils économisent leurs cailloux. On ne tire pas sur une ambulance", s’amuse-t-elle avec bravade.Pour Alexandre Marcel, il faut d’abord changer les mentalités. Dans les discours populaires et politiques, l'homosexualité reste souvent considérée comme un phénomène importé d’Occident, étranger à la "culture locale". "Il y a tellement de légendes urbaines sur les homosexuels qui sont exacerbées par les religions. Certains osent dire aussi que chez eux en Afrique, il n’y a jamais eu d’homosexualité", résume-t-il.Alice Nkom déplore également un manque d’éducation, mais selon elle, c’est avant tout le système qu’il faut changer. "Cela n’évoluera pas tant qu’il n’y aura pas un minimum de démocratie et de respect des valeurs des droits de l’Homme", affirme-t-elle. "Quand le pouvoir est entre les mains d’une seule personne et que la séparation des pouvoir est un leurre, il faut bien détourner l’attention des populations sur quelque chose. Les homosexuels sont une cible toute trouvée."Shakiro et Patricia doivent passer en jugement le 10 mars prochain. D'ici là, Me Alice Nkom espère leur obtenir la liberté provisoire. À 76 ans, l'avocate entend continuer le combat : "Cela me donne envie de redoubler d’efforts et de chercher de nouvelles stratégies. Les gens doivent accepter la diversité et respecter les homos."