Massacre de civils au Niger : 100 morts dans les attaques de deux villages
C'est l'un des pires massacres de civils dans ce pays, régulièrement visé par des groupes djihadistes.
A l'aube de l'investiture de Joe Biden, les derniers détails croustillants sur la vie privée du couple Trump sont racontés dans la presse américaine. L'occasion d'apprendre que les Biden dormiront dans la même chambre, à l'instar de Donald et Melania qui faisaient chambre à part.
Lola Marois cultive son côté rebelle. Alors qu'elle se trouvait dans un train, la comédienne de Plus belle la vie s'est amusée à retirer son masque. La femme de Jean-Marie Bigard a ensuite publié le résultat dans sa story Instagram.
Les deux amis et collègues de la chaîne M6 Stéphane Plaza et Karine Le Marchand se sont retrouvés en colocation pendant quelques semaines fin 2020. L'animateur a raconté cette cohabitation, mercredi dans "Culture Médias", qui s'est suivie pour lui de galères immobilières.
Les acteurs du feuilleton de France 2 Un si grand soleil portent le masque à certains moments mais pas tout le temps. Mais pour quelle raison ?
A l’occasion de son 57ème anniversaire, Michelle Obama a posté un selfie d’elle au naturel qui lui a valu une pluie de compliments. Et on comprend : l’ancienne First Lady est tout simplement magnifique !
La tradition veut que le président sortant laisse une lettre à son successeur dans le Bureau ovale. Joe Biden a évoqué celle écrite par Donald Trump.
Le vaccin Oxford-AstraZeneca a été développé en moins d'un an, un véritable exploit scientifique. Déjà approuvé au Royaume-Uni, il pourrait être validé par les autorités européennes avant la fin du mois de janvier.
Le ministre de l'Education nationale assure que la proposition du Conseil scientifique de fermer une classe dès le premier cas positif au variant est une possibilité.
Manon Fiorot affronte l’Américaine Victoria Leonardo, le 20 janvier 2021 à Abou Dhabi, à l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde. La combattante âgée de 30 ans est seulement la deuxième Française à l’UFC. Focus. « C’est un rêve. Depuis que j’ai commencé le MMA, c’était mon but. » Ce 20 janvier 2021, Manon Fiorot s’apprête à devenir la deuxième Française de l’histoire après Zarah Fairn Dos Santos à évoluer au sein de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), la plus prestigieuse ligue d’arts martiaux mixtes (MMA) au monde.La suite logique pour une combattante à la progression aussi linéaire que rapide. « J’avais déjà trois titres mondiaux, donc c’était le moment d’aller à l’UFC, expose-t-elle. D’autant que j’ai commencé le MMA tard et que j’ai déjà 30 ans. C’était maintenant ou jamais. C’était le bon timing ».Ex-championne de snowboardPourtant, Manon Fiorot aurait pu prendre une voie totalement différente puisqu’elle a été championne chez les jeunes, en snowboard, un sport de glisse. « La vie a fait que je me suis retrouvée dans un sports-études à la montagne, relativise-t-elle. Là-bas, il y avait du snowboard et je me suis essayée à cette discipline. J’ai tout de suite accroché ».Mais la jeune femme est par la suite revenue à sa première passion. « J’ai commencé le karaté à l’âge de 7 ans, raconte-t-elle. Il y avait un club à côté de la maison. Et mon père pratiquait la lutte. On baignait déjà un peu dans les sports de combats. J’aimais le karaté, je regardais les films de karaté. Et mes copains pratiquaient le karaté ».Après plusieurs années sur les tatamis, l’intéressée est montée sur les rings pour des combats de K-1 et de boxe thaïlandaise, deux sports dans lesquels elle a également excellé rapidement.Des débuts délicats en MMA« En parallèle, j’ai débuté le MMA. » Une incursion dans le monde des arts martiaux mixtes délicate, au départ. « J’ai peut-être voulu aller un peu trop vite, souligne-t-elle. Je suis directement allée aux Championnats du monde amateurs [en 2016, Ndlr], alors que je pratiquais le MMA depuis même pas un an. Les débuts ont été un peu compliqués. Il y a eu des défaites ».Mais, finaliste lors des Championnats d’Europe amateurs 2017, Manon Fiorot retente sa chance à l’échelon mondial, quelques mois plus tard. Avec la médaille d’or au bout, cette fois.Confortée par ce succès aux Mondiaux 2017, elle se lance ensuite dans le milieu professionnel. Elle perd certes son premier combat pro, en juin 2018 en Belgique, au sein du Cage Warriors, une organisation britannique. Mais ce revers n’est qu’une simple parenthèse.Émission de télé-réalité sud-africaineEn 2019, changement de destination et de décor. Manon Fiorot s’envole pour Johannesburg afin de participer à une émission de télé-réalité organisée par l’Extreme Fighting Championship (EFC), ligue numéro une de MMA en Afrique. « C’est mon manager qui a trouvé cette opportunité, notamment grâce à mon titre de championne du monde amateure, explique celle qui s’entraîne au Boxing squad de Nice (Sud de la France). Mais, pour être honnête, je n’avais pas du tout envie de participer à ce genre d’émission. En plus, je ne parlais pas anglais. J’étais super stressée. Je savais que j’allais passer deux mois en Afrique du Sud. Ça a été une expérience assez compliquée à vivre mais, au final, j’ai réussi ».Gagnante du jeu, Manon Fiorot décroche alors un contrat à l’EFC où elle ne tarde pas à devenir reine. En décembre 2019, elle domine en effet nettement la Sud-Africaine Amanda Lino, icône du MMA dans son pays. « C’était la star d’Afrique du Sud. Tout le monde criait ‘Amanda’ lors de ce combat ! À ce moment-là, il y avait encore du public dans les tribunes. C’est un très bon souvenir. »Aux Émirats arabes unis, en terrain connuManon Fiorot devient alors championne du monde de l’EFC. Suite à ce sacre, elle se lance toutefois à l’assaut d’une autre organisation pro, l’UAE Warriors, basée aux Émirats arabes unis. Son bilan dans cette ligue ? Trois victoires par KO technique en 2020, autant de démonstrations, et un maximum de confiance engrangée avant de s’attaquer à l’UFC.D’autant que ses débuts dans le saint des saints du MMA se feront aux Émirats arabes unis, ce 20 janvier 2021. « C’est la quatrième fois de suite que je combats, ici. Je me sens super à l’aise, lance-t-elle. Je ne subis pas les effets d’un décalage horaire, contrairement à mon adversaire ».Lors de l’UFC Fight Island 8, elle va ainsi affronter l’Américaine Victoria Leonardo. Une adversaire dont les qualités ne semblent pas l’impressionner. Pas plus que son statut de deuxième Française à l’UFC. « Je suis concentrée sur mon combat. Je ne pense pas vraiment à tout ça, balaie Manon Fiorot. Maintenant que j’y suis, mon objectif va être de gagner mes prochains combats et d’intégrer le plus rapidement possible le top 10 ». Une élite, chez les poids mouche, où elle estime avoir « [sa] place, largement ».
La fille du président américain a annoncé s'être fiancée.
Ce mercredi 20 janvier, Joe Biden, 46ème président des Etats-Unis, prêtera serment. La veille, le nouveau locataire de la Maison Blanche a fait ses adieux à l'Etat du Delaware, et confié dans un discours très ému, ce terrible regret concernant son fils Beau, mort à 46 ans des suites d'un cancer du cerveau.
Comme des dizaines de milliers de Russes, le président russe s'est plongé brièvement dans l'eau glacée pour célébrer l'Épiphanie et le Baptême du Christ.
Le gouvernement l'assure, le retard pris dans la campagne vaccinale sera rattrapé, alors que de plus en plus d'élus déplorent une pénurie de doses, et que beaucoup de centres ne proposent plus de rendez-vous.
Le géant américain est dans une position très délicate. Intel continue à traîner comme un boulet ses problèmes de fabrication et à entamer la production de puces gravées en 7 nanomètres, garantie d'un meilleur raport entre performance et dépense énergétique. De l'autre côté du monde, le géant taïwanais TSMC peut à l'inverse...
À la fin des années 1990, Randy Spelling a décroché ses premiers rôles à la télévision. Si sa soeur aînée, Tori Spelling a réussi à se faire une place à Hollywood, pourquoi ce dernier a-t-il souhaité quitter Hollywood et changer complètement de vie ?
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Jean-François Piège, chef étoilé propriétaire de cinq établissements, a perdu une étoile au Guide Michelin. Un nouveau coup dur pour le restaurateur qui subit, comme tous les autres, les conséquences de la crise de la Covid-19. Non Stop People vous donne plus de précisions.
Dans la capitale économique du Cameroun, à Douala, les bars, hôtels et petits commerces apprécient diversement l’apport de la compétition dans leurs activités. Tous espèrent un regain économique dans un an avec la CAN, tournoi de plus grande envergure. De notre envoyé spécial à Douala,Derrière sa petite table posée aux abords du Stade de la Réunification de Douala, Louise attend les clients. Biscuits, paquets de mouchoirs à jeter, arachides, dosettes de café soluble composent son étal. Derrière, des cagettes de bière des Brasseries du Cameroun. Dans quelques minutes va démarrer le match Maroc-Togo et les rares spectateurs n’ont pas l’air de s’intéresser à la table de Louise. « Je ne vois personne, le CHAN-là, ce n’est rien, pas de clients, se désole la jeune femme. En plus, les policiers m’ont changé d’emplacement. J’étais juste à l’entrée, maintenant, ils m’ont isolé et les supporters ne me voient même pas ».« Quand le ballon roule, il y a toujours du monde »Non loin du stade, sur une avenue dans le quartier populaire de Bepanda, le bar la Lionne. Sur les murs, des affiches vantant les matches du CHAN 2020. L’affluence est pourtant très clairsemée au moment où se joue Maroc-Togo. « Il n’y a pas grand monde parce que les Lions ne jouent pas, explique le gérant, papa Guy. C’était plein à craquer, le jour du match d’ouverture. Les affaires ont bien marché ce jour-là. J’attends la CAN avec impatience ». Son voisin, Serge a une autre explication de l’absence de supporters/consommateurs. « C’est un lundi. Quand les Camerounais passent le samedi à manger, à boire, c’est normal, qu’il n’y pas grand monde les lundis. Pour l’instant, je ne ressens pas le CHAN dans mes affaires. Peut-être si le Cameroun vient jouer à Douala ».Au carrefour très fréquenté de Bonamoussadi, l’effet CHAN est bien plus ressenti. Antoine, gérant du Dekeré, un bar restaurant, est sans équivoque. « Ah oui ! Je vois la différence depuis le début du CHAN. Il y a plus de monde dans le restaurant. Je ne suis pas très foot, c’est pour cela je ne suis pas au courant de matches, mais les gens passent dans la rue, voient le match à la télé, s’arrêtent et entrent pour consommer et regarder la rencontre. » « Quand le ballon roule, il y a toujours du monde pour regarder au Cameroun », confirme un client.Antoine a noté la date du prochain match des Lions et compte l’afficher devant son commerce. « Je pense que cette compétition peut être une bonne chose pour nous et les affaires. Cela promet donc l’année prochaine avec la CAN. »La CAN qui va nous coûter des milliardsSon client Jean-Claude est un fervent de football, mais ne voit pas la pertinence d’organiser la CAN au Cameroun. « On nous dit que c’est une fête, mais les populations vont souffrir. Regardez, le carrefour a été barré juste pour un match qui n’intéresse personne. Il fait chaud et les embouteillages sont mortels, on fait souffrir les gens pour rien. » L’homme, qui n’est sans doute pas à sa première bière de la journée, enchaîne avec des mots très lucides: « Au Cameroun, il y a deux sortes de personnes, les réfléchis et les émotifs. Ces derniers, on les tient avec le foot. Mais le foot n’a jamais développé un pays. Aujourd’hui, il y a la crise anglophone, il y a Boko Haram et on organise une CAN qui va nous coûter des milliards. Vous croyez que c’est sérieux ça ? »Pourtant, la CAN au Cameroun est très attendue pour les affaires après une année très perturbée par la crise du Covid-19. Plus que les commerces de quartier, l’industrie hôtelière a vu son activité prendre un sacré coup.A l’hôtel Bano Palace dans le quartier Bonanjo, la crise a été bien ressentie. « Le moment le plus compliqué, c’est au mois d’avril avec le confinement, révèle le directeur de l’établissement, Eric Marot. C’était compliqué financièrement et socialement parce qu’on ne pouvait pas garder tout le personnel »Depuis le mois d’octobre, l’activité a repris de façon progressive. « On arrive à avoir entre 45 et 50% de remplissage sur une capacité de 80 chambres », informe M. Marot. Et le CHAN dans tout ça ? La compétition n’a pas provoqué « une révolution » pour l’hôtel qui a eu la « certification » CAF pour figurer dans sa liste des établissements à recommander. « A part une dizaine de journalistes, on n’a pas de clients en rapport avec le CHAN. Ce n’est donc pas une compétition qui fait nos affaires. Il y a d’autres hôtels qui hébergent des équipes, ceux-là sont mieux lotis je crois. On peut espérer peut être que la CAN soit mieux ».Rendez-vous dans un an…
Le Qatar a appelé les pays arabes du Golfe à tenir des discussions avec l'Iran, a déclaré le ministre des Affaires étrangères dans une interview diffusée mardi 19 janvier, deux semaines après la réconciliation entre Doha et ses voisins. Cheikh Mohammed Abderrahmane Al-Thani a émis l'espoir de voir un tel « dialogue se produire », dans une interview diffusée mardi par la télévision Bloomberg. « C'est aussi un désir d'autres pays du Conseil de coopération du Golfe », a-t-il ajouté en référence au CCG qui regroupe, outre son pays, l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, Oman et le Koweït.Le Qatar, boycotté depuis juin 2017 par quatre pays arabes, dont trois de ses voisins du Golfe en raison notamment de ses liens jugés trop proches de l'Iran, s'est réconcilié avec eux lors d'un sommet du CCG le 5 janvier en Arabie saoudite. Le Qatar et l'Iran se partagent l'un des plus grands gisements offshore de gaz au monde, et Doha entretient des relations cordiales avec Téhéran.Doha, proche allié de WashingtonDoha est un proche allié de Washington et sa prise de position en faveur d'un dialogue régional intervient au moment où le président américain, Donald Trump, artisan de la politique de « pression maximale » sur l'Iran, s'apprête à quitter la Maison Blanche. Ryad, grand rival régional de Téhéran, qui a souvent accusé son voisin d'ingérence, semble peu enclin à engager un dialogue avec l'Iran.Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane (MBS), a vu dans le rapprochement entre monarchies du Golfe un atout pour faire face aux « menaces posées par le programme nucléaire et de missiles balistiques du régime iranien ». « Le Qatar facilitera les discussions si les parties prenantes le demandent, et soutiendra qui que ce soit pour le faire », a souligné cheikh Mohammed à la télévision Bloomberg.(avec AFP)
Les professionnels du ski espéraient en vain la réouverture des remontées mécaniques pour «sauver la montagne» à quelques semaines des vacances de février.