Martin Weill en reportage à Lagos (TMC) : “Il n'y a rien qui peut vous préparer à ça”
Comment vous est venue l’idée de faire un reportage sur Lagos ?
Comme vous l’avez probablement vu, on a passé le cap des 8 milliards d’être humains sur Terre. On sera 10 milliers dans pas si longtemps que ça. On s’est posé la question de ce qu’on pouvait dire de cette démographie, de ce que cela signifie pour notre avenir. Le monde va changer, car 40% de la population mondiale sera africaine d'ici la fin du siècle et Lagos sera la ville la plus peuplée. Donc elle s’est rapidement imposée, c’est intéressant pour nous de garder un oeil sur ce qui se passe là-bas. Elle concentre tous les problèmes liés à la surpopulation : éducation des enfants, taux de natalité, inégalités des niveaux de vie…
Quelle est la première chose qui vous a frappé en arrivant là-bas ?
Le bordel, pour être très franc ! (Rires) Vous sortez de l’aéroport, on vous a prévenus qu’il y allait avoir des bouchons, mais il n’y a rien qui peut vous préparer à ça… Ça fait relativiser le bordel qu’il y a à Paris ! (Rires) C’est le tournage où on a la plus de fois dû prendre notre téléphone pour dire : "Désolé, on va être en retard". Ce à quoi les gens nous répondaient quasi-systématiquement : "Ne vous inquiétez pas, c’est pareil pour moi" !
La séquence d’ouverture du documentaire est d’ailleurs filmée en plein milieu d’un embouteillage impressionnant…
Oui, on a vraiment l’impression d’une ville en surchauffe. L’autre chose qui surprend vraime...
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