Marlène Schiappa avoue sa surprise d'avoir été rappelée dans le gouvernement
Marlène Schiappa avoue sa surprise d'avoir été rappelée dans le gouvernement
Marlène Schiappa avoue sa surprise d'avoir été rappelée dans le gouvernement
19 députés Les Républicains, sur les 61 élus que compte le groupe, ont finalement voté en faveur du texte porté par le groupe centriste indépendant Liot.
Brigitte Bardot très en colère contre le gouvernement : "On est gouvernés par des lâches"
Mais ce plan de paix en 12 points, qui ne condamne pas l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes, n’a pas convaincu Kiyv et ses alliés. Pour Washington, la Chine ne peut prétendre être impartiale sur la question ukrainienne.
Emmanuel Macron, contraint par la contestation de la réforme des retraites, pourrait l’annoncer lors de son interview aux « 13 heures » de TF1 et France 2.
En grande difficulté, le gouvernement devrait reporter le très inflammable projet de loi immigration porté par Gérald Darmanin. Gérard Larcher a prévenu que le projet de loi qui devait commencer à être débattu au Sénat la semaine prochaine pourrait ne pas être voté. De quoi illustrer les futures difficultés de l'exécutif avec les LR.
Emmanuel Macron s'adresse ce mercredi aux Français. Avant de prendre la parole pour tenter d'apaiser la colère qui gronde, le président a toutefois mis de l'huile sur le feu en contestant la "légitimité de la foule" face aux élus.
Alors que le Sénat a adopté en première lecture mardi une proposition de loi visant à retirer l’autorité parentale d’un parent violent, la députée socialiste Isabelle Santiago qui l’a portée dénonce une réécriture qui réduit la portée du texte et abaisse la protection des enfants victimes de violences.
Lors des questions d’actualité au gouvernement, la sénatrice Laurence Rossignol a dénoncé avec vigueur les récentes déclarations d’Emmanuel Macron à propos de la réforme des retraites. Une interpellation qui lui a valu une réponse sarcastique d’Olivier Véran, rappelant devant l’hémicycle le soutien de la sénatrice à la précédente réforme des retraites en 2014.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue chinois Xi Jinping se sont réunis mardi à Moscou pour de nouvelles discussions consacrées au conflit en Ukraine et au renforcement de leurs relations "stratégiques" face à l'Occident.Mais outre les considérations stratégiques, les questions économiques seront au coeur des discussions mardi entre MM. Poutine et Xi. La visite du président chinois en Russie intervient au moment où cette dernière a massivement réorienté son économie vers la Chine,
La police de Londres est "institutionnellement" raciste, misogyne et homophobe, dénonce mardi un nouveau rapport accablant pour Scotland Yard, déjà en crise après une série de scandales, poussant le Premier ministre Rishi Sunak à réclamer un "changement de culture".En introduction du document publié mardi, elle décrit une police "institutionnellement (...) raciste, sexiste et homophobe".
Après le rejet de peu de la motion de censure transpartisane lundi après-midi, qui aurait pu la renverser, la Première ministre se veut confiante. Emmanuel Macron n'envisage pas de lui demander sa démission en plein durcissement de la contestation contre la réforme des retraites.
Le chef de l’État a demandé à sa Première ministre de bâtir un « programme législatif » avec les deux assemblées. Il estime que « tout ne passe pas par la loi ». Dans son interview, le président de la République appelle aussi Élisabeth Borne à élargir la majorité.
Emmanuel Macron va s'adresser mercredi aux Français lors d'une interview télévisée très attendue, pour tenter d'"apaiser" la colère contre sa réforme des retraites adoptée au forceps et d'expliquer comment il entend surmonter cette crise sans changer son gouvernement ni s'en remettre aux électeurs.Le chef de l'État, en retrait depuis janvier sur le dossier des retraites, répondra à 13H00, en direct à l'Elysée, aux journalistes Marie-Sophie Lacarrau de TF1 et Julian Bugier de France 2, à la veille d'une nouvelle journée de mobilisation syndicale jeudi et alors que les manifestations parfois émaillées de tensions se sont poursuivies dans le pays.A Paris, un face à face tendu avec échanges de jets de projectile et de gaz lacrymogène a opposé mardi soir quelques centaines de personnes aux forces de l'ordre place de la République. Quarante-six personnes ont été interpellées. D'autres cortèges ont eu lieu à Lille ou à Grenoble, ainsi qu'à Rennes et à Nantes, où des tirs de gaz lacrymogène ont été recensés, ainsi que des dégradations en marge du cortège.Plusieurs dépôts pétroliers restaient par ailleurs bloqués. Des incidents ont éclaté mardi à Fos-sur-Mer, près de Marseille, où les autorités ont procédé à des réquisitions de personnels en grève au moment où 12% des stations-service du pays sont à court d'essence ou de gazole.Face à ces tensions, Emmanuel Macron a appelé mardi le gouvernement à "apaiser" et "écouter les colères", tout en assumant ses choix, selon des participants à une réunion avec les parlementaires de son camp au terme d'une journée d'intenses consultations.- La "foule" n'a "pas de légitimité" -"La foule, quelle qu'elle soit, n'a pas de légitimité face au peuple qui s'exprime souverain à travers ses élus", a-t-il toutefois mis en garde."Il y a à l'Elysée un artificier qui se balade sur les tonneaux de poudre avec une torche", a réagi sur Twitter le chef des socialistes Olivier Faure, qui signe avec 2.500 élus PS une lettre ouverte au président publiée sur le site du JDD pour réclamer le retrait de cette réforme qui "dynamite notre contrat social".Dans la matinée, le chef de l'Etat avait résumé aux ténors du gouvernement et aux dirigeants de la Macronie son état d'esprit, à l'heure de relancer son second quinquennat, déjà entravé au bout de onze mois à peine."Pas de dissolution, pas de remaniement, pas de référendum", a-t-il dit selon un participant.Malgré l'adoption définitive lundi par le Parlement de sa réforme phare, l'ensemble des syndicats et la quasi-totalité des oppositions continuent de réclamer son retrait, vent debout contre le report de l'âge légal de la retraite de 62 à 64 ans.Le recours à l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer le texte sans vote a ravivé la contestation, d'autant qu'il a été suivi d'une motion de censure contre le gouvernement rejetée de seulement neuf voix.Privé de majorité absolue depuis les législatives de juin, Emmanuel Macron n'a pas pu compter comme il l'espérait, sur les retraites, sur le soutien total des députés Les Républicains.Dans un entretien au Figaro, l'ex-Premier ministre Edouard Philippe lui conseille "d'élargir" sa base politique avec "une coalition" allant "des LR aux élus de la gauche qui ne se retrouvent pas dans la Nupes".Risqué, au vu du rejet exprimé par les oppositions.- "L'immobilisme", "pas une option" -"Le problème, c'est le président de la République", a estimé le chef des députés LR Olivier Marleix. Emmanuel Macron "a mis le feu et fermé toutes les issues" en "passant en force", a dénoncé l'insoumis Jean-Luc Mélenchon, tandis que la patronne des députés Rassemblement national Marine Le Pen a prévenu dans un entretien à l'AFP que le président avait seul "les clés d'une crise politique qu'il a créée".Dans l'immédiat, le président a demandé à ses troupes de faire "d'ici deux à trois semaines" des "propositions" en vue d'un "changement de méthode et d'agenda des réformes", ce qui pourrait lui permettre de temporiser sans faire d'annonces fortes ce mercredi. Il avait déjà annoncé une "méthode nouvelle" au début de son nouveau mandat, sans résultat probant à date.Mardi soir, il a aussi promis d'"avancer" sur "la santé, l'école et l'écologie" tout en organisant "la société du plein emploi". Dans la majorité, les attentes sont fortes."Où va-t-on, comment on fait, qu'est-ce qu'on change?", veut savoir une députée de l'aile gauche du parti présidentiel Renaissance, qui prévient: "seul contre tous, c'est une erreur".Plusieurs voix l'incitent à "parler aux Français qui bossent", "du pouvoir d'achat", mais aussi de promettre de meilleures conditions de travail et rémunérations. Mais d'autres mettent en garde contre de nouvelles dépenses."L'immobilisme n'est pas une option, c'est la garantie du déclassement", prévient Edouard Philippe. fff/jmt/juf
Une proposition de loi visant à renforcer producteurs et industriels dans leurs relations tendues avec la grande distribution a été définitivement adoptée mercredi par le Parlement, au grand dam des enseignes qui assurent que les consommateurs vont en pâtir.Après le Sénat la veille, l'Assemblée nationale a validé à l'unanimité une série de mesures s'attaquant au "déséquilibre structurel" entre d'un côté, les fournisseurs, et de l'autre, les gros acheteurs comme Leclerc, Carrefour ou Intermarché, dont la guerre des prix tire les marges vers le bas.Le texte, porté par le député Renaissance Frédéric Descrozaille, est vivement critiqué par la grande distribution, qui lui reproche notamment de limiter leurs possibilités de proposer de fortes promotions.La loi "va globalement dans le bon sens", a salué dans l'hémicycle le ministre de l'Agriculture Marc Fesneau, estimant qu'il allait permettre un "meilleur partage de la valeur au profit de nos agriculteurs".Le texte vise notamment à dissiper le "flou juridique" existant en cas d'échec de la négociation commerciale annuelle entre fournisseurs et distributeurs, pour fixer les prix des produits qui remplissent les rayons.Actuellement, si fournisseurs et distributeurs ne se mettent pas d'accord, leur contrat n'est pas interrompu pour autant. Une situation favorable aux supermarchés, qui peuvent continuer pendant plusieurs mois à commander des produits à l'ancien tarif, alors même que le fournisseur peut être confronté à une hausse de ses coûts de production.Désormais, en cas d'échec de la négociation et à titre expérimental, le fournisseur aura le choix: interrompre les livraisons aux magasins ou appliquer un préavis de rupture "classique", en tenant compte des conditions du marché, comme l'inflation.Le ministre Marc Fesneau a salué le "réhaussement des amendes administratives" quand les délais de négociation ne sont pas respectés, "afin de lutter contre les pratiques de certains distributeurs tentés de jouer la montre pour mettre la pression sur les producteurs".- "Consommateur pénalisé" ? -La loi prolonge par ailleurs jusqu'en 2025 l'expérimentation de l'encadrement du "seuil de revente à perte" pour les produits alimentaires.Les fruits et légumes frais, initialement concernés, ont été exclus au fil de l'examen du texte.Des associations de consommateurs demandaient, elles, la suspension pour tous les produits alimentaires de cette mesure critiquée, qui arrivait à échéance en avril. Elle oblige les supermarchés à vendre les produits alimentaires au moins 10% plus cher que le prix auquel ils les ont achetés.Autre point de crispation: le plafonnement à 34% des promotions "chocs" sur les produits non alimentaires, jugé "irresponsable et inflationniste" par la fédération patronale de la grande distribution, la FCD."Le consommateur va être encore une fois pénalisé: ces produits (lessive, poudre à récurer, déodorant, pastilles pour le lave-vaisselle, shampoing, peignes et autres bigoudis) comptent parmi les plus chers dans le panier d'achat des clients", avait tonné mardi sur son blog le président du comité stratégique des centres Leclerc, Michel-Edouard Leclerc.Ce dernier, "à grands coups de pub, essaye de nous expliquer qu'il est le Monsieur anti-inflation", a raillé le député Modem Richard Ramos. Mais "le prix ne doit pas être le moins cher mais le plus juste", a-t-il plaidé, estimant que la loi permettait "à notre industrie agro-alimentaire de pouvoir toujours produire de la qualité".- Le Maire en soutien -Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire s'était de son coté dit favorable à ce que les distributeurs puissent "faire des promotions pas simplement à 34% sur les shampoings, les produits d'hygiène, les produits détergents mais jusqu'à 50%".Députés et sénateurs ont toutefois maintenu le plafonnement dont ils avaient convenu, mais ont finalement accepté d'en décaler l'entrée en vigueur au 1er mars 2024.Une autre disposition décriée par les grandes enseignes soumet à la réglementation française les négociations avec des centrales d'achat européennes, quand les produits concernés sont destinés au marché français.Une réplique à la création par certains distributeurs de centrales à l'étranger visant à négocier, selon le député Descrozaille, avec des "dispositions juridiques (...) moins protectrices des intérêts des agriculteurs français et du fabriqué en France".Pour protéger les agriculteurs, le texte prévoit aussi une "non‑négociabilité des matières premières agricoles" dans les produits vendus sous marque de distributeur.cds/adc/hr/jt
Aux questions d’actualité au gouvernement du Sénat, le président du groupe écologiste du Sénat Guillaume Gontard a interpellé la Première ministre, Élisabeth Borne. Dénonçant les violences policières lors des manifestations, le sénateur a appelé la cheffe du gouvernement à mettre un terme à la réforme des retraites.
« Dans les 15 jours qui viennent, il faudra apaiser, écouter les colères », a assuré le chef de l’Etat aux parlementaires de la majorité présidentielle réunis à l’Elysée. Selon un participant, Emmanuel Macron « a remercié les parlementaires qui ont joué le jeu, en particulier au Sénat, où il estime qu’il y a eu un vrai travail de fond, un compromis intelligent, avec les sénateurs LR ».
Invité de notre matinale, François-Xavier Bellamy est revenu sur le vote de motion de censure à l’Assemblée nationale ce lundi. Le député européen a indiqué qu’il ne l’aurait pas voté, par cohérence politique par rapport à ses convictions, mais qu’il « comprend » ses collègues puisque la réforme a « cristallisé » les tensions sociales.
La Chambre basse du Parlement éthiopien a annoncé que les députés éthiopiens avaient retiré mercredi le Front de libération du Peuple du Tigré (TPLF), parti des autorités rebelles de cette région du nord éthiopien, de la liste des organisations terroristes. Le TPLF n'est plus considéré comme un parti terroriste en Éthiopie. Les députés ont retiré mercredi 22 mars le Front de libération du Peuple du Tigré (TPLF), parti des autorités rebelles de cette région du nord éthiopien, de la liste des enti
REPORTAGE - De La France insoumise au Rassemblement national, les députés d’opposition ont fustigé l’entretien télévisé du chef de l’Etat
En annonçant le report de la loi immigration qui devait être examinée au Sénat le 28 février et son découpage en plusieurs textes, Emmanuel Macron a braqué le patron de la droite sénatoriale. « Ça ne peut pas marcher comme ça », met en garde Bruno Retailleau.