Marie-José Pérec : "On se donne...", ses mots à Teddy Riner juste avant d'enflammer la vasque olympique
Tony Estanguet a fait monter le suspense à son paroxysme. Le 26 juillet dernier, les yeux du monde entier étaient rivés vers Paris et la cérémonie d’ouverture de ses Jeux olympiques. Rien qu’en France, 23,24 millions de personnes, soit 83,1% du public, étaient au rendez-vous. Une question brûlait alors les lèvres de tout un chacun : qui serait l’heureux élu pour enflammer la vasque olympique ? Président du comité d’organisation des Jeux olympiques de Paris, Tony Estanguet a tenu à garder le mystère jusqu’au bout. "J'ai prévu de prévenir le dernier relayeur aujourd'hui pour essayer de garder cette confidentialité", confirmait-il au micro de France Inter le jour J du coup d’envoi des JO. Et d’insister : "Pour l’instant, il n’y a que moi" à être au courant. C’est peu après cette interview, à 9h30 et 9h40, qu’il en a informé les principaux intéressés. Teddy Riner d’abord, puis Marie-José Pérec. Un rêve devenu réalité pour la championne d’athlétisme. "Être la dernière porteuse de la flamme, faire partie de l’histoire de cette cérémonie à Paris, c’était plus qu’un rêve. Je le voulais vraiment", confiait-elle au Parisien le 28 juillet. Mais sans nouvelle de Tony Estanguet, Marie-José Pérec craignait de ne pas en faire partie. "Plus le temps passait, plus je me posais des questions. J’ai fait beaucoup de choses autour du relais de la flamme, on m’a beaucoup vue. Est-ce qu’on ne m’a pas trop vue ?", (...)
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