Jean-Pierre Bacri, immense comédien et scénariste, est mort hier à l'âge de 69 ans. Dans un texte publié par Le Parisien, son ancien chauffeur Valentin Morel raconte quelques souvenirs cocasses de leur relation.
A l'aube de l'investiture de Joe Biden, les derniers détails croustillants sur la vie privée du couple Trump sont racontés dans la presse américaine. L'occasion d'apprendre que les Biden dormiront dans la même chambre, à l'instar de Donald et Melania qui faisaient chambre à part.
Les deux amis et collègues de la chaîne M6 Stéphane Plaza et Karine Le Marchand se sont retrouvés en colocation pendant quelques semaines fin 2020. L'animateur a raconté cette cohabitation, mercredi dans "Culture Médias", qui s'est suivie pour lui de galères immobilières.
Interviewée par Le Figaro ce mardi 19 janvier, Agnès Pannier-Runacher est revenue sur les récentes déclarations de Martine Aubry concernant le plan de vaccination anti-Covid-19 en France.
Lola Marois cultive son côté rebelle. Alors qu'elle se trouvait dans un train, la comédienne de Plus belle la vie s'est amusée à retirer son masque. La femme de Jean-Marie Bigard a ensuite publié le résultat dans sa story Instagram.
La réouverture des établissements de restauration interviendrait au mieux le mardi 6 avril. Un nouveau coup dur pour la profession.
Ce 20 janvier à 18 heures, heure française Joe Biden deviendra officiellement le 46e président des Etats-Unis. Le nouveau chef d’Etat n'a cependant pas l'intention d'emménager immédiatement à la Maison Blanche... dont il a demandé une décontamination.
Le ministre de l'Education nationale assure que la proposition du Conseil scientifique de fermer une classe dès le premier cas positif au variant est une possibilité.
Alors que plusieurs photos des coulisses de la 42ème édition des Enfoirés ont été partagées sur la Toile, Jenifer n'apparaît sur aucune d'entre elles. Certains se demandent donc si la star sera bien présente sur scène. Une question à laquelle vient de répondre TF1.
Depuis la naissance de son petit Milann, Nabilla est sur un nuage de coton. Auprès de son fils et de son époux, Thomas Vergara, la jeune femme goûte aux joies de son nouveau rôle de maman. Mais elle tente aussi d'appréhender certains questionnements qui l’inquiètent déjà !
Les différentes positions de Donald Trump et de l'équipe Biden est une nouvelle illustration du décalage entre les deux camps.
Comme des dizaines de milliers de Russes, le président russe s'est plongé brièvement dans l'eau glacée pour célébrer l'Épiphanie et le Baptême du Christ.
A l’occasion de son 57ème anniversaire, Michelle Obama a posté un selfie d’elle au naturel qui lui a valu une pluie de compliments. Et on comprend : l’ancienne First Lady est tout simplement magnifique !
Jean-Pierre Bacri est décédé à l'âge de 69 ans ce lundi 18 janvier des suites d'un cancer. L'un de ses médecins a évoqué son combat contre la maladie sur BFMTV. Non Stop People vous en dit plus.
À la fin des années 1990, Randy Spelling a décroché ses premiers rôles à la télévision. Si sa soeur aînée, Tori Spelling a réussi à se faire une place à Hollywood, pourquoi ce dernier a-t-il souhaité quitter Hollywood et changer complètement de vie ?
Le Maroc, qui a enregistré un premier cas du variant britannique, renforce le couvre-feu en interdisant les fêtes, les rassemblements, et en fermant commerces et restaurants à 20h.
Camille Lou, la star de la future série de TF1 Je te promets, profite de vacances bien méritées et ensoleillées avec son nouveau chéri, Romain Laulhe.
Le docteur François Braun estime que « les mauvaises habitudes du passé sont revenues » alors que le virus continue de circuler « à un niveau élevé ».
Le président américain sortant a annoncé, lundi soir, que les voyageurs venant d'Europe et du Brésil seraient à nouveau admis aux États-Unis à partir du 26 janvier. Mais quelques minutes après, l'équipe de Joe Biden, qui sera investi président le 20 janvier, a indiqué que les frontières américaines resteraient fermées. Le président américain Donald Trump a annoncé, lundi 18 janvier, la prochaine réouverture des frontières américaines aux ressortissants européens de l’espace Schengen, aux Britanniques, Irlandais ainsi qu’aux Brésiliens à compter du 26 janvier. Cette décision est liée à l’instauration, à la même date, d’une obligation de présenter un test négatif de dépistage du coronavirus à l’entrée sur le territoire américain, a indiqué le chef de l’État dans un communiqué.Quelques minutes plus tard, l'équipe de Joe Biden, qui prendra ses fonctions comme président des États-Unis le 20 janvier, a fait savoir que les frontières américaines resteraient bien fermées aux Européens et aux Brésiliens. "Ce n’est pas le moment de lever les restrictions sur les déplacements internationaux", a déclaré, sur son compte Twitter, Jen Psaki, qui doit officiellement prendre mercredi ses fonctions de porte-parole du nouveau président."Sur les conseils de notre équipe médicale, le (futur) gouvernement n'entend pas lever ces restrictions le 26 janvier", a écrit Jen Psaki sur Twitter. "D'ailleurs", a-t-elle ajouté, "nous prévoyons de renforcer les mesures de santé publique appliquées aux voyages internationaux pour lutter encore davantage contre la diffusion du Covid-19."Transition chaotiquePour ralentir la progression de la pandémie, Donald Trump avait fermé les frontières des États-Unis aux 26 pays de l'espace Schengen le 11 mars 2020, puis au Royaume-Uni et à l'Irlande le 14, avant d'en faire autant pour le Brésil le 24 mai.C'est un nouvel épisode d'une transition sans précédent dans l'histoire moderne des États-Unis, le président sortant Donald Trump entendant limiter au minimum les contacts avec l'équipe de Joe Biden. Donald Trump prévoit d'ailleurs de quitter Washington avant même la cérémonie d'inauguration de son successeur, mercredi.Les États-Unis font actuellement face à la pire phase de la pandémie que le pays ait connue à ce jour, avec plus de 20 000 décès sur les six derniers jours.Avec AFP
Ce mardi 19 janvier, une Thaïlandaise a été condamnée à 43 ans de prison pour avoir insulté la famille royale, la plus lourde peine jamais enregistrée dans le royaume pour crime de lèse-majesté, selon les experts. La condamnation à l'encontre de cette Thaïlandaise intervient alors que le pays intensifie son utilisation de l'article 112 (lèse-majesté) à l'encontre des militants du mouvement pro-démocratie qui réclament une réforme profonde de la toute-puissante monarchie. Mardi, Anchan, dont le nom de famille est tenu secret afin de protéger ses proches, a été condamnée pour 29 chefs d'accusation de lèse-majesté, selon l'ONG Thai Lawyers for Human Rights (TLHR), qui suit de près les procès pour lèse-majesté.Peine réduite de moitié« Elle a été reconnue coupable pour chaque chef d'accusation et condamnée à trois ans pour chacun », ce qui a porté la peine globale à 87 ans, a ajouté l'ONG. Parce que l'accusée a reconnu les faits – elle a posté des messages audio hostiles à la monarchie sur les réseaux sociaux –, « le tribunal a réduit la peine de moitié », soit 43 ans et 100 jours. Ancienne fonctionnaire, Anchan avait été arrêtée en 2015, puis maintenue en détention provisoire pendant trois ans, en raison de sa proximité avec le podcasteur « DJ Banpodj », connu pour ses critiques acharnées contre la monarchie.Avant la condamnation d'Anchan, la peine la plus sévère remontait à 2017, lorsqu'un homme avait été condamné à 35 ans pour une série de publications et de commentaires sur Facebook. L'utilisation de la loi sur le crime de lèse-majesté, appelée « 112 » pour sa section du Code pénal, reste controversée et son abolition est l'une des principales revendications du mouvement actuel mené par la jeunesse.« Des motivations politiques »La peine sévère prononcée mardi pourrait avoir « des motivations politiques », à savoir intimider les étudiants comme cela a pu fonctionner dans le passé, a déclaré l'analyste politique Titipol Phakdeewanich de l'université d'Ubon Ratchathani. Mais « quand on voit l'ampleur prise par le mouvement de la jeunesse depuis l'année dernière, c'est la preuve que (la loi) ne fonctionne plus comme le gouvernement le souhaite », a-t-il déclaré à l'AFP.L'expert estime au contraire que « son utilisation peut détruire la réputation de l'institution de la monarchie aussi bien au niveau national qu'international ». Depuis le lancement du mouvement à la mi-juillet 2020, plus de quarante militants ont été inculpés en vertu de la loi de lèse-majesté pour avoir participé à des manifestations réclamant la démission du Premier ministre, la réécriture de la Constitution et la réforme de la monarchie.(Avec AFP)