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«Le manque de reconnaissance et de moyens, la charge de travail, le turnover […] impactent directement notre capacité à lutter contre l’épidémie du VIH-sida.»

84 % des 480 salariés de Aides étaient en grève jeudi et vendredi. Ce lundi, certains centres d’accueil de l’association de lutte contre le sida ne seront ouverts qu’une heure. Ils protestent contre un chèque de 55 000 euros remis à l’ex-directeur général au titre d’une rupture conventionnelle de contrat, mais aussi contre les disparités salariales, la disparition d’une prime de 800 euros et l’état de leurs conditions de travail. Depuis le début de la grève, la direction a cédé sur plusieurs revendications : les salariés ont obtenu d’avoir sept semaines de congés, d’être payés double le dimanche et la prise en compte de la situation particulière des employés d’outremer.

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