Le Maître du jeu (TF1) : Jeanfi Janssens, premier éliminé déçu ? Il se confie !

Comment avez-vous été approché pour participer au Maître du jeu ?

Jeanfi Janssens : Il y a longtemps déjà que l'on m'a approché parce que ça fait un moment que le projet était dans les tuyaux. On me l'avait présenté il y a à peu près un an. C'était un peu nébuleux parce que je ne comprenais pas (rires). C'était un nouveau concept, donc je pense que les règles n'étaient pas aussi établies que le jeu que l'on voit maintenant. Je comprenais que c'était un jeu d'adversité et je n'avais pas trop envie parce que j'avais l'impression que ça me mettrait un peu mal. En tout cas, je trouve que la vie est suffisamment compliquée pour s'imposer des contraintes ou des manques de nourriture, de survivance (rires). Quand on m'a représenté le projet, presque un an après, avec des règles beaucoup plus précises et puis une stratégie bien définie sur les enjeux du lieu, je me suis dit : 'Tiens, ça peut être pas mal'. Parce qu'en plus, je trouvais que c'était présenté de façon positive. On ne jouait pas les uns contre les autres, on jouait les uns avec les autres. C'est comme ça que ça m'a été présenté.

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Vous êtes proche de Laurent Ruquier. Le fait qu'il anime l'émission a-t-il fini de vous convaincre ?

Oui, ça a fini de me rassurer. Là, je me suis dit : "C'est un truc en famille". Le fait que Laurent m'annonce qu'il allait sûrement animer le jeu m'a beaucoup rassuré et a fait pencher mon oui dans la balance. Ça légitimait le jeu à mes yeux, parce qu'en plus, je connais la valeur que Laurent a pour le travail. Je connais le sérieux de Laurent, je connais son côté juste parce qu'il ne supporte justement pas l'injustice. Et quand Max m'a dit : 'Bah, on me la propose aussi'. Je me suis dit : 'Mais c'est une histoire de copains, ce truc'. Donc, le côté colonie de vacances, ça m'a bien plu.

Comment avez-vous vécu le fait que l'on doute de vous ?

Quand on se retrouve tous les deux à la fin avec Chantal, à la cérémonie des soupçons, c'était mauvais signe. D'ailleurs, Chantal m'a glissé dans l'oreille à ce à ce moment-là, je sais pas si ça s'entend à la caméra, mais elle m'a dit : "...

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