Cérémonie de clôture des JO 2024 : Angèle, Kavinsky et Phoenix enflamment le Stade de France, Léon Marchand éteint la flamme olympique

Les JO de Paris 2024 touchent à leur fin. Au Stade de France, Angèle, Kavinsky, Phoenix ou encore Air ont enflammé la cérémonie de clôture de ces Jeux olympiques, désormais terminés.

Angèle a enflammé le Stade de France en chantant
Angèle a enflammé le Stade de France en chantant "Nightcall" de Kavinsky. (Photo FRANCK FIFE / AFP)

Voilà, c'est fini. Après deux semaines riches en émotions, les Jeux olympiques de Paris 2024 ont touché à leur fin ce dimanche soir, à l'issue de la traditionnelle cérémonie de clôture. L'occasion de dire au revoir aux athlètes qui ont fait rêver la France et le monde lors de cette quinzaine.

Côté spectacle, les stars étaient de sortie. Angèle, Phoenix, Kavinsky, Billie Eilish, les Red Hot Chili Peppers, ou encore Snoop Dogg ont notamment performé lors de la soirée. À noter également la présence polémique de Tom Cruise, ambassadeur de l'Église de scientologie, considérée comme une secte par plusieurs rapports parlementaires français. Suivez notre direct.

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  • À la une

    Kavinsky prend place

    Après Phoenix, voilà un peu de French Touch, avec l'arrivée du DJ Kavinsky qui lance son carton "Nightcall", qui avait été la bande son du film "Drive". Au chant, le DJ est accompagné par un duo formé par Thomas Mars, le chanteur de Phoenix, et Angèle.

    Phoenix reprend ensuite la main avec un autre de ses grands succès, "If I ever feel better".

  • Voilà, c'est fini...

    Et voilà, il est l'heure de dire adieu à ces grandioses Jeux olympiques de Paris, chargés en sites mythiques, en clin d'œils à la culture française, en succès tricolores et en moments iconiques. Un adieu aux larmes pendant que résonne la performance de Céline Dion lors de la cérémonie d'ouverture. Mais séchons nos larmes : dans 16 jours, place aux Jeux paralympiques, qui emprunteront de nombreux sites immortalisés par ces JO 2024. Rassurons-nous ainsi après cette incroyable quinzaine : la fête n'est pas encore terminée.

  • Comme d'habitude

    Pour finir cette soirée, Yseult interprète une version émouvante de "My Way" de Frank Sinatra. Pourquoi la version américaine et non l'originale, l'immortel "Comme d'habitude" de Claude François ? Il faut se pencher sur le refrain qui clame "I did it my way" ("Je l'ai fait à ma façon" en français"), un ultime message laissé par l'organisation de ces Jeux olympiques français.

    Pendant ce temps, un impressionnant feu d'artifice est tiré depuis le toit du Stade de France.

  • Les Jeux sont clos

    Retour au Stade de France. Thomas Bach déclare les Jeux olympiques 2024 de Paris clos. Léon Marchand, qui a emmené la flamme olympique dans l'enceinte, l'éteint en compagnie de Teddy Riner, le marathonien kényan Eliud Kipchoge, la pongiste chinoise Sun Yingsha, le lutteur cubain Mijaín López, la nageuse australienne Emma McKeon et la boxeuse camerounaise Cindy Ngamba, membre de l’équipe olympique des réfugiés.

  • Snoop Doggy Dogg, qu'est-ce qu'on attend ?

    Qui dit Los Angeles dit forcément West Coast. Snoop Dogg prend place sur scène et se voit vite rejoint par Dr. Dre pour le mythique "The Next Episode".

  • Billie Eilish prend le relais

    Les Red Hot Chili Peppers laissent place à une autre artiste californienne, Billie Eilish, qui interprète "Birds of a Feather".

  • Un premier show à l'Américaine

    Après sa virée en moto, Tom Cruise a déposé le drapeau olympique dans un avion, qui symbolise le transfert entre Paris et Los Angeles. Le drapeau rejoint désormais le Los Angeles Memorial Colliseum, le futur stade olympique, et ses 77 500 places.

    Sur une scène placée sur la plage à Los Angeles, les Red Hot Chili Peppers apparaissent et lancent "Can't stop", l'un de leurs principaux cartons.

  • Tom Cruise, une présence qui interroge

    Pour rappel, la présence de Tom Cruise ne fait pas l'unanimité. En cause, la proximité de l'acteur américain avec l'Église de scientologie, considérée comme une secte par plusieurs rapports parlementaires français, et surveillée par la Mission interministérielle de vigilance contre les dérives sectaires (Miviludes).

    Dans un communiqué publié au début du mois, la Miviludes alertait notamment sur les "risques de déstabilisation mentale, d’exigences financières exorbitantes et de rupture avec l’environnement d’origine, notamment familial", de la scientologie. La Miviludes rappelle également que "plusieurs représentants ou organisations de la Scientologie ont fait l’objet de condamnations judiciaires en France", notamment pour escroquerie.

    La présence de Tom Cruise, scentologue revendiqué, interroge d'autant plus dans un contexte où l'Église de scientologie se montre particulièrement offensive. Installée en avril dans ses locaux de Saint-Denis, non loin du Stade de France, l'organisation offrait cafés et boissons fraiches aux spectateurs sur la route du stade, les invitant au passage à visiter son quartier général, souligne L'Express.

  • Tom Cruise arrive !

    Après ses capacités vocales, H.E.R. nous offre désormais un solo à la guitare pendant que Tom Cruise arrive en rappel, une cascade sans doublure. L'acteur embarque le drapeau olympique sur une moto et des images pré-enregistrées d'une virée en moto à Paris, hommage au film "Mission : Impossible", sont projetées avec en fond la chanson "By the way" du groupe californien Red Hot Chili Peppers.

  • Place à LA 2028

    Anne Hidalgo s'empare du drapeau olympique, le secoue une dernière fois, avant de le remettre à Thomas Bach, qui le secoue une dernière fois lui aussi (il quittera le CIO en 2025), qui lui-même le transmet à Karen Bass, maire de Los Angeles, qui accueillera les Jeux olympiques en 2028. La chanteuse H.E.R. interprète ensuite l'hymne américain.

  • La passation approche

    L’orchestre Divertimento est de retour pour interpréter l'hymne olympique avec les enfants de la Maîtrise de Fontainebleau au chant. Pendant ce temps, plusieurs corps de l'Armée française font redescendre le drapeau olympique. La passation avec Los Angeles est imminente.

  • Au tour de Thomas Bach

    Place au discours de Thomas Bach, président du Comité international olympique, qui salue "un climat de paix", même dans "les pays divisés par la guerre".

    "Merci de nous avoir fait rêver", lance-t-il ensuite aux athlètes avant de poursuivre : "Les Jeux olympiques ne peuvent pas créer la paix mais peuvent créer une culture de la paix. Vivons cette culture de la paix chaque jour".

    "Nos amis français ont préparé le terrain, et quelle scène magnifique !", se réjouit-il.

    "Des millions de spectateurs se sont rassemblés dans des sites mythiques", décrit Thomas Bach, qui a adoré "une célébration des athlètes et du sport dans toute sa splendeur, des Jeux plus urbains, plus inclusifs, plus responsables, les premiers où la parité a été respectée. Des JO sensationnels ou devrais-je dire "Seine-sationnels". Les JO 2024 ont été les Jeux olympiques d'une nouvelle ère."

    "Vous pouvez être fiers pour toujours. Un merci particulier à tous les merveilleux volontaires, vous serez toujours dans notre cœur. Chers amis français, vous êtes tombés amoureux des Jeux olympiques et nous sommes tombés amoureux de vous tous. Vivent les Jeux olympiques, vive la France", déclare-t-il pour conclure.

  • Place aux discours

    L'heure est à la solennité. Le président du Comité international olympique Thomas Bach prend place aux côtés de Tony Estanguet, triple champion olympique et président du comité d'organisation des JO 2024.

    Tony Estanguet est le premier à s'exprimer, ravi des ambiances lors de ces Jeux olympiques : "On ne pouvait pas se préparer à tout ce qu'on vient de vivre ensemble".

    "Un élan est né et le lendemain, une vague s'est levée, a emmené le pays et a dépassé tout ce qu'on vient d'imaginer. Ce que nous venons de vivre restera dans l'histoire des JO. On voulait de la ferveur, on a eu de la passion. On a eu envie de rêver, on a eu Léon Marchand. Du jour au lendemain, Paris est devenue olympique. Votre passion a fait de chaque premier tour une finale, de chaque site olympique une arène, de chaque médaille olympique une fête nationale", ajoute-t-il.

    Il tient également à remercier les pouvoirs publics, "les 45 000 volontaires qui ont donné toute son âme aux Jeux 2024, toutes celles et ceux qui nous ont transportés, qui nous ont protégés".

    "Vous avez fait de ces Jeux vos Jeux. Vous avez été au rendez-vous. On se voyait un peuple d'irréductibles râleurs, on s'est réveillés un peuple de supporters qui ne pouvaient plus s'arrêter de chanter", lance également Tony Estanguet.

    Il félicite également la délégation française pour son record du nombre de médailles sous les ovations du public : "Vous avez rendu fiers 68 millions de Françaises et de Français".

    "Le plus difficile quand on s'aime, c'est de se dire au revoir. On n'a pas envie que ça s'arrête et ça tombe bien : les Jeux ne sont pas encore terminés. En sport comme en amour, c'est rare d'avoir une seconde chance. Soyez rassurés, ce n'est pas la fin des Jeux, c'est la fin du match aller. Je vous donne rendez-vous le 28 août pour les Jeux paralympiques 2024", achève Tony Estanguet.

  • Teddy Riner, la grande classe

    11 titres de champion du monde, trois médailles d'or olympique, porte-drapeau de la France aux JO 2016 de Rio de Janeiro, préposé à l'allumage de la vasque olympique cette année... Teddy Riner avait depuis longtemps obtenu le statut de légende du sport français avant même de se lancer dans les épreuves de ces JO 2024. Après son doublé (titre olympique en individuel et par équipes), le judoka français avait promis de venir à la rencontre des enfants de Seine-Saint-Denis qui n'avaient pas pu accéder aux Jeux olympiques cette année, et il a tenu parole.

  • Air monte sur scène

    Vous reprendrez bien un peu de French Touch ? Air - un groupe, pour l'anecdote, formé à Versailles, comme l'est Phoenix - prend place sur scène et interprète "Playground love".

    Puis Phoenix reprend son rôle de fil rouge, avec "Tonight", chantée avec Ezra Koenig, le chanteur du groupe américain Vampire weekend. Le groupe enchaîne avec "1901", un de ses grands classiques où cette fois-ci Thomas Mars opère tout seul au chant.

  • Place à Phoenix

    On repart sur un moment plus festif. Le groupe Phoenix arrive et, après une introduction sur "Love like a Sunset", interprète "Lisztomania", l'un de ses plus grands succès, dont le refrain est largement scandé par le public.

  • De beaux souvenirs

    Place désormais à de nouveaux flashback de la compétition. Qu'il s'agisse de chutes terribles comme de moments heureux. Du cycliste Remco Evenepoel sous la tour Eiffel, à la tête de Jean-Philippe Mateta contre l'Égypte, en passant par la grâce de Simone Biles et la maestria de Stephen Curry. Que de souvenirs !

  • Les anneaux olympiques s'élèvent et s'unissent

    Bon sang mais c'est bien sûr ! Ces différentes structures circulaires étaient évidemment les anneaux olympiques ! Ils s'élèvent et se retrouvent petit à petit dans les airs, avant qu'un feu d'artifice ne soit tiré.

  • Un nouvel hommage à la Grèce antique

    Place maintenant à l'hymne à Apollon, l'hymne le plus ancien de la Grèce antique, qui date du VIIIe siècle avant Jésus-Christ. Le pianiste Alain Roche et le chanteur lyrique Benjamin Bernheim s'associent pour cette interprétation d'un chant que l'on a entendu pour la première fois lors de ce fameux premier Congrès olympique à la Sorbonne en 1894.

  • La chorégraphie se poursuit

    De nombreuses créatures descendent à leur tour pour rejoindre l'être doré, dans une ambiance toujours plus mystique. Des chorégraphies s'enchaînent aux quatre coins de la scène, avant que des structures circulaires ne s'élèvent. Qu'est-ce que cela peut-il être ?

  • À l'origine des JO

    La mystérieuse créature dorée rencontre Athena Nikè, la déesse de la victoire dans la mythologie grecque. Une voix dans le Stade de France lit ensuite des passages du discours de Pierre de Coubertin à la Sorbonne lors du premier Congrès olympique en juin 1894, à l'issue duquel les Jeux olympiques modernes ont été mis en place.

  • Le Stade de France plongé dans le noir

    Après une première heure un peu longue, la mise en scène reprend les devants. Le Stade de France est désormais plongé dans le noir et l'ambiance digne de la série Dark se fait angoissante, au son des tambours.

    Une sorte d'ange, en costume doré, se pose lentement sur la scène où sont dessinés les différents continents. S'ensuit une chorégraphie sous un épais brouillard, avant que ne soit finalement lancé l'hymne de la Grèce.

  • Le marathon pour tous et les volontaires honorés

    20 024 personnes se sont lancées lors du Marathon pour tous samedi et plus de 17 000 d'entre elles ont réussi la performance de franchir la ligne d'arrivée. Un moment de grâce pour le sport amateur qui est mis à l'honneur de cette cérémonie de clôture.

    Place ensuite aux remerciements pour les volontaires, 45 000 bénévoles sans lesquels ces JO n'auraient pas pu se dérouler. "Que je t'aime", décidément l'un des classiques de cette édition 2024, résonne dans le Stade de France alors que des représentants des volontaires sont entrés dans l'arène.

  • On s'amuse bien dans le clan français

    Quoi de plus français qu'un paquito géant de la délégation française en plein milieu du Stade de France ? Défi relevé et avec la manière par nos athlètes tricolores.

  • Un dernier podium

    Avant que ces Jeux olympiques ne prennent fin, trois médailles doivent encore être remises, celles du marathon féminin. Après un final particulièrement disputé voire houleux, la Néerlandaise Sifan Hassan s'est imposée en 2 heures, 22 minutes et 55 secondes, nouveau record olympique. La championne sera accompagnée sur le podium par l'Éthiopienne Tigst Assefa et la Kenyane Hellen Obiri.

  • Un karaoké géant au Stade de France

    Comme lors de nombreuses épreuves, un karaoké géant est lancé dans le Stade de France. "Aux Champs-Élysées" de Joe Dassin lance l'animation avant que "Freed from Desire" de Gala puis "We are the champions" de Queen ne ravissent les athlètes, dont la parade continue tout autour de la pelouse du Stade de France.

    Lors des épreuves, "Sweet Caroline" de Neil Diamond, "Allumer le feu" de Johnny Hallyday ou encore "J'irai où tu iras" de Céline Dion et Jean-Jacques Goldman avaient enflammé le public lors de ces karaokés géants.

  • Un hymne qui régale les téléspectateurs

    Pendant que la parade des athlètes nous offre une bande son inspirée de classiques de la musique française divers et variés ("D.A.N.C.E." de Justice, "Que je t'aime" de Johnny Hallyday, "Lettre à France" de Michel Polnareff ou encore "Midnight City" de M83), les internautes se montrent particulièrement emballés par l'hymne de ces Jeux olympiques, "Parade", composé par Victor Le Masne. Un véritable carton qui restera dans les mémoires et que certains espèrent même retrouver sur les plateformes en ligne.

  • Après la Marseillaise, Johnny Hallyday

    L'orchestre continue d'animer la soirée. Après la Marseillaise, c'est au tour de Johnny Hallyday d'être réinterprété. On peut reconnaître "Que je t'aime", l'une des chansons iconiques de ces Jeux olympiques, qui a maintes fois accompagné les médailles d'or de nos sportifs français.

    À l'écoute de ces notes, difficile de ne pas penser à Joan-Benjamin Gaba en judo par équipe, ou encore au roi des bassins Léon Marchand.

  • La parade se poursuit

    Le cœur du Stade de France se remplit peu à peu avec l'arrivée des différents champions. L'occasion de se remémorer les grands moments et grands noms de ces dernières semaines.

    On peut apercevoir la boxeuse algérienne Imane Khelif, championne olympique en -66kg ou encore les footballeurs espagnols, décidément bête noire de l'équipe de France.

  • Place aux délégations

    La parade se poursuit ! Après les porte-drapeaux, place à tous les sportifs qui ont participé à ces Jeux olympiques. On y retrouve notamment des médaillés bien connus, comme le judoka Teddy Riner, la reine du triathlon Cassandre Beaugrand, ou encore l'équipe de France de basketball. Contrairement à la cérémonie d’ouverture, ils ne défilent pas par délégation mais tous mélangés.

  • Les porte-drapeaux des 205 pays font leur entrée

    Place à l'entrée des sportifs ! Les différents porte-drapeaux des 205 pays qui participent aux Jeux olympiques font leur entrée au cœur du Stade de France, accompagnés de bénévoles qui ont œuvré lors de la quinzaine.

    Parmi les sportifs, on retrouve bien sûr les Français Pauline Ferrand-Prévot et Antoine Dupont, médaillés d'or lors de ces Jeux.

  • La Marseillaise retentit au Stade de France

    Au Stade de France, l'orchestre Divertimento interprète l'air de la Marseillaise, dans une version très douce composée par Victor Le Masne, aux manettes de toutes les performances musicales des cérémonies, avant de finir sur une note plus épique. Dans le même temps, le drapeau français est hissé au côté du drapeau olympique.

  • Léon Marchand, la flamme après l'or

    Quintuple médaillé lors de ces JO et quadruple champion olympique (400m 4 nages, 200m papillon, 200m brasse et 200m 4 nages), Léon Marchand a troqué son maillot de bain contre un élégant costume noir. Le nageur originaire de Toulouse, athlète le plus titré de ces Jeux olympiques 2024, rejoint les Tuileries pendant que résonnent toujours les chœurs et emporte avec lui la flamme olympique pour son trajet qui l'emmènera jusqu'au Stade de France.

  • Zaho de Sagazan pour lancer la cérémonie

    La cérémonie de clôture a démarré avec un rappel en images des meilleurs moments de la grandiose cérémonie d'ouverture le 26 juillet dernier. La chanteuse Zaho de Sagazan interprète "Sous le ciel de Paris" près de la vasque olympique. La grande gagnante de la dernière cérémonie des Victoires de la Musique est accompagnée par le chœur de l’Académie Haendel-Hendrix.

  • La cérémonie de clôture a commencé !

    C'est parti pour la cérémonie de clôture des JO de Paris, qui commence avec un flashback : quelques images de la somptueuse cérémonie d'ouverture dans la capitale il y a deux semaines.

  • Le Stade de France dans la pénombre

    Alors que que la cérémonie de clôture va démarrer dans quelques minutes, la lumière a été -volontairement- coupée au Stade de France. Certainement un élément de la mise en scène de Thomas Jolly.

  • Un bilan historique

    Alors que ces Jeux olympiques s'achèvent, la France sort de cette quinzaine avec un total de 64 médailles, son meilleur score depuis 1900 à... Paris et les 102 médailles face à une concurrence réduite à 20 pays qui semblent aujourd'hui inaccessibles. Hormis cette exception parisienne d'un autre temps, la délégation tricolore a battu son record de titres olympiques (16 contre 15 à Atlanta en 1996) et de podiums (64 contre 43 à Pékin en 2008). Un bilan riche en émotions pour le sport français qui surpasse largement les 33 médailles obtenues lors des derniers JO d'été, à Tokyo.

  • Le programme de la cérémonie de clôture

    À quoi s'attendre ce dimanche soir pour la clôture de ces JO ? Après l'impressionnante cérémonie d'ouverture dans les rues de Paris, il va falloir faire fort pour autant marquer les esprits.

    Sans surprise, le sport sera à l'honneur. Comme le veut la tradition, la première partie de la cérémonie verra les 205 délégations parader sur la piste violette du Stade de France. Côté français, la cycliste Pauline Ferrand-Prévot et le rugbyman à 7 Antoine Dupont porteront notamment le drapeau tricolore.

    Au programme également, la remise des médailles du marathon femme, dernière épreuve de ces Jeux olympiques.

    Show à la française... et à l'américaine

    Après le sport, place à la fête. Comme pour l'ouverture, le spectacle sera assuré par l'équipe artistique dirigée par le metteur en scène Thomas Jolly. 270 artistes et performeurs interviendront sur une scène de 2400 m2, alors que 1040 projecteurs seront installés dans le stade.

    Les organisateurs passeront enfin le flambeau aux États-Unis, prochain pays hôte des JO à Los Angeles en 2028. Pour l'occasion, les Américains proposeront un show "hollywoodien" d'une quinzaine de minutes.

    Les stars attendues

    Et qui dit show dit forcément star. De nombreux artistes sont ainsi attendus ce soir. Parmi les noms pressentis, on retrouve entre autres Air, Phoenix, Angèle, Zaho de Sagazan, ou encore les Red Hot Chili Peppers et la chanteuse Billie Eilish.

    À noter également la présence controversée de Tom Cruise, qui prévoit des cascades spectaculaires.

  • Bonjour et bienvenue dans ce dernier direct consacré aux Jeux olympiques de Paris. Ne manquez rien des grands moments de la cérémonie de clôture qui se tiendra ce dimanche soir au Stade de France de 21h à 23h15.