Adjointe au maire de Sénouillac, Sandra Vicente a été retrouvée morte par son compagnon, ce mardi à son domicile. Les premiers éléments de l’enquête indiquent que la jeune femme aurait succombé aux morsures de ses deux rottweilers.
En avril 2020, Mary-Kate Olsen demandait le divorce d’Olivier Sarkozy. Huit mois après le début de la procédure, un accord a été trouvé entre les deux parties et le divorce a officiellement été prononcé.
Laurent Voulzy est l’un des invités du numéro de 100% Taratata diffusé ce mardi 26 janvier en prime sur France 2. L’occasion de dresser le portrait de sa femme, Mirella Lepetit, dont il partage la vie depuis plus de quinze ans.
Ce mercredi 27 janvier, Jacques Sanchez reçoit Christine Kelly dans son émission "Face aux médias" diffusée sur Non Stop People. Dans un extrait inédit, la journaliste revient sur le succès de "Face à l'info", le programme qu'elle présente sur CNews et qui cartonne. L'occasion pour elle de révéler ce qui se passe en coulisses, notamment lors de ses échanges avec Eric Zemmour.
L'artiste français Fabien Barrau a imaginé le futur des grandes villes si elles étaient détruites et désertifiées de l'espèce humaine.
Cela pourrait renforcer les risques d'infection chez les patients fragiles en attente d'une seconde dose, estime le Professeur Buisson, président de la cellule Covid-19 de l’Académie nationale de médecine, qui salue le maintien du "délai entre deux injections à 21 ou 28 jours" du vaccin Pfizer/BioNTech.
Un mois après son sacre, Amandine Petit est déjà "vénère de ouf". Et Miss France 2021 explique pourquoi.
Les téléspectateurs adeptes de C à Vous avaient remarqué depuis le 11 janvier l'absence sur le plateau de Pierre Lescure, qui y officie en tant que chroniqueur. Il a révélé le 23 janvier que sa disparition était liée à une infection à la Covid-19. Ce 26 janvier il a donné de ses nouvelles sur Twitter...
Journée marathon mardi 26 janvier pour Zéphirin Diabré, ministre d’État, chargé de la Réconciliation nationale. Dans son cabinet, il a reçu, d'une part, quatre organisations représentant les parents de victimes de l’insurrection populaire de 2014 et du coup d’État manqué un an après. Et il a également rencontré d'autre part les organisations de la société civile militant pour un retour au pays des exilés, notamment celui de l'ancien président Blaise Compaoré. Mais à la sortie de la rencontre, l’ambiance a été parfois tendue. Avec notre correspondant à Ouagadougou, Yaya BoudaniPour le ministre d’État Zéphirin Diabré, l'un des objectifs était de mettre d’accord les représentants des victimes de l’insurrection et du coup d’État manqué, et les blessés. C’est en rang dispersé que ces différentes associations ont été reçues par le ministre. Pour un apaisement des cœurs, il faut passer par la case « vérité » selon Dramane Ouedraogo, le président de l’Association des blessés de l'insurrection populaire (Abip) d’octobre 2014 : « Il faut que ceux qui ont donné l’ordre de nous maltraiter, de nous matraquer et de nous tirer dessus avec des balles, acceptent de reconnaître qu’ils ont eu tort et que ils demandent publiquement pardon. Mais si on enlève la justice et qu’on parle seulement de réconciliation, alors là, il y a un problème. »► À lire et écouter aussi : Zéphirin Diabré: se retrouver au gouvernement burkinabè «n'a rien d'un sacrilège»Depuis 2015, des organisations de la société civile prônent la réconciliation nationale. En attendant le format qui sera proposé, ces organisations souhaitent le retour et la participation des exilés, comme l'ancien président Blaise Compaoré, au processus. Pascal Zaïda, coordonnateur du Cadre d'expression démocratique (CED), s'exprime :« La question du retour de l’ensemble des exilés a effectivement été évoquée. Je pense à un format qui serait défini pour voir dans quelles conditions les anciens chefs d’État pourraient éventuellement rentrer et même être des acteurs principaux pour la suite à venir. C’est un format qui va réunir tout le monde. Naturellement, nous sommes partants pour cela. »Ces responsables d’associations estiment qu’aucun citoyen burkinabè ne doit rester hors du pays sur la base de ses opinions politiques ou autres.
Après Pfizer, le laboratoire AstraZeneca a annoncé lui aussi une réduction de 60% de ses livraisons de vaccins. L’Union européenne compte d’autant plus sur le vaccin d’AstraZeneca, dont elle a 400 millions de doses en précommande, qu’il coûte moins cher que ceux de Pfizer et de Moderna et qu’il n’exige pas une conservation à -70°C. Le bras de fer s’est donc engagé entre l’UE et le laboratoire anglo-suédois. D’où l’idée de contrôler les exportations, soutenue en particulier par l’Allemagne et la France. Avec notre correspondant à Bruxelles, Pierre BenazetLa pression exercée par l’Union européenne depuis l’annonce des retards d’AstraZeneca n’a pas connu de relâche. Deux réunions avec l’UE pour le laboratoire anglo-suédois, une lettre de la commissaire à la Santé, un coup de téléphone de la présidente de la Commission au PDG d’AstraZeneca, et puis cette idée : un mécanisme de contrôle des exportations vaccinales.Le principe est de tenir un registre des exportations hors d’Europe des vaccins qui y sont produits. Les laboratoires devront avertir les autorités européennes quand ils voudront exporter, sauf pour des raisons humanitaires.► À lire aussi : «Manaus est devenue la capitale mondiale du Covid-19»« L’Union européenne et d’autres ont fourni des fonds. Des sommes importantes ont été investies pour construire des centres de recherche et de production assez tôt. L’Europe a investi des milliards pour aider au développement des premiers vaccins contre le Covid-19 au monde. Et maintenant, c’est aux laboratoires de fournir. Ils doivent honorer leurs obligations. C’est pourquoi nous allons construire un mécanisme de transparence des exportations de vaccins. L’Europe est déterminée à contribuer à ce bien commun mondial, mais elle défendra aussi ses propres intérêts », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, mardi 26 janvier.Est-ce un effet de la pression européenne ? Toujours est-il que le PDG d’AstraZeneca promet à l’Union européenne 17% de sa production. L’agence européenne des médicaments doit, elle, s'exprimer ce vendredi 29 janvier sur l’homologation du vaccin d’AstraZeneca-Oxford.► À lire aussi : La polémique sur les doses de vaccins Pfizer continue, et cette fois en Suède
Kaley Cuoco, la star de The Big Bang Theory, n’apprécie pas du tout la nouvelle coupe de cheveux de son mari.
Voilà 36 ans que la police enquête dans l'espoir de mettre la main sur la personne qui a tué le petit Grégory Villemin en 1984. Affaire connait ce jour un nouveau rebondissement qui pourrait permettre de mettre la main sur le coupable.
Pour ce couple de Marseillais, c'est la seconde fois que cette maison, reçue en héritage, est squattée en quatre ans.
Si elle partage régulièrement des ondes positives sur son compte Instagram, cette fois, Aurélie Vaneck a tenu à honorer la mémoire de son « papa d’amour ». En deuil, la comédienne de Plus belle la vie a livré un touchant hommage.
Dans "Historiquement Vôtre", Stéphane Bern a toujours le mot de la fin et nous raconte l’histoire d’une locution ou expression. Mardi, il nous explique les origines d''apporter des oranges", utilisé lors d'une visite à une personne en prison ou pour alerter sur un comportement illégal. Pour comprendre, il faut remonter dans le temps, au 19e siècle.
Emmanuel Macron va-t-il bientôt annoncer un troisième confinement de la France ? Si le président de la République réfléchit encore, ses proches et son entourage l'ont déjà prévenu du danger qui l'attend.
Dessinateur de presse au Parisien notamment, Olivier Ranson revient sur le cas de Xavier Gorce, qui a quitté le journal Le Monde avec fracas. Il dénonce la frilosité de plus en plus marquée des rédactions, sous la pression des réseaux sociaux.
MALTRAITANCE ANIMALE - Le propriétaire de l’animal a reçu une convocation de la justice pour répondre de maltraitance animale
Aujourd'hui dans son service de réanimation de l'hôpital de Garches, "quasiment 100%" des patients souffrent du Covid-19. "On se prépare à une déferlante", assure le chef de service.
Alors que la pression scientifique s'accroît en faveur d'un nouveau confinement pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, des responsables politiques font savoir qu’ils ne laisseront pas faire sans un débat et un vote au Parlement.