L'exposition Johnny Hallyday se dévoile
Les fans de Johnny Hallyday pourront découvrir la toute première exposition consacrée au chanteur depuis sa mort, dès la fin de l'année.
Iris Mittenaere est à bout. Ce lundi 27 juin, Miss France 2016 a poussé un énorme coup de gueule en story Instagram...
ASSISES - Fin 2018, l’individu s’était présenté armé d’une carabine devant le foyer où son ancienne compagne était hébergée
Après avoir été évincée de la présidence de la Fédération française des sports de glace, Nathalie Péchalat s'est de...
Depuis l'officialisation de la fin de "Plus belle la vie", plusieurs acteurs de la série ont annoncé faire leur...
Les 27 Etats membres de l'UE ont approuvé mercredi le projet de la Commission de réduire à zéro les émissions de CO2 des voitures neuves en Europe à partir de 2035, soit l'arrêt de facto des ventes de moteurs thermiques au profit de véhicules 100% électriques. Cette mesure, proposée par l'exécutif européen en juillet 2021, reste à discuter avec les eurodéputés.
Ce lundi 27 juin, c'était l'heure du bilan pour les candidats de Mariés au premier regard 2022. A la surprise...
Certains incendies ont été maîtrisés, mais les pompiers continuent mardi soir de lutter contre les flammes, notamment entre Opoul-Périllos et Salses-le-Château.
Le parquet de Paris a indiqué mercredi qu'une enquête pour tentative de viol avait été ouverte mardi après qu'une femme ait déposé plainte contre le ministre des Solidarités Damien Abad. Le témoignage de cette femme avait été publié par Mediapart mi-juin sous le prénom d'emprunt de "Laëtitia".
La plainte a été déposée nommément contre l'ex-député UDI et un policier des renseignements territoriaux.
Dans le cadre du projet Gateway de la Nasa visant à installer une station spatiale en orbite entre la Lune et la Terre, l'Agence spatiale américaine vient de lancer son CubeSat Capstone afin d'expérimenter une nouvelle orbite unique.
Le média en ligne Konbini a décidé de retirer de son site les vidéos faites en partenariat avec Léo Grasset, connu sur YouTube pour ses vidéos de vulgarisation scientifique réalisées sous le pseudonyme "DirtyBiology". Ce dernier est accusé de viol par une femme et de "violences psychologiques, sexuelles ou comportement jugé problématique" par sept autres. Toutes ont témoigné dans une enquête de Mediapart.
Joe Biden : Son fils Hunter au coeur d'une affaire de prostitution ? Révélations
Dix ans plus tard, la robe la plus célèbre de l’Assemblée nationale y fait son grand retour ce mardi 28 juin. Sur les bancs de l’hémicycle, la députée écologiste Marie-Charlotte Garin a partagé une photo de sa tenue du jour: la robe blanche à fleurs bleues portée par Cécile Duflot en 2012 et qui lui avait valu des remarques sexistes des députés UMP de l’époque. Elle revient ce mercredi dans le Live Toussaint sur cette initiative.
Alors que la circulation des biens tend à se bloquer entre la Russie et la Lituanie, les voyageurs russes sont quant à eux toujours autorisés à se déplacer chez leurs voisins. Au cœur de la gare de Vilnius, capitale lituanienne, des panneaux d'affichage montrant les horreurs de la guerre en Ukraine font face au train en provenance de Russie. Des images pour sortir les Russes de leur propagande nationale.
Partie ce matin pour le Danemark où démarrera le Tour de France ce vendredi, Marion Rousse laisse derrière elle son...
Chaque jour, Anicet Mbida nous fait découvrir une innovation qui pourrait bien changer notre façon de consommer. Ce jeudi, il s'intéresse à la découverte de scientifiques qui viennent de trouver un moyen de régénérer les disques intervertébraux abîmés.
La nouvelle présidente de l'Assemblée nationale a été félicitée, bien que l'opposition dit attendre de la voir à l'action pour juger.
L’annulation du droit constitutionnel à l’avortement aux États-Unis continue à faire réagir. Malgré la décision sans appel possible de la Cour suprême la semaine dernière, les défenseurs du droit à l’avortement continuent à se mobiliser et à manifester. Jusque sous les fenêtres de ceux qui ont pris la décision.
Emprise, viols et violences : on est bien loin de la bonhomie revendiquée par le site de porno amateur Jacquie et...
Après 10 mois d'audience, l'heure du verdict. Au procès du 13-Novembre, la cour doit rendre mercredi soir sa très attendue décision sur le sort de Salah Abdeslam et de ses coaccusés, jugés depuis septembre pour les pires attentats jamais commis en France. La lecture du délibéré pourrait débuter "à partir de 17H00", a annoncé le président Jean-Louis Périès lundi en fin de matinée, avant que la cour d'assises spéciale ne se retire pour délibérer dans un lieu tenu secret après 148 jours d'audience. Avant cela et devant une salle comble du palais de justice de Paris, elle avait donné la parole pour la dernière fois aux 14 accusés présents - six autres dont cinq hauts cadres de l'Etat islamique présumés morts sont jugés en leur absence. "Je ne suis pas un assassin, je ne suis pas un tueur", a soutenu depuis le box le principal d'entre eux, Salah Abdeslam, réitérant ses excuses "sincères" aux victimes. "L'opinion publique pense que j'étais sur les terrasses avec une kalachnikov, occupé à tirer sur des gens, l'opinion publique dit que j'étais au Bataclan. Vous savez que la vérité est à l'opposé", a lancé à la cour le seul membre encore en vie des commandos qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015. "Si vous me condamnez pour assassinats, vous commettrez une injustice", a asséné Salah Abdeslam. - "Sang des victimes" - L'accusation a requis à son encontre la peine la plus lourde prévue par le code pénal : la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté incompressible, qui rend infime toute possibilité de libération. Le Français de 32 ans a adopté au cours du procès "une stratégie de minimisation constante des faits", avaient estimé les trois représentants du parquet national antiterroriste (Pnat). Mais il a "bien tenté de faire exploser sa ceinture" le soir des attentats, et a "le sang de toutes les victimes sur ses mains". Dans une plaidoirie visant à lui éviter cette "peine de mort lente", sa défense a rappelé que la sentence n'avait été prononcée que quatre fois, contre des hommes reconnus "psychopathes" et condamnés pour des crimes commis sur des mineurs. Salah Abdeslam, qui a soutenu à l'audience avoir renoncé à actionner son gilet explosif "par humanité", n'est "ni psychopathe ni sociopathe", a martelé l'une de ses avocats, Me Olivia Ronen. Il est un "exécutant déserteur", mais la sanction demandée est digne d'un "tribunal militaire" qui juge des "ennemis" et non "des accusés", a vilipendé son confrère Me Martin Vettes. - Pour le "symbole" - Six ans après une nuit de terreur qui a traumatisé la France et après un procès-fleuve marqué par les récits glaçants de près de 400 rescapés ou proches à la barre - sur près de 2.600 parties civiles - les avocats de la défense ont mis la cour en garde contre la tentation d'une "justice d'exception" guidée par l'émotion. Au premier jour le 8 septembre, le président avait souhaité que le "respect de la norme" reste le "cap" de ce "procès historique", lui ont rappelé certains, plaidant contre les peines "d'élimination", de "vengeance" ou pour le "symbole" requises selon eux par le parquet. "Je vous demande de faire un effort, celui de ne pas vous laisser glisser", a demandé Me Orly Rezlan. "La justice n'est pas une arme de la colère", a exhorté Me Marie Violleau, avocate de Mohamed Abrini, "prévu" pour le 13-Novembre mais qui avait renoncé, comme il le fera quelques mois plus tard à Bruxelles. Les peines demandées contre les 20 accusés vont de cinq ans d'emprisonnement à la perpétuité, notamment requise pour les "complices" des attentats, tous membres d'une même cellule jihadiste dont les commandos étaient "interchangeables" d'après les avocats généraux. La perpétuité incompressible a également été demandée contre Oussama Atar, "cadre supérieur de la terreur" du groupe Etat islamique et commanditaire des attaques, présumé mort en Syrie. Trois avocats ont plaidé l'acquittement pour leurs clients "innocents". "Je ne suis pas un terroriste", a répété l'un d'eux dans ses derniers mots à la cour lundi. "J'ai très peur de votre décision", a reconnu un autre entre deux sanglots. mdh-asl-aje/pga