Letizia d'Espagne : Soirée entre copines pour applaudir une icône du cinéma français
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L'équation s'est un peu plus compliquée mercredi pour Élisabeth Borne avec l'ouverture d'une enquête pour tentative de viol contre le ministre Damien Abad, alors qu'elle doit aussi décider si elle prend le risque ou non de solliciter la confiance des députés.
Certains incendies ont été maîtrisés, mais les pompiers continuent mardi soir de lutter contre les flammes, notamment entre Opoul-Périllos et Salses-le-Château.
Le président de la République a martelé mardi que la Russie ne "devait pas gagner" la guerre en Ukraine mais refusé de qualifier la Russie d'"Etat parrain du terrorisme" après la frappe russe sur un centre commercial.
Le pilote de Formule 1 Lewis Hamilton a réagi mardi à des propos racistes de l'ancien pilote brésilien Nelson Piquet, qu'il avait tenus lors d'un entretien en 2021 et qui ont resurgi ces derniers jours sur les réseaux sociaux.
Dans le cadre du projet Gateway de la Nasa visant à installer une station spatiale en orbite entre la Lune et la Terre, l'Agence spatiale américaine vient de lancer son CubeSat Capstone afin d'expérimenter une nouvelle orbite unique.
Depuis l'officialisation de la fin de "Plus belle la vie", plusieurs acteurs de la série ont annoncé faire leur...
ASSISES - Fin 2018, l’individu s’était présenté armé d’une carabine devant le foyer où son ancienne compagne était hébergée
Après l'élection de Yaël-Braun Pivet à la tête de l'Assemblée, les grandes manœuvres se poursuivent. Prochaine étape, l'élection de la présidence de la puissante commission des Finances.
La plainte a été déposée nommément contre l'ex-député UDI et un policier des renseignements territoriaux.
Les États-Unis haussent le ton sur la transition en Guinée. À quelques jours de sommet de la Cédéao, à Accra, censé statuer sur d’éventuelles sanctions contre la Guinée, l’ambassadeur américain dans le pays, Troy Fitrell, a lancé un avertissement aux autorités de transition.
Plus de 100 000 soldats auraient connu des problèmes d’audition après l’utilisation de bouchons d’oreille du groupe 3M, selon « Courrier international ».
Le procès des attentats du 13-Novembre s'achève ce mercredi 29 juin avec le verdict de la cour d'assises spécialement consituée. Les débats, débutés le 8 septembre 2021, auront duré neuf mois et demi.
FORMULE 1 - Lewis Hamilton a réagi ce mardi aux propos racistes à son encontre de l’ancien pilote Nelson Piquet, condamnés par la FIA et Formula 1
Affaire Garrido-Corbière : Aziz Zemouri porte plainte contre l'ex-député Jean-Christophe Lagarde
La première séance de l'Assemblée nationale a été marquée par une polémique quand le doyen a évoqué son parcours personnel et notamment l'Algérie française. Le député RN José Gonzalez a évoqué son histoire personnelle et son attachement à l’Algérie française.
Emprise, viols et violences : on est bien loin de la bonhomie revendiquée par le site de porno amateur Jacquie et...
TERRITOIRE - Malgré le refus du gouvernement britannique, la Première ministre écossaise veut organiser ce vote en octobre 2023
Alors que la circulation des biens tend à se bloquer entre la Russie et la Lituanie, les voyageurs russes sont quant à eux toujours autorisés à se déplacer chez leurs voisins. Au cœur de la gare de Vilnius, capitale lituanienne, des panneaux d'affichage montrant les horreurs de la guerre en Ukraine font face au train en provenance de Russie. Des images pour sortir les Russes de leur propagande nationale.
Neymar : Soirée western et rodéo avec sa nouvelle compagne, très sexy en cowgirl !
Après 10 mois d'audience, l'heure du verdict. Au procès du 13-Novembre, la cour doit rendre mercredi soir sa très attendue décision sur le sort de Salah Abdeslam et de ses coaccusés, jugés depuis septembre pour les pires attentats jamais commis en France. La lecture du délibéré pourrait débuter "à partir de 17H00", a annoncé le président Jean-Louis Périès lundi en fin de matinée, avant que la cour d'assises spéciale ne se retire pour délibérer dans un lieu tenu secret après 148 jours d'audience. Avant cela et devant une salle comble du palais de justice de Paris, elle avait donné la parole pour la dernière fois aux 14 accusés présents - six autres dont cinq hauts cadres de l'Etat islamique présumés morts sont jugés en leur absence. "Je ne suis pas un assassin, je ne suis pas un tueur", a soutenu depuis le box le principal d'entre eux, Salah Abdeslam, réitérant ses excuses "sincères" aux victimes. "L'opinion publique pense que j'étais sur les terrasses avec une kalachnikov, occupé à tirer sur des gens, l'opinion publique dit que j'étais au Bataclan. Vous savez que la vérité est à l'opposé", a lancé à la cour le seul membre encore en vie des commandos qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015. "Si vous me condamnez pour assassinats, vous commettrez une injustice", a asséné Salah Abdeslam. - "Sang des victimes" - L'accusation a requis à son encontre la peine la plus lourde prévue par le code pénal : la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté incompressible, qui rend infime toute possibilité de libération. Le Français de 32 ans a adopté au cours du procès "une stratégie de minimisation constante des faits", avaient estimé les trois représentants du parquet national antiterroriste (Pnat). Mais il a "bien tenté de faire exploser sa ceinture" le soir des attentats, et a "le sang de toutes les victimes sur ses mains". Dans une plaidoirie visant à lui éviter cette "peine de mort lente", sa défense a rappelé que la sentence n'avait été prononcée que quatre fois, contre des hommes reconnus "psychopathes" et condamnés pour des crimes commis sur des mineurs. Salah Abdeslam, qui a soutenu à l'audience avoir renoncé à actionner son gilet explosif "par humanité", n'est "ni psychopathe ni sociopathe", a martelé l'une de ses avocats, Me Olivia Ronen. Il est un "exécutant déserteur", mais la sanction demandée est digne d'un "tribunal militaire" qui juge des "ennemis" et non "des accusés", a vilipendé son confrère Me Martin Vettes. - Pour le "symbole" - Six ans après une nuit de terreur qui a traumatisé la France et après un procès-fleuve marqué par les récits glaçants de près de 400 rescapés ou proches à la barre - sur près de 2.600 parties civiles - les avocats de la défense ont mis la cour en garde contre la tentation d'une "justice d'exception" guidée par l'émotion. Au premier jour le 8 septembre, le président avait souhaité que le "respect de la norme" reste le "cap" de ce "procès historique", lui ont rappelé certains, plaidant contre les peines "d'élimination", de "vengeance" ou pour le "symbole" requises selon eux par le parquet. "Je vous demande de faire un effort, celui de ne pas vous laisser glisser", a demandé Me Orly Rezlan. "La justice n'est pas une arme de la colère", a exhorté Me Marie Violleau, avocate de Mohamed Abrini, "prévu" pour le 13-Novembre mais qui avait renoncé, comme il le fera quelques mois plus tard à Bruxelles. Les peines demandées contre les 20 accusés vont de cinq ans d'emprisonnement à la perpétuité, notamment requise pour les "complices" des attentats, tous membres d'une même cellule jihadiste dont les commandos étaient "interchangeables" d'après les avocats généraux. La perpétuité incompressible a également été demandée contre Oussama Atar, "cadre supérieur de la terreur" du groupe Etat islamique et commanditaire des attaques, présumé mort en Syrie. Trois avocats ont plaidé l'acquittement pour leurs clients "innocents". "Je ne suis pas un terroriste", a répété l'un d'eux dans ses derniers mots à la cour lundi. "J'ai très peur de votre décision", a reconnu un autre entre deux sanglots. mdh-asl-aje/pga