Leasing social : ceux qui ont tenté de frauder risquent une grosse amende
Le leasing social est encore une initiative à peaufiner. En effet, depuis le 1er janvier 2024, ce terme désignait la possibilité pour les ménages les plus modestes de s’offrir une voiture électrique pour seulement 100 euros par mois, en location longue durée ou location avec option d’achat. Mais le gouvernement a laissé passer une faille puisqu’il était visiblement possible de sous-louer ces voitures à d’autres utilisateurs pour une somme plus élevée. Une pratique totalement interdite.
Si vous étiez amené à effectuer ce genre de pratique, le coût de l’amende pourrait bien vous obliger à faire machine arrière. Une amende de 1 500 euros a été instaurée afin de dissuader ce type de comportements. Une vision compréhensible car c’est l’État qui a mis en place ce leasing social. Pour cela, il a fortement mis la main à la poche en déboursant près de 13 000 euros par voiture en 2024. Ainsi, autoriser la sous-location reviendrait à la subventionner.
Mais pas question pour le gouvernement de tirer un trait sur ce leasing social. Il devrait refaire son apparition en 2025, mais sous des modalités différentes qui restent à définir, notamment écologiques. «L'enjeu est de réduire les gaz à effet de serre mais aussi qu'on touche (...) les Français les plus modestes», a confié François Durovray, Ministre délégué chargé des Transports, sur RMC.
Toutefois, sur le principe, le leasing social a déjà conquis un certain nombre de consommateurs. «J’avais besoin d’une voiture pour aller au travail et (...)
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