VOICI : L'acteur Sofiane Bennacer (Les Amandiers) mis en examen pour viols et violences sur plusieurs femmes (1)
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Le commissaire européen à l’Économie, Paolo Gentiloni est optimiste pour la situation économique de l’Europe. Selon, lui dans une interview publiée ce samedi, « l’inflation a atteint son pic à la fin de 2022 ».
Michel Drucker : son projet pour Paris 2024... et sa nouvelle formule de Vivement dimanche
GALA - Michael Schumacher : ce qu'il faut connaître
Des centaines de manifestants en Iran, Irak et au Liban, ont dénoncé la "profanation" du Coran en Suède et aux Pays-Bas la semaine dernière. Ils appellent également au boycott de toutes les importations suèdoises.
La compagnie aérienne britannique Flybe a annoncé samedi avoir cessé son activité et annulé tous ses vols."Il est toujours triste de voir une compagnie aérienne (être placée sous) administration (judiciaire) et nous savons que la décision de Flybe de mettre fin à son activité sera éprouvante pour tous ses employés et clients", a-t-il déclaré.
Selon des informations de «Page Six», Kim Kardashian aurait aidé Paris Hilton dans ses démarches pour devenir maman grâce à une mère porteuse.
Un protocole d'accord est soumis de 14H à 16H au vote des délégués du Congrès socialiste à Marseille, entérinant la victoire d'Olivier Faure comme premier secrétaire du PS, à l'issue de plusieurs jours de contestations internes.Selon la direction, le texte détermine que son rival Nicolas Mayer-Rossignol, sceptique vis-à-vis de l'alliance de gauche Nupes et qui contestait jusqu'à présent sa victoire, deviendra premier secrétaire délégué au côté de la maire de Nantes pro-Faure Johanna Rolland.Hélène Geoffroy, chef de file des anti-Nupes, prendra la présidence du conseil national, le parlement du parti. Des ajustements à la marge étaient encore en discussion à midi, au deuxième jour du Congrès, au Palais du Pharo."Nous sommes prêts à un accord", à l'issue d'un "échange transparent et démocratique", a expliqué Nicolas Mayer-Rossignol à la presse, après l'avoir présenté à ses partisans.Le maire de Rouen, critique sur l'alliance de gauche Nupes dont Olivier Faure est un artisan, a contesté pendant plusieurs jours la victoire du premier secrétaire sortant (avec officiellement 51,09%).M. Mayer-Rossignol dit incarner une ligne centrale, moins pro-Nupes que ne l'est celle d'Olivier Faure. Il ne cache pas ses réticences vis-à-vis de LFI et d'un accord qui a déçu beaucoup de socialistes.Interrogé par l'AFP pour savoir s'il reconnaissait que M. Faure était désormais sans conteste le premier secrétaire, il a défendu, sans précision, qu'il s'agissait d'une "gouvernance globale".Le terme "direction collégiale", qu'il souhaitait, n'a pas été retenu dans le texte, a précisé la direction.Les deux camps ont passé la nuit à négocier.- organigramme -Les discussions concernaient notamment la proposition d'Olivier Faure d'intégrer ses rivaux dans l'équipe de direction, mais en reconnaissance de sa victoire. "Il y a une architecture à construire dans le respect de ce que les militants ont exprimé", expliquait le chef des députés Boris Vallaud, c'est-à-dire un "équilibre des rapports de force" qui se traduit en "secrétaires nationaux thématiques" et dans "l’ordre dans l’organigramme".A l'issue d'un premier vote sur le texte d'orientation, Olivier Faure avait obtenu 49% des voix et le maire de Rouen autour de 30%, devant une troisième candidate, la maire de Vaulx-en-Velin Hélène Geoffroy (autour de 20%). Les négociations se sont notamment débloquées lorsque cette dernière, qui n'avait pas pu se maintenir et avait décidé de soutenir Nicolas Mayer-Rossignol, a indiqué qu'elle ne souhaitait pas intégrer la direction, mais rester dans l'opposition."Ils assument d'être la minorité, mais ne sont plus avec Nicolas Mayer-Rossignol, ce qui change la donne" et le rapport de force, explique une proche d'Olivier Faure."Notre but, c'est de rassembler les gens et de ne pas les écraser", a expliqué cette même source, alors que la guerre intestine que se livrent les deux camps a fracturé le parti et dégradé l'image du PS, déjà fragilisé par l'échec historique de sa candidate à la présidentielle, Anne Hidalgo (1,7%). Mais la proche du patron sortant du PS a souligné que chez les militants d'Olivier Faure, réunis vendredi soir, la tension avait été "forte", car ils étaient "remontés" après les accusations de fraudes dans le vote formulées par Nicolas Mayer-Rossignol.caz-bap/bpa/rhl
Voici - Le comédien et metteur en scène Gérard Caillaud est mort à l’âge de 76 ans
France-Suède : ce qu'il faut savoir sur la demi-finale de handball de l'Euro 2022
Aucune date de sortie n'est connue pour la France, mais c'est ce jeudi 26 janvier 2023 que Paramount+ (USA) a mis en...
Un père de famille a été arrêté au Stanford Hospital, le lundi 2 janvier dernier. Il est accusé d'avoir volontairement causé l'accident de sa voiture alors que sa femme et ses enfants étaient dedans.
La police de Memphis a démantelé samedi l'unité des cinq policiers accusés d'avoir causé la mort d'un Afro-Américain de 29 ans après un long passage à tabac dont la vidéo a suscité une nouvelle fois horreur et incompréhension. Les appels se multipliaient pour mettre fin à l’unité spéciale Scorpion, un groupe créé tout récemment pour lutter contre la criminalité à Memphis. Samedi, la police de Memphis a déclaré dans un communiqué qu' « il est dans l'intérêt de tous de démanteler définitivement l'
Plusieurs architectes se mobilisent au côté d'habitants de la cité populaire du Mirail, à Toulouse, pour éviter la destruction de 1.400 logements des années 1960, plaidant leur réhabilitation et dénonçant un projet désastreux sur le plan écologique et économique.Le "Grand d'Indy", barre massive de onze étages, se détache au dessus des arbres, non loin du lac de la Reynerie. L'immeuble, érigé en Y, abrite 243 logements sociaux et doit être détruit en 2023.Six autres bâtiments du quartier sont condamnés à disparaître pour laisser place à de plus petits, allant du pavillon individuel à l'immeuble collectif, suivant un plan soutenu par l'agence nationale de renouvellement urbain."Alors même qu'on manque de logements à Toulouse, c'est une aberration !", s'emporte Michel Retbi, architecte du collectif opposé au projet.Toulouse, quatrième ville de l'hexagone avec plus de 493.000 habitants, figure en zone immobilière tendue en raison d'une offre insuffisante.La démolition des ensembles bâtis par les architectes Candilis, Josic et Woods, inspirés de Le Corbusier, n'est plus défendable dans le contexte actuel de flambée des prix des matières premières et de crise climatique, selon le collectif."Démolir et reconstruire coûte trois fois plus cher que réhabiliter" et "le bilan carbone d'une démolition est le triple de ce que représente une réhabilitation", assure M. Retbi.La rénovation du quartier, à quinze minutes en métro du centre-ville, pourrait se mener sans démolition, martèlent-ils, plaidant pour un moratoire sur les destructions et un concours d'architecture pour imaginer le Mirail du futur.- Logements spacieux -Baptisés des noms de compositeurs et de peintres (Le Tintoret, Messager, etc.), ces grands ensembles "font partie des rares bâtiments qui n'ont pas bougé après AZF", précise Gilbert Pedra, autre membre du collectif.L'explosion de l'usine d'engrais AZF en 2001 a fait 30 morts et détruit ou endommagé près de 30.000 édifices.Ceux du Mirail ont conservé "une structure saine", assure l'architecte, poursuivant dans un éclat de rire: "les logements de luxe en plein centre-ville de Toulouse sont moins bons que ça, et en espace et en qualité, et c'est un architecte qui vous le dit !"Les appartements, presque tous logements sociaux, vont du T2 au T6 et sont "super", sourit Jacques Rovaris, 79 ans, qui occupe depuis plus de 40 ans un T2 au cinquième étage du Grand d'Indy.Avec 66 m2, un séjour lumineux et un large balcon d'où il voit les Pyrénées par beau temps, le retraité se dit "heureux". Un relogement dans "un appartement bien, mais plus petit" lui a été proposé, mais il "ne demande pas à partir, juste à faire quelques petites améliorations"."On peut imaginer toutes sortes de réhabilitations", assure Michel Retbi. Un argument appuyé par la présidente du conseil national de l'ordre des architectes, Christine Leconte, et les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prix Pritzker 2021.- Mauvaise image - Ces bâtiments sont vus comme "des cages à lapin" et pâtissent d'une "mauvaise image", regrette Claire Martin, membre du collectif, regrettant l'"association faite entre la paupérisation du quartier et le bâti".Leur destruction s'inscrit dans la volonté politique de transformer le Mirail, miné par le trafic de drogue. Les autorités souhaitent créer de la mixité sociale en diminuant la part de logements sociaux au dessous de 50%.Si l'opération est onéreuse - le coût de la seule destruction est estimé à plus de 87 millions d'euros - Gaëtan Cognard, maire du quartier, assume ce choix: "les architectes pensent aux bâtiments, moi aux habitants"."Il s'agit de démolir maintenant pour nos générations futures", argue-t-il, estimant que les émissions de carbone d'une reconstruction aux normes actuelles seront compensées sur le long terme.Quant au manque de logements, "on ne va pas arrêter tous les chantiers de démolition, surtout quand" ils visent à "renouveler et améliorer le cadre de vie des habitants", estime-t-il.Un objectif auquel peine à croire Brigitte Touillet, 69 ans, habitante opposée au projet. Elle cite un autre secteur du Mirail où "ils ont construit des petits cubes partout"."On nous dit que cela a fait plus de mixité sociale, mais rien n'a changé. Quand on sort du métro, on peut toujours acheter toutes les herbes qu'on veut", raconte-t-elle, en allusion au trafic de drogue.cha/fpp/gvy
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Pas question pour Maeva Ghennam de se retenir quand elle a envie de faire pipi. Soucieuse de sa santé et certainement...
Un Palestinien armé a tué par balles sept personnes, vendredi soir, près d'une synagogue à Jérusalem-Est pendant les prières du shabbat après des frappes israéliennes sur la bande de Gaza. Cette attaque, qui survient après un raid israélien mortel jeudi à Jénine, ravive le risque d'une escalade de violence meurtrière entre Israéliens et Palestiniens.
Changer d'aire pour pouvoir respirer: depuis 2013, sur un terrain d'accueil de gens du voyage près de Lille pris en étau entre une centrale à béton et une briqueterie, des femmes mènent le combat pour revendiquer un environnement vivable."Qui habiterait à côté de ces usines? Normalement pas des êtres humains". Dans la cuisine de sa baraque, au côté de ses trois soeurs, Sue Ellen Demestre affiche une indignation intacte après une décennie d'engagement. Sa famille est sédentarisée, de fait, depuis 15 ans sur cette aire, où se serrent selon son décompte quelque 280 personnes. Un rideau d'arbres les séparent de la centrale à béton, un talus d'une concasserie de gravats. A l'origine, des familles avaient établi un campement "sauvage" sur un terrain tout proche pour y passer l'hiver. En 2007, une aire d'accueil est créée, la loi Besson imposant aux communes de plus de 5.000 habitants d'en disposer. D'abord satisfaits, les occupants déchantent quand apparaissent gale du ciment, conjonctivites et problèmes respiratoires, rapporte Sue Ellen. Sans compter le bruit et le ballet des camions. Mais faute d'autre solution et pour scolariser les enfants, ils prennent racine. Jusqu'à ce qu'en 2013, les Briqueteries du Nord s'installent. C'est la nuisance de trop, des femmes, dont la mère de Sue Ellen, créent un collectif, Da so vas, "Tendre la main" en dialecte tzigane. Pétitions, manifestations, réalisation d'un film s'enchaînent.- "On paie pour mourir" -"On a perdu notre belle-sœur de 42 ans d'un cancer généralisé. Son frère a aussi eu un cancer. Sur dix naissances, sept enfants finissent asthmatiques. Les personnes âgées ont des bronchites à répétition", liste Sue Ellen, qui pointe un "racisme environnemental". "Ici, on paie pour mourir", lâche sa sœur Lisa, car les occupants payent un loyer. "En juillet-août, c'est invivable: vous posez un téléphone, en deux minutes il est couvert de poussière". Sa nièce de 20 ans, mère de deux filles de 9 mois et 6 ans, sort le moins possible sa cadette, qui souffre de problèmes respiratoires et d'irritations des yeux. Aucun lien officiel n'a été établi entre l'état de santé des résidents et la pollution du site. En novembre 2020, la préfecture a demandé à la société bétonnière CCB d'évaluer à ses frais ses émissions. Les mesures seront réalisées "au deuxième trimestre 2023", assure CCB. Jusque là, aucun bureau d'études n'a accepté d'intervenir en raison du "risque de dégradation" du matériel par les résidents, plaide la société. "On peut faire toutes les mesures qu'on veut, de toute façon il y a de la poussière et elles ne veulent plus vivre là", balaie l'élu référent de la métropole lilloise pour les gens du voyage, Patrick Delebarre. La relocalisation de cette aire est désormais actée dans le Schéma Départemental d'Accueil des Gens du Voyage. Mais trouver d'autres terrains est complexe, souligne-t-il. - Une mobilisation "unique" -"La loi demande aujourd'hui qu'on mette ces gens dans des lieux salubres", alors qu'à l'époque, "la façon de voir consistait à dire +la loi oblige à les mettre dans un coin, mettons-les dans un coin+". Le Schéma départemental prévoit des terrains familiaux ou de l'habitat adapté, mêlant maisons et emplacements pour caravanes, car les aires "ne correspondent plus aux attentes des gens du voyage du Nord", largement sédentarisés, explique-t-il. Les communes de Ronchin et Hellemmes cherchent des terrains mais "on n'a plus beaucoup de parcelles publiques constructibles" et la place manque, affirme la mairie de Ronchin. Pour William Acker, juriste issu de la communauté des gens du voyage, le combat des femmes de cette aire, "parmi les pires" de France, est unique "même à l'échelle européenne". "Habituellement, les luttes sont éparses et s'épuisent très vite, le public des aires d'accueil ne peut pas se permettre de s'opposer frontalement à l'administration". "Qu'on le veuille ou pas, ils ont réussi à nous sédentariser", résume Sue Ellen. "Mais je veux qu'on le soit à notre façon. On veut aussi que plus tard nos enfants ait un boulot qui leur donne envie de se lever le matin".bj/cab/cbn
En Tunisie, le taux d’abstention record au premier tour des élections, près de 89%, témoigne du désintérêt croissant des Tunisiens pour la politique. Beaucoup dénoncent le manque de changement douze ans après la révolution et se disent plus préoccupés par les questions économiques, face à la récession que traverse le pays.Lire la suite sur FRANCE 24
GALA VIDEO - Amalia et Maxima des Pays-Bas au naturel : leur virée shopping à Madrid repérée
La Bélarusse Aryna Sabalenka, 5e mondiale, a remporté samedi l'Open d'Australie, son premier titre du Grand Chelem, en battant en finale à Melbourne la Kazakhe et 25e mondiale Elena Rybakina 4-6, 6-3, 6-4.