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L’année 2016 de Donald Trump, entre polémiques et victoire
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Le lundi 4 janvier, Donald Trump dévoile son premier clip de campagne, destiné à passer sur les chaines de télévision. Cette vidéo de 30 secondes fait polémique, à cause de choix d’illustrations douteux, notamment avec cette image du couple auteur de l’attentat islamiste de San Bernardino (Californie) le 2 décembre 2015 (14 morts). Trois promesses fortes du candidat sont aussi énoncées par la voix-off : “interdire temporairement l'entrée des musulmans aux États-Unis”, “couper rapidement la tête de l'État islamique et prendre leur pétrole” et “arrêter l'immigration clandestine en construisant un mur le long de la frontière sud, qui sera payé par le Mexique”.
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Sûr de sa force et de la fidélité de ses électeurs, le candidat à l’investiture républicaine ose une provocation de très mauvais goût lors d'un meeting dans l'Iowa, le 23 janvier. “Je pourrais me poser au milieu de la Cinquième Avenue et tirer sur quelqu'un, je ne perdrais pas d'électeurs”, affirme Donald Trump.
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“Je peux vous dire que si j’avais été au Bataclan ou dans un des cafés, j’aurais tiré. Je serais mort peut-être, mais j’aurais dégainé.” Interviewé par le magazine français Valeurs Actuelles, Donald Trump ne manque pas d’insister sur l’importance du port d’armes, en faisant un parallèle avec les attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Par ailleurs, il estime aussi que “la France n’est plus ce qu’elle était, et Paris non plus“, dans ce numéro paru le 11 février.
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Peu de temps après les attentats de Bruxelles du 22 mars, Donald Trump réagit par le biais d’un tweet : “Souvenez-vous tous combien Bruxelles était en endroit magnifique et sûr. Ce n'est plus le cas, c’est un autre monde”, tout en affirmant plus tard que la ville était devenue “un trou à rats”. Le lendemain, il déclare sur CNN que torturer Salah Abdeslam aurait pu permettre d’éviter l’attaque, en avançant la technique qui, selon lui, aurait pu être privilégiée, : “la simulation de noyade, une forme minimale de torture”. (Photo : AFP)
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Opposé à l’avortement comme la quasi-totalité des républicains, Donald Trump est allé encore plus loin lors d’une interview diffusée sur MSNBC le 30 mars. Interrogé sur le sujet, le milliardaire explique qu’il “doit y avoir une forme de punition pour les femmes qui se font avorter”. “Reste à déterminer quelle sanction”, ajoute-t-il. Sur Twitter, Hillary Clinton dénonce ses propos, qu’elle juge “terrifiants et révélateurs”. (Photo : AFP)
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Que fera Donald Trump s’il est élu président des États-Unis ? Le Boston Globe a essayé de l’imaginer le 9 avril dernier, en publiant une fausse Une datée du 9 avril… 2017, et le résultat est tout simplement terrifiant. Morceaux choisis : “Les expulsions vont commencer”, “les émeutes continuent”, ou encore “des soldats américains refusent l'ordre d'exécuter des familles de membres de l'EI”. Censée prévenir les Américains du danger que représenterait une victoire de l’homme d’affaires à la présidentielle, cette Une choc s’accompagne d’un éditorial du journal, qui affirme s’opposer à sa candidature.
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Une manifestation éclate en marge d’un meeting de Donald Trump en Californie, le 29 avril. Plus d’un millier de manifestants expriment leur mécontentement, et de nombreux drapeaux mexicains flottent dans les airs. Au cours de sa campagne, le républicain a multiplié les provocations envers les Mexicains, qualifiant les habitants de ce pays de violeurs et de criminels. De nombreux rassemblements similaires auront lieu tout au long de son chemin présidentiel. (Photo : AFP)
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Le mardi 3 mai marque un tournant dans sa campagne avec une victoire importante dans l’Indiana. Son principal concurrent, Ted Cruz, décide de suspendre sa campagne après cette défaite. Une journée plus tard, c’est au tour de John Kasich de jeter l’éponge. Donald Trump est désormais le seul candidat à l’investiture républicaine. (Photo : AFP)
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Seul en lice au sein de son parti, l’homme d’affaires essaye donc de grappiller des voix où il le peut en vue de la présidentielle. Dans cette optique, il publie le 5 mai (journée de commémoration au Mexique, et également aux États-Unis) une photo de lui sur Twitter en train de déguster un taco, avec une légende improbable : “Joyeux 5 mai ! Les meilleurs tacos bowl sont faits au grill de la Trump Tower. J’adore les Hispaniques !”. Ce tweet lui a valu de nombreuses réactions négatives.
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Le lendemain, le président Barack Obama, se rendant sans doute compte du danger potentiel, attaque Donald Trump lors d’une conférence de presse en affirmant, sur un ton moqueur qu’être président des États-Unis, “ce n'est pas du divertissement, ce n'est pas une émission de téléréalité”. Pour rappel, le milliardaire est aussi largement connu pour son passé de juré dans l’émission “The Apprentice”. (Photo : AFP)
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Dans une interview diffusée le 8 mai par ABC, il utilise un nouvel angle d’attaque envers Hillary Clinton. Donald Trump accuse en effet la démocrate d’avoir été “complice” des infidélités de son mari, Bill. ”Elle est mariée à un homme qui a été le pire agresseur de femmes dans l'histoire de la politique, et elle a traité ces femmes de façon effroyable“, explique-t-il. (Photo : AFP)
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Lors d’un meeting à Bismarck le 26 mai, Donald Trump dévoile les grandes lignes de son programme écologique, et en profite pour faire une promesse qui est loin de plaire à tout le monde : “Je vais annuler l’accord de Paris sur le climat”. Ces règles adoptées lors de la COP21 en 2015 vont selon lui “tuer l’emploi et le commerce”. (Photo : AFP)
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Le milliardaire est au centre d’une nouvelle polémique suite à un discours en Californie le 3 juin. Surpris par la présence d’un partisan noir parmi la foule, il se fend d’un “regardez mon Afro-américain par ici, regardez-le”, tout en le pointant du doigt. L’expression du possessif dans un pays fortement marqué par le racisme anti-noir n’a pas manqué de faire réagir.
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Quelques heures après la fusillade d’Orlando dans une boîte de nuit, qui a causé la mort de 49 personnes le 12 juin, Donald Trump appelle Barack Obama à démissionner, pour ne pas avoir osé prononcer les mots “islam radical” dans son discours. Lors d’un rassemblement trois jours plus tard, le républicain propose de “surveiller respectueusement les mosquées”, tout en réaffirmant vouloir interdire provisoirement aux musulmans d’émigrer aux États-Unis. (Photo : AFP)
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À peine quelques jours plus tard, le 19 juin, le républicain, de nouveau sur le thème de la sécurité nationale, avance une nouvelle proposition choc : le profilage des musulmans. “Ce ne serait pas la pire des choses à faire”, affirme-t-il, en utilisant pour exemple d’autres pays qui y ont recours, “comme Israël”. (Photo : AFP)
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Le 21 juin, un Britannique de 19 ans, Michael Sandford, est inculpé pour avoir tenté d’assassiner Donald Trump lors d’un meeting à Las Vegas 3 jours plus tôt. Le jeune homme a tenté, sans succès, de s’emparer de l’arme d’un policier afin de tirer sur le républicain.
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Donald Trump confirme officiellement sur Twitter le 15 juillet son colistier pour l’élection présidentielle : il s’agit du conservateur Mike Pence, gouverneur de l’Indiana. Ce dernier avait promulgué une loi très restrictive sur l’avortement, qui avait finalement été bloquée par la justice fédérale. (Photo : AFP)
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Le 18 juillet, Melania Trump est invitée à s’exprimer lors du premier jour de convention républicaine. Mais lors de son discours, certains téléspectateurs se rendent compte que ses paroles sont presque mot pour mot celles énoncées par… Michelle Obama, lors de l’investiture de Barack Obama en 2008. L’auteure de son discours, Meredith McIver, s’est finalement excusée pour avoir repris les propos de la First Lady. (Photo : AFP)
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Un jour plus tard, Donald Trump est officiellement désigné à Cleveland comme candidat républicain à la Maison Blanche par son parti, après avoir obtenu le soutien de la majorité des délégués (depuis le 26 mai). (Photo : AFP)
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Le 28 juillet, Melania Trump refait parler d’elle pour de mauvaises raisons. La femme du candidat républicain est en effet accusée d’avoir enjolivé son parcours universitaire. Elle n’aurait jamais obtenu le diplôme de design et d’architecture à l’université de Slovénie, comme mentionné sur son site. En conséquence, ce dernier a été supprimé. La réalité ? Selon le New York Times, elle aurait rapidement abandonné ses études pour se concentrer sur le mannequinat. (Photo : AFP)
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Cinq jours après s’en être pris aux parents musulmans d’un soldat américain tué en Irak, Donald Trump évoque une nouvelle fois son thème de prédilection lors d’un meeting dans le Maine le 4 août : l’insécurité face à l’immigration. “Nous avons affaire à des animaux”, lâche l’homme d’affaires en plein discours, en prenant notamment l’exemple d’un étudiant marocain arrêté sur le sol américain pour un projet d’attentat, et parle même “d’invasion”. (Photo : AFP)
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Son dérapage du 9 août peut, à juste titre, être considéré comme l’un des plus violents de sa campagne. En meeting en Caroline du Nord, Donald Trump a lancé une menace à peine voilée en direction de Clinton, sous-entendant qu’il faudrait utiliser la violence pour l’arrêter. Le candidat républicain commence tout d’abord par donner son avis sur l’affaire judiciaire qui touche sa concurrente (mails privés) : “Si elle a la possibilité de choisir ses juges, il n'y a rien que vous puissiez faire, les gars”. Mais il ne s’arrête pas, loin de là, et s’adresse à ses partisans : ”Quoique, avec le second amendement… peut-être qu'il y a une solution, je ne sais pas“. Pour rappel, le second amendement de la Constitution garantit le droit de posséder des armes… (Photo : AFP)
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En plein mois d’août, le clan Trump semble avoir trouvé un nouvel angle d’attaque, très limite, à l’encontre de Hillary Clinton : sa santé. Le candidat républicain avance, au cours de plusieurs meetings, que sa concurrente “n’a pas l’endurance physique et mentale” nécessaire pour être présidente tandis que Rudy Giulani, soutien de Donald Trump, déclare qu’elle a l’air “malade”. Ce choix a sans doute porté ses fruits lorsque quelques semaines plus tard, la candidate démocrate est victime d’un malaise lors de la cérémonie en hommage aux victimes du 11-Septembre. (Photo : AFP)
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Dans sa stratégie de dramatisation, le milliardaire s’en prend une nouvelle fois à la France lors d’un meeting en Caroline du Nord le 6 septembre. Peu après les attaques de Nice et de Saint-Étienne-du-Rouvray, Donald Trump rapporte un échange passé avec des proches. ”J'ai des amis qui vont en France chaque année. Ils adorent ce pays. Je leur ai demandé : et cette année, comment ça s'est passé ? Ils m'ont répondu : on ne va plus en France. La France n'est plus la France“. (Photo : AFP)
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Scène surréaliste le 16 septembre lors d’une conférence de presse dans laquelle, après plusieurs mois de polémique, Donald Trump reconnaît enfin que Barack Obama… est Américain. “Le président Obama est né aux États-Unis, point final”, déclare-t-il. Mais il ne s’arrête pas là, et reproche à Hillary Clinton d’avoir entretenu cette rumeur. Cette accusation est plutôt osée lorsque l’on sait que c’est le candidat républicain en personne qui avait alimenté cette théorie, au point de contraindre le résident de la Maison Blanche à publier son acte de naissance. (Photo : AFP)
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Malgré une poignée de main très cordiale, le premier débat présidentiel entre Donald Trump et Hillary Clinton, le 26 septembre dernier à New York, a été plutôt tendu. La candidate démocrate n’a pas manqué de rappeler à cette occasion que son rival avait fait une sortie délicate sur les femmes dans le passé, les traitant de “cochonnes, de souillons et de chiennes”. L’homme d’affaires, tentant de garder une certaine maîtrise de soi, a malgré tout réussi à faire rire l’audience malgré lui, affirmant qu’il avait “un bien meilleur tempérament que sa concurrente”. Cette dernière en a également profité pour l’attaquer sur un sujet sensible : sa déclaration de revenus, qu’il ne souhaite toujours pas publier. (Photo : AFP)
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Donald Trump est loin d’en avoir fini avec Hillary Clinton. Lors d’un meeting en Pennsylvanie le 1er octobre, le républicain se moque allègrement de sa rivale. “Voilà une femme qui est censée affronter tous ces défis”, lance-t-il, avant de mimer une grand-mère, en référence à l’épisode du malaise de sa concurrente lors des commémorations du 11-Septembre. Il l’attaque même une nouvelle fois sur sa vie privée, émettant des doutes sur sa fidélité envers son mari Bill Clinton. Ces attaques tombent juste après des révélations, selon lesquelles l’hommes d’affaires n’aurait pas payé d’impôts durant de nombreuses années. (Photo : AFP)
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Dans une vidéo révélée par le Washington Post et NBC le 7 octobre, Donald Trump choque l’Amérique. Datant de 2005, l’enregistrement (censé rester en off) montre le milliardaire se vanter de son succès auprès de la gent féminine, tout en dévoilant ses méthodes d’approche : “Je suis automatiquement attiré par les belles, je les embrasse, je n’attends même pas”. Mais ce n’est pas le passage le plus troublant. “Quand tu es une star, elles te laissent faire ce que tu veux, tu peux les attraper par la cha***, tu peux en faire ce que tu veux”, affirme-t-il. Ces propos obscènes provoquent un énorme tollé outre-Atlantique, et cela, deux jours avant le deuxième débat.
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Le deuxième face à face entre Donald Trump et Hillary Clinton du 9 octobre dernier vire à un véritable affrontement. Le candidat républicain se défend sur l’affaire de la vidéo, pour laquelle il s’est excusé la veille, et affirme que Bill Clinton avait fait “bien pire”. Mais loin de se laisser faire, il en profite pour menacer sa concurrente, touchée par l’affaire des mails privés, de l’envoyer en prison s’il est élu président, et il en fait même une promesse. (Photo : AFP)
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Donald Trump fait face à un nouveau scandale retentissant le 12 octobre. Dans le New York Times, deux femmes racontent avoir été victimes d’attouchements sexuels de la part du milliardaire. “Ses mains étaient partout”, glisse l’une d’entre elles. Au total, ce sont une dizaine de femmes qui l’accusent d’avoir eu des gestes déplacés à leur égard. Ces accusations “sont complètements fausses” selon l’homme d’affaires, qui accuse les médias d’être à l’origine de ces “mensonges éhontés”. (Photo : AFP)
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Alors en mauvaise posture dans les sondages, Donald Trump dénonce trois jours plus tard une “élection truquée par des médias corrompus”. Il attaque également Hillary Clinton, en l’accusant cette fois-ci… de dopage. Cette dernière, “gonflée à bloc” lors du deuxième débat, pouvait “à peine rejoindre sa voiture” à la fin selon ses dires. Pour remédier à ça, il suggère que les candidats passent un test anti-dopage, “comme pour les athlètes”. Décidément, cette campagne aura eu son lot d’attaques inédites… (Photo : AFP)
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Un véritable coup de tonnerre a lieu lors du dernier débat présidentiel, le 19 octobre dernier. Donald Trump refuse de s’engager à accepter les résultats de l’élection présidentielle. Il affirmera plus tard qu’il les acceptera sans problème si la victoire est au bout. Sa concurrente se dit “horrifiée” par ses propos, et affirme deux jours plus tard qu’il est “une menace pour la démocratie”. (Photo : AFP)
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Lors d’une conférence de presse le 22 octobre, Jessica Drake accuse Donald Trump de proposition de sexe tarifé. L’actrice de films pornographique raconte alors cette soirée passée dans un hôtel californien en 2006. ”Qu'est-ce que tu veux ? Combien ?“, lui aurait demandé le milliardaire. Elle se serait également vu proposer la somme de 10 000 dollars, qu’elle a refusée. L’équipe de campagne du candidat républicain a rejeté ces accusations, qualifiées de “ridicules”. (Photo : AFP)
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Contre toute attente, et après une campagne sulfureuse marquée par de nombreuses polémiques, Donald Trump est élu 45e président des États-Unis dans la nuit du 8 au 9 novembre. Au cours de cette grande soirée électorale, le républicain a remporté, à la surprise générale, la majorité des états-clés pour sceller sa victoire. Pour son premier discours, il souhaite se montrer rassembleur, affirmant vouloir être “le président de tous les Américains”. (Photo : AFP)
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Au lendemain de sa retentissante victoire, Donald Trump rencontre le président Barack Obama dans sa future résidence, la Maison Blanche. Objectif : une coopération totale entre les équipes des deux hommes pour que la transition se passe en douceur, afin que le républicain soit parfaitement armé pour diriger le pays dès le 20 janvier 2017, date à laquelle il sera officiellement investi. (Photo : AFP)
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Le 13 novembre, pour sa première interview en tant que président élu des Etats-Unis, Donald Trump affirme devant les caméras de CBS vouloir expulser trois millions d’immigrés clandestins. “Nous allons les renvoyer du pays ou nous allons les mettre en prison. Mais nous allons les renvoyer de notre pays, ils sont ici illégalement”, déclare-t-il. Au cours de ce même entretien, il promet également de renoncer à son salaire présidentiel (environ 400 000 dollars annuels), pour ne percevoir que le dollar symbolique, obligatoire aux yeux de la loi.
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Poursuivi pour fraude dans l’affaire de sa défunte “Trump University”, fermée depuis 2010, Donald Trump s’est engagé, mi-novembre, à verser la somme de 25 millions de dollars aux étudiants floués. ”L'accord sur un compromis à 25 millions de dollars scelle un revirement spectaculaire de Donald Trump et une victoire pour les plus de 6.000 victimes de son université frauduleuse“, a déclaré le procureur de New York. (Photo : AFP)
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Donald Trump fera-t-il tout ce qui est en son pouvoir pour mettre Hillary Clinton derrière les barreaux, promesse répétée à maintes reprises au cours de sa campagne ? La réponse est non. Le mardi 22 novembre, Kellyanne Conway, proche conseillère du président élu, affirme que l’intéressé souhaite renoncer à mener l’enquête sur l’affaire des mails privés. (Photo : AFP)
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Simple candidat à l’investiture républicaine au départ, Donald Trump a réussi une mission jugée impossible par les pronostiqueurs : devenir président des États-Unis. Pourtant, sa campagne aura été marquée par de nombreuses polémiques, accusations et autres coups bas. Mais finalement, le républicain restera sans conteste comme l’un des personnages les plus marquants de l’année 2016.