Publicité

Koh-Lanta (TF1) Ava : "Je peux vous affirmer que je participe à la mise en place des stratégies"

A 26 ans, vous êtes propriétaire d’un restaurant de street food de poisson. Pourquoi l’avoir quitté pour l’enfer de Koh-Lanta ?

Ava : J’ai toujours ressenti le besoin de m’investir dans des projets. J’ai été capitaine d’une équipe de rugby, j’ai participé au rallye 4L Trophy, puis j’ai monté mon restaurant à Paris. Koh-Lanta, c’est un autre défi. Je suis fan de l’émission et en admiration devant le courage des aventuriers. Alors, pourquoi pas me lancer à mon tour ?

Dans votre portrait, vous vous présentez comme une fille manuelle et débrouillarde. Comment avez-vous vécu ces conditions extrêmes ?

Je n’ai pas tellement souffert du manque de nourriture. Je m’y étais préparée. Ma pire ennemie, c’était la pluie. Nous avons eu froid dans nos vêtements mouillés ! Je ne m’attendais pas à rencontrer de telles conditions climatiques aux Fidji. En termes de confort, enfin, plutôt d’absence de confort, je me suis régalée à trouver des trucs pour améliorer la vie dans le camp.

Outre la condition physique, il faut faire preuve d’un mental de champion et avoir une bonne dose de malice pour avancer dans le jeu. Des qualités que vous possédez ?

Pour moi, Koh-Lanta, ce n’est que du mental ! Et je ne pensais pas avoir cette force-là…

À lire également

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi