Koh-Lanta – Michel évoque sa plus grosse frustration de l'aventure : "On se sent inutile"
Vous avez affirmé ne pas être un fidèle de l'émission, qu’est-ce qui vous a poussé à y participer ?
Michel : La seule saison que j’ai un peu suivi c’était Koh-Lanta : Johor avec Marc (le gagnant de l’édition ndlr.), donc je savais tout de même où je mettais les pieds. J’ai postulé sous l’impulsion de deux potes qui m’ont mis au défi de tenter l’aventure, pour prouver que j’étais capable de le faire. Mais je pense que je ne me suis pas assez préparé mentalement à cette aventure.
En revanche vous avez appris à nager juste avant votre départ aux Philippines…
Tout à fait ! Il y a un an et demi, je ne savais toujours pas nager. J’estime être toujours aussi nul en natation. Pour moi, ça reste un exploit d’avoir réussi à parcourir 50 mètres à la nage dans le premier épisode, sans couler avec mon sac à dos (rires) ! Mais cela ne m’a pas porté plus préjudice que ça. Globalement je n’étais pas le meilleur aventurier mais je n’étais pas mauvais non plus.
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Quels atouts envisagiez-vous de mettre en avant pour avancer dans cette compétition ?
Mon esprit d’analyse, je cerne assez vite les gens… Et ma franchise aussi, car toujours joué le jeu de la sincérité. Les gens perçoivent Koh-Lanta comme si c’était les Jeux Olympiques, mais selon moi, le plus important c’est de réussir à créer les bonnes alliances au bon moment. On le voit bien, chaque année ce ne sont pas les candidats les plus sportifs qui gagnent.
Vous n’êtes pas loin du record de boules noires de Cassandre qui en a tiré 7 depuis le début de l’aventure…
C’est ma plus grosse frustration. Koh-Lanta est rythmé par les épreuves et quand on est mis à l’écart c’est très difficile, on se sent inutile. Il y a plusieurs épreuves dont j’ai été privé, et où j’aurais pu faire la différence. Je pense à celle du radeau, car je suis léger ou celle de la poutre parce que je suis agile.
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