Kering : Balenciaga dans la tourmente après une campagne mettant en scène des enfants et Kim Kardashian

Tollé depuis plusieurs jours autour de la maison de luxe française Balenciaga. La polémique fait suite à une campagne publicitaire mêlant des enfants et des accessoires connotés sexuellement. La polémique, qui s'est répandue sur les réseaux sociaux depuis une semaine, n'est pas nouvelle dans le milieu de la mode, où les marques franchissent parfois les limites de l'esthétique et jouent avec les interdits pour se distinguer. Cette fois, c'est la dernière campagne publicitaire accompagnant une "Gift collection", qui est en cause: sur certaines photos, une enfant, debout sur un canapé, ou sur un lit, tient comme un doudou un sac en forme d'ourson en peluche, sanglé de ceintures noires. "Des tenues que certains ont qualifiées d'inspirées du BDSM", ou bondage, une pratique sexuelle sadomasochiste, a concédé lundi Balenciaga, l'une des marques du groupe Kering, en faisant amende honorable.

Les accessoires "n'auraient pas dû être présentés avec des enfants. C'était un mauvais choix de la part de Balenciaga", qui en prend "seule la responsabilité", a-t-elle ajouté lundi, plusieurs jours après avoir retiré les photos et s'être excusée une première fois. Mais des internautes ont aussi relevé que sur une autre photo, un sac issu d'une collaboration avec Adidas, figurant cette fois dans la collection "printemps-été 2023", est posé dans un décor de bureau, sur des documents où sont imprimés des extraits d'une décision de la Cour suprême américaine sur la pornographie infantile. Sur les réseaux (...)

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