A l'aube de l'investiture de Joe Biden, les derniers détails croustillants sur la vie privée du couple Trump sont racontés dans la presse américaine. L'occasion d'apprendre que les Biden dormiront dans la même chambre, à l'instar de Donald et Melania qui faisaient chambre à part.
Jean-Pierre Bacri, immense comédien et scénariste, est mort hier à l'âge de 69 ans. Dans un texte publié par Le Parisien, son ancien chauffeur Valentin Morel raconte quelques souvenirs cocasses de leur relation.
En 2015, Hélène Ségara participait pour la dernière fois aux concerts des Enfoirés. Elle a révélé ce qui l’avait poussée à quitter la troupe.
Comme des dizaines de milliers de Russes, le président russe s'est plongé brièvement dans l'eau glacée pour célébrer l'Épiphanie et le Baptême du Christ.
Dans un entretien accordé au youtubeur Sam Zirah, Tristan a dévoilé les raisons pour lesquelles son ex-compagne Inès avait refusé de participer à la troisième saison de l’émission de télé-réalité La Bataille des Couples.
Lundi 18 janvier 2021, Jack Lang a confié être horrifié par les accusations d’inceste visant Olivier Duhamel dans une interview sur Europe 1. Pourtant, en 1977, l’ancien ministre reconnait avoir signé une lettre ouverte demandant la libération de personnes accusées de pédophilie.
Selon les informations publiées par l'AFP ce lundi 18 janvier, Jean-Marie Le Pen aurait religieusement épouse sa femme Jany, 20 ans après leur mariage civil.
TROUVAILLE - L’homme résidant à Fréjus a fait plus de 1.000 km en voiture pour restituer les précieux documents et objets à la famille originaire de l’Orne
Alors que la vaccination anti-Covid-19 accélère en Europe, les autorités norvégiennes ont rapporté 23 décès suite à une injection chez des personnes âgées et fragiles.
Le président américain sortant a annoncé, lundi soir, que les voyageurs venant d'Europe et du Brésil seraient à nouveau admis aux États-Unis à partir du 26 janvier. Mais quelques minutes après, l'équipe de Joe Biden, qui sera investi président le 20 janvier, a indiqué que les frontières américaines resteraient fermées. Le président américain Donald Trump a annoncé, lundi 18 janvier, la prochaine réouverture des frontières américaines aux ressortissants européens de l’espace Schengen, aux Britanniques, Irlandais ainsi qu’aux Brésiliens à compter du 26 janvier. Cette décision est liée à l’instauration, à la même date, d’une obligation de présenter un test négatif de dépistage du coronavirus à l’entrée sur le territoire américain, a indiqué le chef de l’État dans un communiqué.Quelques minutes plus tard, l'équipe de Joe Biden, qui prendra ses fonctions comme président des États-Unis le 20 janvier, a fait savoir que les frontières américaines resteraient bien fermées aux Européens et aux Brésiliens. "Ce n’est pas le moment de lever les restrictions sur les déplacements internationaux", a déclaré, sur son compte Twitter, Jen Psaki, qui doit officiellement prendre mercredi ses fonctions de porte-parole du nouveau président."Sur les conseils de notre équipe médicale, le (futur) gouvernement n'entend pas lever ces restrictions le 26 janvier", a écrit Jen Psaki sur Twitter. "D'ailleurs", a-t-elle ajouté, "nous prévoyons de renforcer les mesures de santé publique appliquées aux voyages internationaux pour lutter encore davantage contre la diffusion du Covid-19."Transition chaotiquePour ralentir la progression de la pandémie, Donald Trump avait fermé les frontières des États-Unis aux 26 pays de l'espace Schengen le 11 mars 2020, puis au Royaume-Uni et à l'Irlande le 14, avant d'en faire autant pour le Brésil le 24 mai.C'est un nouvel épisode d'une transition sans précédent dans l'histoire moderne des États-Unis, le président sortant Donald Trump entendant limiter au minimum les contacts avec l'équipe de Joe Biden. Donald Trump prévoit d'ailleurs de quitter Washington avant même la cérémonie d'inauguration de son successeur, mercredi.Les États-Unis font actuellement face à la pire phase de la pandémie que le pays ait connue à ce jour, avec plus de 20 000 décès sur les six derniers jours.Avec AFP
Remerciés lors du premier confinement par le gouvernement et les Français, ces salariés exposés au risque de contamination n'ont pas reçu la prime qui leur avait été promise. Ils estiment également ne pas être suffisamment protégés.
Le Qatar a appelé les pays arabes du Golfe à tenir des discussions avec l'Iran, a déclaré le ministre des Affaires étrangères dans une interview diffusée mardi 19 janvier, deux semaines après la réconciliation entre Doha et ses voisins. Cheikh Mohammed Abderrahmane Al-Thani a émis l'espoir de voir un tel « dialogue se produire », dans une interview diffusée mardi par la télévision Bloomberg. « C'est aussi un désir d'autres pays du Conseil de coopération du Golfe », a-t-il ajouté en référence au CCG qui regroupe, outre son pays, l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, Oman et le Koweït.Le Qatar, boycotté depuis juin 2017 par quatre pays arabes, dont trois de ses voisins du Golfe en raison notamment de ses liens jugés trop proches de l'Iran, s'est réconcilié avec eux lors d'un sommet du CCG le 5 janvier en Arabie saoudite. Le Qatar et l'Iran se partagent l'un des plus grands gisements offshore de gaz au monde, et Doha entretient des relations cordiales avec Téhéran.Doha, proche allié de WashingtonDoha est un proche allié de Washington et sa prise de position en faveur d'un dialogue régional intervient au moment où le président américain, Donald Trump, artisan de la politique de « pression maximale » sur l'Iran, s'apprête à quitter la Maison Blanche. Ryad, grand rival régional de Téhéran, qui a souvent accusé son voisin d'ingérence, semble peu enclin à engager un dialogue avec l'Iran.Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane (MBS), a vu dans le rapprochement entre monarchies du Golfe un atout pour faire face aux « menaces posées par le programme nucléaire et de missiles balistiques du régime iranien ». « Le Qatar facilitera les discussions si les parties prenantes le demandent, et soutiendra qui que ce soit pour le faire », a souligné cheikh Mohammed à la télévision Bloomberg.(avec AFP)
Camille Lou, la star de la future série de TF1 Je te promets, profite de vacances bien méritées et ensoleillées avec son nouveau chéri, Romain Laulhe.
HANOI (Reuters) - Les dirigeants vietnamiens ont intensifié leur répression de l'opposition, selon des groupes de défense des droits civiques, des activistes et des données collectées par Reuters, alors que le Parti communiste au pouvoir se prépare à tenir cette semaine son plus important rassemblement depuis plusieurs années.En amont du congrès du Parti communiste, rassemblement organisé tous les cinq ans pour déterminer les grandes lignes politiques nationales, les autorités ont emprisonné ces dernières années un nombre record d'activistes politiques, infligé de longues peines de prison et accru les campagnes de harcèlement en ligne contre les activistes.
Le sympathique Robert, éleveur de vaches allaitantes qui avait participé à la saison 14 de L'amour est dans le pré, n'est plus un coeur à prendre.
Alors que la pandémie continue de faire rage au Royaume-Uni, Elizabeth II ne pourra certainement pas rencontrer tout de suite son neuvième arrière-petit-enfant. Selon le magazine HELLO !, le bébé de la princesse Eugenie doit en effet naître à la mi-février.
Carnet rose ! Alors que la rumeur courait depuis le mois de juillet dernier, Justin Timberlake vient de confirmer que lui Jessica Biel sont bien devenus parents pour la deuxième fois. Le chanteur s'est confié sur sa nouvelle paternité et a dévoilé le prénom de leur bébé via un live avec Ellen de Generes.
Ce devait être le baroud d’honneur du Sénat à Madagascar, hier, lundi 18 janvier. Il n’en a rien été. À la veille de la fin de leur mandat, les sénateurs ont présenté quatre rapports d’enquêtes parlementaires. Des enquêtes, lancées fin novembre, portant sur des thématiques très diverses : l’importation illégale d’armes de guerre sur l’île, les anomalies dans les listes électorales, la grande évasion de la prison de Farafangana en août dernier, mais aussi la gestion des fonds Covid-19. De notre correspondante à Antananarivo, Sarah TétaudSi des révélations étaient attendues, les rapports se sont contentés de souligner un manque de transparence de l’administration malgache dans ces affaires, déjà maintes fois pointées du doigt par la société civile et les médias sans apporter de nouveaux éléments. ►À lire aussi: Madagascar: un rapport épingle de nombreux problèmes dans la gestion des fonds Covid-19Ils voulaient apporter plus de transparence et d’éclaircissements sur certains dossiers chauds de ces deux années passées sous le régime d’un président de la république issu d’une autre couleur politique que la leur, montrer qu’ils remplissaient leur rôle de contrôle de l’action du gouvernement et terminer, disaient-ils, « leur mandat en beauté ».Des enquêtes limitéesLes sénateurs n’ont pas franchement réussi leur coup. Leurs rapports d’enquête se limitent à souligner des anomalies, incohérences, et opacités qui ont déjà été mis en exergue par le passé, par d’autres entités que la leur.Jean-Rémy Rafidiarison, président de la commission d’enquête sur la gestion des fonds Covid, se défend : « Nous, on a voulu faire l’enquête Madame ! Mais ce n’est pas de notre faute, puisque les personnalités, les ministres, les directeurs généraux concernés n’ont pas répondu à nos convocations pour être auditionnés. (NDLR : Les ministres des Finances, de l’Intérieur, de l’Eau, de la Population, de la Communication, ainsi que le Maire et le Préfet de la capitale ainsi que le coordonnateur général du Centre Opérationnel de Commandement Covid-19 ne se sont pas présentés à leur convocation, affirme le Sénat. Seul l’ex-ministre de la Santé, Ahmad Ahmad est venu répondre aux questions des sénateurs). Le ministère chargé de l’Economie et des Finances en personne a dit “cela ne le concerne pas.” Pourquoi ils ne sont pas venus ? Hein ? D’après vous ? C’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas là, quelque chose à cacher. Il reste donc à la population d’en tirer la conclusion : ça a été mal géré. »Avant de rappeler que ceux ou celles qui refusent de se présenter devant la commission d’enquête sont passibles, selon la loi 2015-007 « de 2 ans d’emprisonnement ».Manque de moyensLes sénateurs expliquent aussi avoir manqué de moyens. Leur budget a été coupé en octobre dernier pour réunir des preuves probantes des fautes commises par les membres du gouvernement actuel. « Ces enquêtes, nous les avons faites sur fonds propres », affirme ainsi le sénateur Jafetra Randriamanantsoa, président de la commission d’enquête sur l’évasion dans le milieu carcéral à Farafangana.Pourquoi, aussi, avoir attendu la veille de la fin de leur mandat pour rendre publics ces rapports d’enquête, qui concernent des faits survenus il y a dix mois pour les anomalies des listes électorales. Au sujet des 23 prisonniers abattus par les forces de l’ordre à Farafangana le 23 août dernier, le premier Questeur du Sénat, Mourad Abdirassoul botte en touche : « L’essentiel, c’est que l’information est sortie et que tout le monde sait quelles sont les failles de l’exécutif par rapport à ce massacre. »Ces failles déjà connues, nommées et pointées du doigt par la société civile il y a plusieurs mois. Par leur ultime action, les sénateurs ont surtout réussi à prouver que le dernier bastion institutionnel qui se disait de l’opposition depuis l’élection d’Andry Rajoelina, n’en était finalement pas vraiment un.
La “charte des principes” de l’islam de France pourrait potentiellement ouvrir la voie à une importante restructuration de la deuxième religion de France, explique le quotidien britannique The Times.
SANTE - La césarienne avait été retardée car le bloc opératoire était déjà occupé