Johnny Hallyday : cette performance de son fils David qu'il n'a jamais réussie

"Les États-Unis, c'était son kif, son rêve" confie à Ouest-France Thierry Chassagne, le président de Warner Music France. En témoigne ce coffret posthume, sorti le 23 octobre, et intitulé "Johnny Hallyday : Son rêve américain". Pourtant, s'il a donné quelques concerts outre-Atlantique, le rocker n'a jamais réussi à percer. Aux Etats-Unis, son public était essentiellement composé de Français expatriés ou venus spécialement pour le voir.

C'est donc dans un anonymat parfait que Johnny Hallyday vivait à Los Angeles. D'abord à Beverly Hills puis à Pacific Palisades. "Johnny se sentait libre aux États-Unis" avoue Renaud Corlouër au Figaro. Photographe, c'est lui qui a immortalisé Johnny lors de son premier concert à New York en 2012. "D'habitude, avant d'entrer en scène, Johnny faisait des blagues. Là, il était seul dans sa loge, on lisait l'anxiété sur son visage. Chanter à New York c'était un rêve de gamin" poursuit-il.

David Hallyday s'est hissé deux fois dans le Top 30 américain

Finalement, s'il n'a jamais percé aux États-Unis, c'est aussi à cause des ses producteurs assure le journaliste Philippe Manoeuvre. "Johnny a toujours été la vache à lait du show-biz français. Il ne fallait surtout pas le laisser aux mains de tourneurs et managers américains" explique-t-il dans le Figaro. Le seul à avoir eu son moment de gloire aux États-Unis, c'est le fils Hallyday, David.

En 1987, le fils de Johnny Hallyday et Sylvie Vartan décroche le premier (...)

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