"La Joconde" visée par une tarte à la crème au Louvre
Le plus célèbre tableau du musée Louvre a été visé par un jet de gâteau dimanche. Abrité derrière sa vitre de protection, le chef d'œuvre est indemne.
Plus belle la vie : Laetitia Milot écartée du final, la production assume et s'explique
Réunis en sommet en Allemagne, les dirigeants du G7 ont annoncé qu’ils vont prochainement lancer le mécanisme de plafonnement du pétrole russe.
Le président de la République a martelé mardi que la Russie ne "devait pas gagner" la guerre en Ukraine mais refusé de qualifier la Russie d'"Etat parrain du terrorisme" après la frappe russe sur un centre commercial.
Des glaces à la viande, aux poissons, aux fruits ou encore aux céréales: il y en avait pour tous les goûts mardi au zoo de Rome dont les pensionnaires affrontaient la canicule accablant la capitale italienne.
La nouvelle présidente de l'Assemblée nationale a été félicitée, bien que l'opposition dit attendre de la voir à l'action pour juger.
Le média en ligne Konbini a décidé de retirer de son site les vidéos faites en partenariat avec Léo Grasset, connu sur YouTube pour ses vidéos de vulgarisation scientifique réalisées sous le pseudonyme "DirtyBiology". Ce dernier est accusé de viol par une femme et de "violences psychologiques, sexuelles ou comportement jugé problématique" par sept autres. Toutes ont témoigné dans une enquête de Mediapart.
La célèbre comédienne, Mary Mara, a été retrouvée morte dans le fleuve Saint-Laurent, dans l'Etat de Naw York, dimanche 26 juin 2022. Elle était âgée de 61 ans. Elle avait joué dans de nombreuses séries télévisées.
Des peines allant de deux ans d'emprisonnement à la perpétuité incompressible ont été prononcées par la cour d'assises spéciale de Paris ce mercredi contre les vingt accusés du procès des attentats du 13 novembre 2015.
Une publication relayée plusieurs centaines de fois affirme que le Pape François a été aperçu avec une croix et des bracelets multicolores "aux couleurs de la communauté LGBT", photos à l'appui. Mais la publication est trompeuse : dans ces photos datant de 2018, les objets arborés par le Pape sont en fait aux couleurs et motifs d'un groupe de jeunes croyants d'Amérique latine, et non une marque de soutien aux personnes LGBT+. Cette publication a été partagée en Côte d'Ivoire dans un contexte de
ASSISES - Fin 2018, l’individu s’était présenté armé d’une carabine devant le foyer où son ancienne compagne était hébergée
La plainte a été déposée nommément contre l'ex-député UDI et un policier des renseignements territoriaux.
Tidiane Sy a 16 ans et, pourtant, il dépasse largement sa mère Hélène. En vacances en famille au Sénégal, la femme...
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a demandé mardi aux pays de l'Otan réunis en sommet à Madrid de l'artillerie moderne et un soutien financier pour faire face à l'invasion de son pays par les forces russes.
Alors qu'un militaire a été tué mardi lors d'un acte "terroriste", selon l'armée équatorienne, le président équatorien, Guillermo Lasso, a suspendu le dialogue avec les leaders indigènes à la tête de manifestations qui paralysent le pays depuis plus de deux semaines pour exiger notamment une baisse des prix des carburants. Par ailleurs, le président conservateur a échappé à une motion de destitution au Parlement.
Certains incendies ont été maîtrisés, mais les pompiers continuent mardi soir de lutter contre les flammes, notamment entre Opoul-Périllos et Salses-le-Château.
ENQUÊTE - « Je suis le putain de président, amenez-moi au Capitole tout de suite », aurait-il dit
Mélanie Vieu est allée chercher la médaille d’or au judo dans la catégorie des moins de 48 kilos mercredi 29 juin. Ce titre à Oran lui donne de l’énergie pour continuer à progresser et pourquoi pas décrocher une place aux JO de Paris en 2024 ou de Los Angeles en 2028. En France, la concurrence dans le judo féminin est très relevée, surtout dans sa catégorie.
Après 10 mois d'audience, l'heure du verdict. Au procès du 13-Novembre, la cour doit rendre mercredi soir sa très attendue décision sur le sort de Salah Abdeslam et de ses coaccusés, jugés depuis septembre pour les pires attentats jamais commis en France. La lecture du délibéré pourrait débuter "à partir de 17H00", a annoncé le président Jean-Louis Périès lundi en fin de matinée, avant que la cour d'assises spéciale ne se retire pour délibérer dans un lieu tenu secret après 148 jours d'audience. Avant cela et devant une salle comble du palais de justice de Paris, elle avait donné la parole pour la dernière fois aux 14 accusés présents - six autres dont cinq hauts cadres de l'Etat islamique présumés morts sont jugés en leur absence. "Je ne suis pas un assassin, je ne suis pas un tueur", a soutenu depuis le box le principal d'entre eux, Salah Abdeslam, réitérant ses excuses "sincères" aux victimes. "L'opinion publique pense que j'étais sur les terrasses avec une kalachnikov, occupé à tirer sur des gens, l'opinion publique dit que j'étais au Bataclan. Vous savez que la vérité est à l'opposé", a lancé à la cour le seul membre encore en vie des commandos qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015. "Si vous me condamnez pour assassinats, vous commettrez une injustice", a asséné Salah Abdeslam. - "Sang des victimes" - L'accusation a requis à son encontre la peine la plus lourde prévue par le code pénal : la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté incompressible, qui rend infime toute possibilité de libération. Le Français de 32 ans a adopté au cours du procès "une stratégie de minimisation constante des faits", avaient estimé les trois représentants du parquet national antiterroriste (Pnat). Mais il a "bien tenté de faire exploser sa ceinture" le soir des attentats, et a "le sang de toutes les victimes sur ses mains". Dans une plaidoirie visant à lui éviter cette "peine de mort lente", sa défense a rappelé que la sentence n'avait été prononcée que quatre fois, contre des hommes reconnus "psychopathes" et condamnés pour des crimes commis sur des mineurs. Salah Abdeslam, qui a soutenu à l'audience avoir renoncé à actionner son gilet explosif "par humanité", n'est "ni psychopathe ni sociopathe", a martelé l'une de ses avocats, Me Olivia Ronen. Il est un "exécutant déserteur", mais la sanction demandée est digne d'un "tribunal militaire" qui juge des "ennemis" et non "des accusés", a vilipendé son confrère Me Martin Vettes. - Pour le "symbole" - Six ans après une nuit de terreur qui a traumatisé la France et après un procès-fleuve marqué par les récits glaçants de près de 400 rescapés ou proches à la barre - sur près de 2.600 parties civiles - les avocats de la défense ont mis la cour en garde contre la tentation d'une "justice d'exception" guidée par l'émotion. Au premier jour le 8 septembre, le président avait souhaité que le "respect de la norme" reste le "cap" de ce "procès historique", lui ont rappelé certains, plaidant contre les peines "d'élimination", de "vengeance" ou pour le "symbole" requises selon eux par le parquet. "Je vous demande de faire un effort, celui de ne pas vous laisser glisser", a demandé Me Orly Rezlan. "La justice n'est pas une arme de la colère", a exhorté Me Marie Violleau, avocate de Mohamed Abrini, "prévu" pour le 13-Novembre mais qui avait renoncé, comme il le fera quelques mois plus tard à Bruxelles. Les peines demandées contre les 20 accusés vont de cinq ans d'emprisonnement à la perpétuité, notamment requise pour les "complices" des attentats, tous membres d'une même cellule jihadiste dont les commandos étaient "interchangeables" d'après les avocats généraux. La perpétuité incompressible a également été demandée contre Oussama Atar, "cadre supérieur de la terreur" du groupe Etat islamique et commanditaire des attaques, présumé mort en Syrie. Trois avocats ont plaidé l'acquittement pour leurs clients "innocents". "Je ne suis pas un terroriste", a répété l'un d'eux dans ses derniers mots à la cour lundi. "J'ai très peur de votre décision", a reconnu un autre entre deux sanglots. mdh-asl-aje/pga
Depuis l'officialisation de la fin de "Plus belle la vie", plusieurs acteurs de la série ont annoncé faire leur...
Alors qu'un appel à la grève a été lancé le 6 juillet, veille des vacances d'été, pour réclamer des hausses de salaire, le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou a assuré mardi que les cheminots seront augmentés. Il a également affirmé que les départs en vacances des Français ne seront "pas menacés".