Jeux paralympiques : Christine and the Queens reprend Édith Piaf à sa manière lors de la cérémonie d’ouverture

Avant Christine and the Queens, c’est le pianiste de jazz canadien Chilly Gonzales qui était monté sur scène devant 50 000 spectateurs.

JEUX PARALYMPIQUES - Un premier tableau sur le thème de l’identité. L’artiste français au rayonnement international Christine and the Queens a fait son apparition place de la Concorde dans un costume rouge, pour entamer une adaptation pop de l’iconique chanson d’Édith Piaf, « Non, je ne regrette rien ».

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Pour la première cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques hors d’un stade, le chanteur (qui se genre au masculin) a performé au milieu des 140 danseurs représentant la « strict society », et de 16 performeurs en situation de handicap, qui se présentent sous le titre de « creative gang », dans une performance libérée et créative.

Les danseurs non-valides portaient des tenues colorées, tandis que les valides étaient habillés en costumes noirs et blancs. Une manière d’illustrer, en accord avec le nom du tableau, « Discorde », les dynamiques entre les deux groupes.

Christine and the Queens était entouré de l’Ensemble Matheus, orchestre qui a pour particularité de travailler au renouvellement de l’interprétation des œuvres.

Avant le premier tableau, le nageur handisport français Théo Curin a ouvert la cérémonie, lors d’une séquence au volant d’une voiture entourée de Phryges, les mascottes de ces jeux, qui ont su conquérir le cœur du public.

Le sportif avait participé aux Jeux paralympiques de Tokyo en 2016. La séquence est une jolie référence à son émission de télévision « Théo Le Taxi », qu’il présente sur France 3 chaque semaine.

Présent également, avant l’apparition de Christine and the Queens : le pianiste canadien Chilly Gonzales, installé sur une scène entourant l’obélisque égyptien de la Place de la Concorde, sous un temps ensoleillé.

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